JPO
Vendredi 31 janvier (13h à 21h) et Samedi 1er février 2025 (10h à 20h)
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POLITIQUE DE CONFIDENTIALITÉ

POLITIQUE DE CONFIDENTIALITÉ

Nous accordons la plus grande importance à la confidentialité des informations de nos donateurs. Cette déclaration de confidentialité explique quelles sont les données à caractère personnel traitées par l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs, comment elle les traite et à quelles fins.

Champ d’application de la Déclaration de confidentialité

La présente déclaration de confidentialité (ci-après la «Déclaration de Confidentialité») s’applique à toute personne naviguant sur le site internet https://jpo.ensad.fr/ (ci-après, le « Site ») et/ou interagissant avec l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs (EnsAD) dans le cadre de l’utilisation du Site (ci-après désignés le ou les « Utilisateur(s) »). A l’occasion du l’utilisation du Site, l’EnsAD est susceptible de collecter des informations concernant les Utilisateurs, dont certaines peuvent être qualifiées de données à caractère personnel.

L’EnsAD est le responsable du traitement de données effectué à partir des données d’Utilisateurs qui y sont recueillies. A ce titre, l’EnsAD, s’emploie et s’engage à protéger la vie privée des Utilisateurs en conformité avec les exigences légales et notamment la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée (dite loi « Informatique et Libertés ») – et toute loi ou directive qui viendrait la compléter ou la substituer – ainsi que le Règlement européen 2016/679 sur la protection des données à caractère personnel paru au Journal Officiel le 27 avril 2016 et en vigueur depuis le 25 mai 2018 (« RGPD »).

Qu’est-ce qu’une donnée à caractère personnel ? Quelles sont les données collectées sur le Site ? Sur quels fondements ?

Sont qualifiées de données à caractère personnel toutes les informations identifiant directement ou indirectement un personne physique (par exemple le nom patronymique, un numéro d’immatriculation, de téléphone, une photographie, une date et un lieu de naissance, adresse IP…). Ainsi, les données récoltées sur un site internet à propos de son utilisateur sont souvent des données à caractère personnel.

En fournissant des données à caractère personnel (ci-après les « Données ») dans le cadre de l’utilisation du Site, l’Utilisateur reconnait avoir pris connaissance des termes de la présente Déclaration de Confidentialité et des Conditions générales d’utilisation du Site accessibles en cliquant sur le lien suivant : https://jpo.ensad.fr/cgu/

Sur le Site, les Données suivantes sont collectées :

  • Les informations concernant l’identité de l’Utilisateur : nom, prénom ;
  • Les coordonnées de l’Utilisateur : adresses de courrier électronique ;
  • L’adresse IP de l’Utilisateur.

Lorsque les Données d’un Utilisateur sont traitées par l’EnsAD, seules les données nécessaires aux finalités de traitements sont traitées. Les fondements sur lesquels reposent ces traitements sont les suivants :

  • Le respect d’une obligation légale ;
  • Votre consentement.

Les Données dont la collecte est rendue obligatoire par l’EnsAD sont signalées par la présence d’un astérisque.

Dans quel but l’EnsAD récolte-t-elle ces données, qui y a accès et pendant combien de temps ?

Les Données récoltées permettent à l’EnsAD :

  • De vous envoyer des informations relatives à l’Ecole ;
  • D’analyser l’audience du Site ;
  • D’offrir à l’Utilisateur une expérience de navigation sécurisée et optimale sur le Site.

Les données collectées seront conservées conformément à la législation en vigueur et aux délais de prescription applicables. Elles ne sont accessibles qu’aux services compétents suivant les différents traitements. L’accès aux Données est strictement réservé aux personnes en charge au sein des services compétents.

Contexte de la collecte Données utilisées Finalité du traitement Personnes et/ou services y ayant accès Durée de conservation maximale
Analyse d’audience Nom,
Prénom,
Adresse de messagerie électronique,
Information sur les actualités de l’école
Suivi relationnel individualisé
Personnes en charge au sein du Service de la communication et du développement 3 ans
Expérience utilisateur Adresse IP,
Données de navigation
Sécurité du Site
Optimisation de la navigation sur le Site
Personnes en charge au sein du Service des systèmes d’information De la durée de la session à 1 mois

L’EnsAD recueille-t-elle des données au moyen de cookies ?

Oui, des cookies sont utilisés sur le Site. Ce sont des fichiers qui sont enregistrés sur l’ordinateur de l’Utilisateur ou sur tout appareil de communication électronique utilisé par l’Utilisateur lorsqu’il navigue sur le Site. Ces fichiers permettent l’échange d’informations de statut entre le Site et le navigateur de l’Utilisateur. La loi stipule que nous ne pouvons stocker des cookies sur votre appareil que s’ils sont strictement nécessaires au fonctionnement de ce site. Pour tous les autres types de cookies, nous avons besoin de votre permission.

Les cookies suivants sont utilisés sur le Site :

  • Cookies liés au fonctionnement du site ;
  • Cookies liés aux statistiques de fréquentation du site ;
  • Cookies liés à la sécurité du site ;
  • Cookies définis par des tiers et par les contenus incorporés (par exemple, les boutons de partage en direction des réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter).

Le consentement préalable de l’Utilisateur, via la bannière de cookie affichée sur le site, est requis avant toute lecture ou tout dépôt des cookies qui ne sont pas strictement nécessaires au fonctionnement du Site et de la collecte de dons.

À tout moment, l’Utilisateur peut faire le choix d’exprimer et de modifier ses souhaits en matière de Cookies en paramétrant son navigateur et en mettant à jour dans la présente Déclaration de confidentialité ses choix de préférences.

Nous attirons cependant votre attention sur le fait qu’en paramétrant le navigateur pour refuser les cookies déposés par l’EnsAD, certaines fonctionnalités ou pages du Site peuvent s’avérer difficilement accessibles voire inaccessibles.

Le cas échéant, l’EnsAD décline toute responsabilité pour les conséquences liées au fonctionnement dégradé du Site et des services éventuellement proposés par l’EnsAD, résultant (i) du refus de Cookies par l’Utilisateur (ii) de l’impossibilité pour l’EnsAD d’enregistrer ou de consulter les Cookies nécessaires à leur fonctionnement du fait du choix de l’Utilisateur. Pour la gestion des Cookies et des choix de l’Utilisateur, la configuration de chaque navigateur est différente. Elle est décrite dans le menu d’aide du navigateur, qui permettra de savoir de quelle manière l’Utilisateur peut modifier ses souhaits en matière de Cookies.

Enfin, en cliquant sur les icônes dédiées aux réseaux sociaux Twitter, Facebook, Linkedin figurant sur le Site de l’EnsAD et si l’Utilisateur a accepté le dépôt de cookies en poursuivant sa navigation sur le Site Internet de l’EnsAD, Twitter, Facebook, Linkedin peuvent également déposer des cookies sur le terminal de l’Utilisateur (ordinateur, tablette, téléphone portable).

Les cookies sont déposés pour une durée pouvant aller de la durée de session à 1 mois maximum. Au-delà de cette période, le consentement de l’Utilisateur sera à nouveau requis avant le dépôt de tout nouveau cookie. 

Dans quelles conditions sont traitées les Données des utilisateurs ?

En tant que responsable de traitement, l’EnsAD collecte les données à caractère personnel des Utilisateurs de façon licite et loyale et en respectant leurs droits.

La sécurité des données à caractère personnel fait partie des priorités de l’EnsAD. L’EnsAD s’engage à prendre toutes les mesures raisonnables sur le plan administratif et technique pour empêcher toute divulgation, utilisation, altération ou destruction des données à caractère personnel qu’un Utilisateur lui fournit (contrôle des accès, sécurisation des mots de passe, accès selon des habilitations spécifiques, etc.).

A ce titre, l’EnsAD héberge l’ensemble des Données sur ses propres serveurs répondant aux exigences de sécurité et de confidentialité et situés en France au sein de l’Union Européenne.

Quelles sont les actions réalisées sur les Données collectées ?

Les actions réalisées sur les Données sont les suivantes :

  • Collecte et enregistrement ;
  • Organisation ;
  • Conservation ;
  • Consultation ;
  • Tri ;
  • Communication aux services compétents en interne ;
  • Anonymisation et archivage ;
  • Effacement et destruction.

Quels sont vos droits sur les données personnelles que vous fournissez à l’EnsAD en naviguant sur le Site ?

L’Utilisateur s’engage à ce que les Données à caractère personnel le concernant communiquées sur le Site soient à jour, exactes, complètes et non équivoques.

Conformément à la loi Informatique et Libertés, l’Utilisateur dispose de droits sur les Données qu’il communique par l’intermédiaire du Site, à savoir :

  • obtenir l’accès à ou la copie à leurs Données traitées ;
  • demander la rectification des données ;
  • demander l’effacement de tout ou partie des Données lorsque les Données, (i) ne sont plus nécessaires aux finalités pour lesquelles elles ont été collectées, (ii) sont basées exclusivement sur le consentement, (iii) font l’objet d’une demande d’opposition ;
  • s’opposer aux traitements de ses Données ;
  • demander la limitation du traitement, temporairement, lorsque l’exactitude des Données est contestée, lorsque l’Utilisateur s’est opposé au traitement, lorsque les Données ne sont plus nécessaires à l’EnsAD mais sont encore nécessaire à la constatation, l’exercice ou la défense de droits en justice ;
  • demander la désinscription ou s’opposer à la réception de messages de prospection commerciale à tout moment en cliquant sur le lien de « désinscription » dans tout courriel ou toute communication envoyé par l’EnsAD ;
  • retirer son consentement à tout moment s’agissant de traitements fondés sur le consentement ;
  • obtenir la portabilité de ses Données lorsque le traitement est fondé sur le consentement et que le traitement est effectué à l’aide de procédés automatisés ;
  • fournir des directives sur le sort de leurs données post-mortem
  • introduire une réclamation auprès de la CNIL.

Pour exercer ces droits, l’Utilisateur peut adresser une demande à l’adresse suivante dpo@ensad.fr. L’EnsAD demandera à l’Utilisateur de lui fournir une preuve d’identité avant de répondre à sa demande.

Les données peuvent-elles être communiquées ou transférées à des tiers ?

L’EnsAD peut donner un accès aux données à caractère personnel des Utilisateurs à des prestataires de services tiers, agissant en tant que sous-traitants, pour exécuter des services relatifs au Site et notamment les services d’hébergement, de stockage, d’analyses, de traitement de données, de gestion de bases de données ou encore de maintenance informatique. Ces prestataires n’agissent que sur instruction de l’EnsAD et n’auront accès aux données à caractère personnel des Utilisateurs que pour exécuter ces services et seront tenus aux mêmes obligations de sécurité et de confidentialité que l’EnsAD. Dans de telles hypothèses, l’EnsAD s’engage à ne traiter qu’avec des cocontractants présentant des garanties élevées en matière de traitement, de confidentialité et de sécurité des Données.

Par ailleurs, les données à caractère personnel de l’Utilisateur peuvent être partagées avec des tiers pour les motifs suivants :

  • En réponse à une procédure judiciaire ou administrative de toute nature ou à des mesures d’application de la loi réclamées par les autorités compétentes ;
  • Pour se conformer à des obligations légales, pour protéger les droits et/ou la sûreté d’un individu, pour protéger les droits et la propriété de l’EnsAD, y compris la nécessité de voir la présente Déclaration de Confidentialité respectée, et d’empêcher les problèmes de fraude, de sécurité ou techniques.

Les Données à caractère personnel collectées par l’EnsAD sur le Site ne sont pas transférées en dehors de l’Espace Economique Européen.

Les Données ne sont en aucun cas vendues à des tiers.

Modification de la Déclaration de Confidentialité

La Déclaration de Confidentialité est consultable sur le Site à tout moment. L’EnsAD se réserve le droit de la modifier à tout moment. La Déclaration de Confidentialité modifiée prendra effet à la date de sa mise en ligne sur le Site.

Contacter l’EnsAD

Si l’Utilisateur a des questions ou des commentaires concernant cette Déclaration de Confidentialité, il peut contacter l’EnsAD à l’adresse électronique suivante à dpo@ensad.fr

Liens
www.ensad.fr
Contact : inscription.concours@ensad.fr

CGU
Politique de confidentialité

l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL est un établissement public sous tutelle du Ministère de la Culture, et membre de l'Université PSL.

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[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
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Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
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Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
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👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
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💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
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Crédits photos : Célia Marinier
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Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
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Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
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💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
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Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
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Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
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Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
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Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
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Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
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Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
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Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
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2 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
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Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
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Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
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« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
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« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
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Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
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« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco . « Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! » . Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
4 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
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« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
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« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
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« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
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Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
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Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
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« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
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Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
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Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
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6 jours ago
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4/9
[L'École du décor actif]
À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
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Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm.  Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza  @tommy.bouge  @pedro.gomes.cardoso  @pauldagorne  @juliette_nier ✨
[L'École du décor actif]
À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
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Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm.  Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza  @tommy.bouge  @pedro.gomes.cardoso  @pauldagorne  @juliette_nier ✨
[L'École du décor actif]
À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
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Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm.  Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza  @tommy.bouge  @pedro.gomes.cardoso  @pauldagorne  @juliette_nier ✨
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À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
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1 semaine ago
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AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
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Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
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Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
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Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
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Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
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Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
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Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
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Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
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Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
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AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
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Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
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Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
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Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
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AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
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1 semaine ago
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6/9
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
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« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
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« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
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« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
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« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
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« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
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2 semaines ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
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« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
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« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
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« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
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« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
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« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
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« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
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Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
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« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
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Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
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« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
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Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
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