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27 janvier 2021

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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Mais il ne se passe rien là ! » « Mais si… » de Alexis Roussel @alexis_roossel , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Je pique à Freud l'idée de sublimation :
Trouver une issue sociale au chaos intérieur pour libérer les tensions et réorienter cette énergie dévastatrice.
Le rêveur reconstruit ses songes pour pouvoir les raconter aux autres. Il les contraint aux règles du discourt et de la poésie. Il fabrique du sens.
À partir du chaos, le peintre fait naître sur sa toile une structure, un système de signe. Il se plie aux règles de l'image.
Mais il n'y a pas que les rêves qui échappent à l'harmonie de la logique.
Il y a tout un monde qui échappe aux idées, tout un monde indicible et chaotique.
Parmi cela il y a le réel. Il est tout ce que les idées ne suffisent pas à dire.
Il y a le présent qui nous glisse des doigts, les lumières, les endroits, les choses, les gens que les mots ne suffisent pas à dire.
Il y a tout ce qui explique la mélancolie.
Toute cette force, souterraine et insensée fait gonfler la cocotte- minute.
Comme soupape, comme sublimation, j'ai choisi la peinture et le dessin. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Mais il ne se passe rien là ! » « Mais si… » de Alexis Roussel @alexis_roossel , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Je pique à Freud l'idée de sublimation :
Trouver une issue sociale au chaos intérieur pour libérer les tensions et réorienter cette énergie dévastatrice.
Le rêveur reconstruit ses songes pour pouvoir les raconter aux autres. Il les contraint aux règles du discourt et de la poésie. Il fabrique du sens.
À partir du chaos, le peintre fait naître sur sa toile une structure, un système de signe. Il se plie aux règles de l'image.
Mais il n'y a pas que les rêves qui échappent à l'harmonie de la logique.
Il y a tout un monde qui échappe aux idées, tout un monde indicible et chaotique.
Parmi cela il y a le réel. Il est tout ce que les idées ne suffisent pas à dire.
Il y a le présent qui nous glisse des doigts, les lumières, les endroits, les choses, les gens que les mots ne suffisent pas à dire.
Il y a tout ce qui explique la mélancolie.
Toute cette force, souterraine et insensée fait gonfler la cocotte- minute.
Comme soupape, comme sublimation, j'ai choisi la peinture et le dessin. »
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Trouver une issue sociale au chaos intérieur pour libérer les tensions et réorienter cette énergie dévastatrice.
Le rêveur reconstruit ses songes pour pouvoir les raconter aux autres. Il les contraint aux règles du discourt et de la poésie. Il fabrique du sens.
À partir du chaos, le peintre fait naître sur sa toile une structure, un système de signe. Il se plie aux règles de l'image.
Mais il n'y a pas que les rêves qui échappent à l'harmonie de la logique.
Il y a tout un monde qui échappe aux idées, tout un monde indicible et chaotique.
Parmi cela il y a le réel. Il est tout ce que les idées ne suffisent pas à dire.
Il y a le présent qui nous glisse des doigts, les lumières, les endroits, les choses, les gens que les mots ne suffisent pas à dire.
Il y a tout ce qui explique la mélancolie.
Toute cette force, souterraine et insensée fait gonfler la cocotte- minute.
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Le rêveur reconstruit ses songes pour pouvoir les raconter aux autres. Il les contraint aux règles du discourt et de la poésie. Il fabrique du sens.
À partir du chaos, le peintre fait naître sur sa toile une structure, un système de signe. Il se plie aux règles de l'image.
Mais il n'y a pas que les rêves qui échappent à l'harmonie de la logique.
Il y a tout un monde qui échappe aux idées, tout un monde indicible et chaotique.
Parmi cela il y a le réel. Il est tout ce que les idées ne suffisent pas à dire.
Il y a le présent qui nous glisse des doigts, les lumières, les endroits, les choses, les gens que les mots ne suffisent pas à dire.
Il y a tout ce qui explique la mélancolie.
Toute cette force, souterraine et insensée fait gonfler la cocotte- minute.
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À partir du chaos, le peintre fait naître sur sa toile une structure, un système de signe. Il se plie aux règles de l'image.
Mais il n'y a pas que les rêves qui échappent à l'harmonie de la logique.
Il y a tout un monde qui échappe aux idées, tout un monde indicible et chaotique.
Parmi cela il y a le réel. Il est tout ce que les idées ne suffisent pas à dire.
Il y a le présent qui nous glisse des doigts, les lumières, les endroits, les choses, les gens que les mots ne suffisent pas à dire.
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À partir du chaos, le peintre fait naître sur sa toile une structure, un système de signe. Il se plie aux règles de l'image.
Mais il n'y a pas que les rêves qui échappent à l'harmonie de la logique.
Il y a tout un monde qui échappe aux idées, tout un monde indicible et chaotique.
Parmi cela il y a le réel. Il est tout ce que les idées ne suffisent pas à dire.
Il y a le présent qui nous glisse des doigts, les lumières, les endroits, les choses, les gens que les mots ne suffisent pas à dire.
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Le rêveur reconstruit ses songes pour pouvoir les raconter aux autres. Il les contraint aux règles du discourt et de la poésie. Il fabrique du sens.
À partir du chaos, le peintre fait naître sur sa toile une structure, un système de signe. Il se plie aux règles de l'image.
Mais il n'y a pas que les rêves qui échappent à l'harmonie de la logique.
Il y a tout un monde qui échappe aux idées, tout un monde indicible et chaotique.
Parmi cela il y a le réel. Il est tout ce que les idées ne suffisent pas à dire.
Il y a le présent qui nous glisse des doigts, les lumières, les endroits, les choses, les gens que les mots ne suffisent pas à dire.
Il y a tout ce qui explique la mélancolie.
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Le rêveur reconstruit ses songes pour pouvoir les raconter aux autres. Il les contraint aux règles du discourt et de la poésie. Il fabrique du sens.
À partir du chaos, le peintre fait naître sur sa toile une structure, un système de signe. Il se plie aux règles de l'image.
Mais il n'y a pas que les rêves qui échappent à l'harmonie de la logique.
Il y a tout un monde qui échappe aux idées, tout un monde indicible et chaotique.
Parmi cela il y a le réel. Il est tout ce que les idées ne suffisent pas à dire.
Il y a le présent qui nous glisse des doigts, les lumières, les endroits, les choses, les gens que les mots ne suffisent pas à dire.
Il y a tout ce qui explique la mélancolie.
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Le rêveur reconstruit ses songes pour pouvoir les raconter aux autres. Il les contraint aux règles du discourt et de la poésie. Il fabrique du sens.
À partir du chaos, le peintre fait naître sur sa toile une structure, un système de signe. Il se plie aux règles de l'image.
Mais il n'y a pas que les rêves qui échappent à l'harmonie de la logique.
Il y a tout un monde qui échappe aux idées, tout un monde indicible et chaotique.
Parmi cela il y a le réel. Il est tout ce que les idées ne suffisent pas à dire.
Il y a le présent qui nous glisse des doigts, les lumières, les endroits, les choses, les gens que les mots ne suffisent pas à dire.
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À partir du chaos, le peintre fait naître sur sa toile une structure, un système de signe. Il se plie aux règles de l'image.
Mais il n'y a pas que les rêves qui échappent à l'harmonie de la logique.
Il y a tout un monde qui échappe aux idées, tout un monde indicible et chaotique.
Parmi cela il y a le réel. Il est tout ce que les idées ne suffisent pas à dire.
Il y a le présent qui nous glisse des doigts, les lumières, les endroits, les choses, les gens que les mots ne suffisent pas à dire.
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« PROGRAM:E » de Louise Courcol @louise_courcol , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond des armoires se trouvent des vêtements qui ne peuvent être jetés mais qui ne sont plus portés, ils sont les constats des erreurs quotidiennes : une chaussette blanche passée au rose, un pull en laine rétréci et boursouflé, une chemise en coton froissée... Les codes du socialement correct, assènent que ces vêtements sont devenus importables. C'est l'aspect désordonné du vêtement mais également, et surtout peut-être, le fait générateur de leur état - une erreur de température, de couleur, de pliage, qui sont sources de dévalorisation. Dans une volonté de s’écarter des critères esthétiques établis et d'une volonté de voir dans les désordres de possibles opportunités, j'ai ressenti l'envie de travailler sur notre perception du désordre et sa possible maîtrise. Et si, en effet, en parvenant à contrôler les paramètres de nos maladresses et du même coup à en maîtriser les effets, on renverse le résultat ? Et si, on passait ainsi d'un négligé hasardeux mal accepté à une erreur calculée qui ouvrirait de nouvelles perspectives ?  Contrôler et répéter les paramètres de nos erreurs.  C'est transcender le désordre et transformer l'imprévu en un champ d'exploration, redéfinissant ainsi notre perception du quotidien et du possible. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« PROGRAM:E » de Louise Courcol @louise_courcol , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond des armoires se trouvent des vêtements qui ne peuvent être jetés mais qui ne sont plus portés, ils sont les constats des erreurs quotidiennes : une chaussette blanche passée au rose, un pull en laine rétréci et boursouflé, une chemise en coton froissée... Les codes du socialement correct, assènent que ces vêtements sont devenus importables. C'est l'aspect désordonné du vêtement mais également, et surtout peut-être, le fait générateur de leur état - une erreur de température, de couleur, de pliage, qui sont sources de dévalorisation. Dans une volonté de s’écarter des critères esthétiques établis et d'une volonté de voir dans les désordres de possibles opportunités, j'ai ressenti l'envie de travailler sur notre perception du désordre et sa possible maîtrise. Et si, en effet, en parvenant à contrôler les paramètres de nos maladresses et du même coup à en maîtriser les effets, on renverse le résultat ? Et si, on passait ainsi d'un négligé hasardeux mal accepté à une erreur calculée qui ouvrirait de nouvelles perspectives ?  Contrôler et répéter les paramètres de nos erreurs.  C'est transcender le désordre et transformer l'imprévu en un champ d'exploration, redéfinissant ainsi notre perception du quotidien et du possible. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« PROGRAM:E » de Louise Courcol @louise_courcol , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Au fond des armoires se trouvent des vêtements qui ne peuvent être jetés mais qui ne sont plus portés, ils sont les constats des erreurs quotidiennes : une chaussette blanche passée au rose, un pull en laine rétréci et boursouflé, une chemise en coton froissée... Les codes du socialement correct, assènent que ces vêtements sont devenus importables. C'est l'aspect désordonné du vêtement mais également, et surtout peut-être, le fait générateur de leur état - une erreur de température, de couleur, de pliage, qui sont sources de dévalorisation. Dans une volonté de s’écarter des critères esthétiques établis et d'une volonté de voir dans les désordres de possibles opportunités, j'ai ressenti l'envie de travailler sur notre perception du désordre et sa possible maîtrise. Et si, en effet, en parvenant à contrôler les paramètres de nos maladresses et du même coup à en maîtriser les effets, on renverse le résultat ? Et si, on passait ainsi d'un négligé hasardeux mal accepté à une erreur calculée qui ouvrirait de nouvelles perspectives ?  Contrôler et répéter les paramètres de nos erreurs.  C'est transcender le désordre et transformer l'imprévu en un champ d'exploration, redéfinissant ainsi notre perception du quotidien et du possible. »
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « PROGRAM:E » de Louise Courcol @louise_courcol , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis . « Au fond des armoires se trouvent des vêtements qui ne peuvent être jetés mais qui ne sont plus portés, ils sont les constats des erreurs quotidiennes : une chaussette blanche passée au rose, un pull en laine rétréci et boursouflé, une chemise en coton froissée... Les codes du socialement correct, assènent que ces vêtements sont devenus importables. C'est l'aspect désordonné du vêtement mais également, et surtout peut-être, le fait générateur de leur état - une erreur de température, de couleur, de pliage, qui sont sources de dévalorisation. Dans une volonté de s’écarter des critères esthétiques établis et d'une volonté de voir dans les désordres de possibles opportunités, j'ai ressenti l'envie de travailler sur notre perception du désordre et sa possible maîtrise. Et si, en effet, en parvenant à contrôler les paramètres de nos maladresses et du même coup à en maîtriser les effets, on renverse le résultat ? Et si, on passait ainsi d'un négligé hasardeux mal accepté à une erreur calculée qui ouvrirait de nouvelles perspectives ? Contrôler et répéter les paramètres de nos erreurs. C'est transcender le désordre et transformer l'imprévu en un champ d'exploration, redéfinissant ainsi notre perception du quotidien et du possible. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 jours ago
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[Partenariat] 🏆 Retour en images sur le projet des trophées EcoQuartier
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Les étudiant·es de 2e année en Design Objet ont présenté leurs prototypes de trophées imaginés pour l’édition 2025 des EcoQuartiers 
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🌿 Depuis 2013, le Ministère de la Transition écologique @ecologie_gouv porte la démarche EcoQuartier, ayant pour objectif d’aider les acteur·rices de tous les territoires à intégrer le développement durable dans leurs politiques urbanistiques. Chaque année, une cérémonie récompense les EcoQuartiers labelisés pour la remise de trophées. 
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Cette année, le projet a pris une nouvelle dimension avec un partenariat inédit avec l’École du verre de Paris – Lucas de Nehou : chaque groupe était composé de deux étudiant·es de l’École et d’un·e élève verrier·e. Résultat : des créations hybrides, sensibles et engagées.
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👉 Révélation du trophée final le 16 décembre, lors de la cérémonie officielle organisée par le @ecologie_gouv
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Un grand merci aux enseignant·es encadrant·es : Christophe Bigot (Design Objet) et Carine Caruana (École du verre)
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📸 Crédits photos : Théo Etrillard
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#EcoQuartier #DesignObjet #DesignResponsable #Écodesign #Partenariat #ENSAD #LucasdeNehou #TrophéeDesign #TransitionÉcologique #DesignÉtudiant
[Partenariat] 🏆 Retour en images sur le projet des trophées EcoQuartier
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Les étudiant·es de 2e année en Design Objet ont présenté leurs prototypes de trophées imaginés pour l’édition 2025 des EcoQuartiers 
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🌿 Depuis 2013, le Ministère de la Transition écologique @ecologie_gouv porte la démarche EcoQuartier, ayant pour objectif d’aider les acteur·rices de tous les territoires à intégrer le développement durable dans leurs politiques urbanistiques. Chaque année, une cérémonie récompense les EcoQuartiers labelisés pour la remise de trophées. 
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Cette année, le projet a pris une nouvelle dimension avec un partenariat inédit avec l’École du verre de Paris – Lucas de Nehou : chaque groupe était composé de deux étudiant·es de l’École et d’un·e élève verrier·e. Résultat : des créations hybrides, sensibles et engagées.
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👉 Révélation du trophée final le 16 décembre, lors de la cérémonie officielle organisée par le @ecologie_gouv
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Un grand merci aux enseignant·es encadrant·es : Christophe Bigot (Design Objet) et Carine Caruana (École du verre)
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#EcoQuartier #DesignObjet #DesignResponsable #Écodesign #Partenariat #ENSAD #LucasdeNehou #TrophéeDesign #TransitionÉcologique #DesignÉtudiant
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Cette année, le projet a pris une nouvelle dimension avec un partenariat inédit avec l’École du verre de Paris – Lucas de Nehou : chaque groupe était composé de deux étudiant·es de l’École et d’un·e élève verrier·e. Résultat : des créations hybrides, sensibles et engagées.
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Cette année, le projet a pris une nouvelle dimension avec un partenariat inédit avec l’École du verre de Paris – Lucas de Nehou : chaque groupe était composé de deux étudiant·es de l’École et d’un·e élève verrier·e. Résultat : des créations hybrides, sensibles et engagées.
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Cette année, le projet a pris une nouvelle dimension avec un partenariat inédit avec l’École du verre de Paris – Lucas de Nehou : chaque groupe était composé de deux étudiant·es de l’École et d’un·e élève verrier·e. Résultat : des créations hybrides, sensibles et engagées.
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
«Terrapy» de Seokyung Choi @seokyuung , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Terrapy est un dispositif convivial et participatif qui renforce les liens sociaux et réduit le stress et l'isolement par une approche valorisant le vivant et respectant des rituels culturels spécifiques et situés. Ce dispositif est entré dans la programmation de  Zone Sensible, ferme urbaine de Saint-Denis, tiers lieu solidaire de production alimentaire et de diffusion culturelle autour des thèmes Nature-Culture-Nourriture proposant des ateliers pédagogiques de sensibilisation à l'art, au vivant, à la préservation de l'environnement et à une alimentation saine et durable L'objectif du dispositif est d'utiliser la temporalité du jardin pour concevoir des programmes saisonniers ciblés afin de renforcer les liens entre les personnes qui jardinent et se reconnecter au vivant. Il permet aussi d'identifier des éléments environnementaux et biologiques spécifiques permettant une planification des activités de jardinage. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
«Terrapy» de Seokyung Choi @seokyuung , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Terrapy est un dispositif convivial et participatif qui renforce les liens sociaux et réduit le stress et l'isolement par une approche valorisant le vivant et respectant des rituels culturels spécifiques et situés. Ce dispositif est entré dans la programmation de  Zone Sensible, ferme urbaine de Saint-Denis, tiers lieu solidaire de production alimentaire et de diffusion culturelle autour des thèmes Nature-Culture-Nourriture proposant des ateliers pédagogiques de sensibilisation à l'art, au vivant, à la préservation de l'environnement et à une alimentation saine et durable L'objectif du dispositif est d'utiliser la temporalité du jardin pour concevoir des programmes saisonniers ciblés afin de renforcer les liens entre les personnes qui jardinent et se reconnecter au vivant. Il permet aussi d'identifier des éléments environnementaux et biologiques spécifiques permettant une planification des activités de jardinage. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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«Terrapy» de Seokyung Choi @seokyuung , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Terrapy est un dispositif convivial et participatif qui renforce les liens sociaux et réduit le stress et l'isolement par une approche valorisant le vivant et respectant des rituels culturels spécifiques et situés. Ce dispositif est entré dans la programmation de  Zone Sensible, ferme urbaine de Saint-Denis, tiers lieu solidaire de production alimentaire et de diffusion culturelle autour des thèmes Nature-Culture-Nourriture proposant des ateliers pédagogiques de sensibilisation à l'art, au vivant, à la préservation de l'environnement et à une alimentation saine et durable L'objectif du dispositif est d'utiliser la temporalité du jardin pour concevoir des programmes saisonniers ciblés afin de renforcer les liens entre les personnes qui jardinent et se reconnecter au vivant. Il permet aussi d'identifier des éléments environnementaux et biologiques spécifiques permettant une planification des activités de jardinage. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
«Terrapy» de Seokyung Choi @seokyuung , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Terrapy est un dispositif convivial et participatif qui renforce les liens sociaux et réduit le stress et l'isolement par une approche valorisant le vivant et respectant des rituels culturels spécifiques et situés. Ce dispositif est entré dans la programmation de  Zone Sensible, ferme urbaine de Saint-Denis, tiers lieu solidaire de production alimentaire et de diffusion culturelle autour des thèmes Nature-Culture-Nourriture proposant des ateliers pédagogiques de sensibilisation à l'art, au vivant, à la préservation de l'environnement et à une alimentation saine et durable L'objectif du dispositif est d'utiliser la temporalité du jardin pour concevoir des programmes saisonniers ciblés afin de renforcer les liens entre les personnes qui jardinent et se reconnecter au vivant. Il permet aussi d'identifier des éléments environnementaux et biologiques spécifiques permettant une planification des activités de jardinage. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
«Terrapy» de Seokyung Choi @seokyuung , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Terrapy est un dispositif convivial et participatif qui renforce les liens sociaux et réduit le stress et l'isolement par une approche valorisant le vivant et respectant des rituels culturels spécifiques et situés. Ce dispositif est entré dans la programmation de  Zone Sensible, ferme urbaine de Saint-Denis, tiers lieu solidaire de production alimentaire et de diffusion culturelle autour des thèmes Nature-Culture-Nourriture proposant des ateliers pédagogiques de sensibilisation à l'art, au vivant, à la préservation de l'environnement et à une alimentation saine et durable L'objectif du dispositif est d'utiliser la temporalité du jardin pour concevoir des programmes saisonniers ciblés afin de renforcer les liens entre les personnes qui jardinent et se reconnecter au vivant. Il permet aussi d'identifier des éléments environnementaux et biologiques spécifiques permettant une planification des activités de jardinage. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
«Terrapy» de Seokyung Choi @seokyuung , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Terrapy est un dispositif convivial et participatif qui renforce les liens sociaux et réduit le stress et l'isolement par une approche valorisant le vivant et respectant des rituels culturels spécifiques et situés. Ce dispositif est entré dans la programmation de  Zone Sensible, ferme urbaine de Saint-Denis, tiers lieu solidaire de production alimentaire et de diffusion culturelle autour des thèmes Nature-Culture-Nourriture proposant des ateliers pédagogiques de sensibilisation à l'art, au vivant, à la préservation de l'environnement et à une alimentation saine et durable L'objectif du dispositif est d'utiliser la temporalité du jardin pour concevoir des programmes saisonniers ciblés afin de renforcer les liens entre les personnes qui jardinent et se reconnecter au vivant. Il permet aussi d'identifier des éléments environnementaux et biologiques spécifiques permettant une planification des activités de jardinage. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
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[AFTER][Diplôme Master 2024] «Terrapy» de Seokyung Choi @seokyuung , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco . « Terrapy est un dispositif convivial et participatif qui renforce les liens sociaux et réduit le stress et l'isolement par une approche valorisant le vivant et respectant des rituels culturels spécifiques et situés. Ce dispositif est entré dans la programmation de Zone Sensible, ferme urbaine de Saint-Denis, tiers lieu solidaire de production alimentaire et de diffusion culturelle autour des thèmes Nature-Culture-Nourriture proposant des ateliers pédagogiques de sensibilisation à l'art, au vivant, à la préservation de l'environnement et à une alimentation saine et durable L'objectif du dispositif est d'utiliser la temporalité du jardin pour concevoir des programmes saisonniers ciblés afin de renforcer les liens entre les personnes qui jardinent et se reconnecter au vivant. Il permet aussi d'identifier des éléments environnementaux et biologiques spécifiques permettant une planification des activités de jardinage. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
4 jours ago
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4/9
[Pédagogie][Partenariat] Retour en images sur la soirée Whole Web Catalog #3 Itinérances
.
Whole Web Catalog est un projet pédagogique collectif et annuel, conduit par les étudiant·es de 3e année de licence du secteur Design Graphique de l’École des Arts Décoratifs-PSL @designgraphique_ecoleartsdeco et accompagné·es par les enseignant·es Elsa Aupetit @studio_kiosk et Benoît Montigné @benoitmontigne 
.
Ce projet propose une articulation entre édition imprimée et création interactive, à partir d’entretiens menés avec des professionnel·les du numérique aux pratiques croisées : design, art numérique, recherche.
 .
Pour cette 3e occurrence du projet, nommée Itinérances, la classe est allée à la rencontre de : Amélie Dumont, Adel Faure, Alix Desaubliaux et Valentin Godard, Sabrina Ratté, Sarah Garcin et Raphaëlle Kerbrat.
.
L’ensemble du travail réalisé pendant l’année - sept projets interactifs et une publication – était présenté lors de cette soirée ouverte à tous·tes et pensée comme un temps de partage, de découverte, de discussion.
.
L’édition Whole Web Catalog a reçu le soutien du groupe Caisse des Dépôts - Banque des Territoires, dans le cadre du méridien pratiques et cultures numériques.
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Crédits photos :  @beryl_libault
[Pédagogie][Partenariat] Retour en images sur la soirée Whole Web Catalog #3 Itinérances
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Pour cette 3e occurrence du projet, nommée Itinérances, la classe est allée à la rencontre de : Amélie Dumont, Adel Faure, Alix Desaubliaux et Valentin Godard, Sabrina Ratté, Sarah Garcin et Raphaëlle Kerbrat.
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L’ensemble du travail réalisé pendant l’année - sept projets interactifs et une publication – était présenté lors de cette soirée ouverte à tous·tes et pensée comme un temps de partage, de découverte, de discussion.
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5/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« De cette fenêtre, j'aperçois le bâti d'une autre » de Axel Cousin, diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« À l'origine de cette recherche, il y a le ruban de masquage, surnommé scotch de peintre, une matière constituée d'un papier légèrement crêpé, et dont l'une des deux faces est enduite d'une masse adhésive, une fine couche de caoutchouc destinée à être, dans un premier temps, appliquée sur une surface pour la préserver d’éventuelles traces de peinture, puis dans un second temps, retirée sans incidences pour l’étendue jusqu'alors recouverte. Conçu pour une utilisation éphémère, la constitution chancelante de cet adhésif ne rend son activité que plus manifeste, agissant sans cesse pour maintenir son adhésion au support, sa pérennité est continuellement remise en jeu. Cette ténacité pour subsister tel qu'il est établi, le scotch ne la doit qu’à son autonomie, à sa propre capacité matérielle, et c'est précisément cette caractéristique qui m'a conduit à concevoir des masses, en l'occurrence des figures, entièrement constituées de ruban adhésif, des formes qui ne persistent que par la résistance de leurs fragments solidarisés. Seulement, de l'absence de structure interne, et de la souplesse du matériau accumulé pour élever la forme, ne résultaient que des agrégats aux reliefs raboteux, couverts d'aspérités, des amas aux fondement incertains, susceptibles d'être renversés à la moindre secousse. Alors l'ossature auparavant esquivée s'est imposée, cette fois-ci à l'extérieur des corps élaborés, sous la forme de socles, des espaces limités, stabilisés et capables de contenir les figures. De cette expérience est apparue la problématique qui a irrigué la suite de mes recherches plastiques, à savoir : par quels moyens l'autonomie présumée d'une chose peut-elle subsister au sein d'une structure qui, par conséquent, la contraint tout autant qu'elle la contient ? (...)
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« De cette fenêtre, j'aperçois le bâti d'une autre » de Axel Cousin, diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« À l'origine de cette recherche, il y a le ruban de masquage, surnommé scotch de peintre, une matière constituée d'un papier légèrement crêpé, et dont l'une des deux faces est enduite d'une masse adhésive, une fine couche de caoutchouc destinée à être, dans un premier temps, appliquée sur une surface pour la préserver d’éventuelles traces de peinture, puis dans un second temps, retirée sans incidences pour l’étendue jusqu'alors recouverte. Conçu pour une utilisation éphémère, la constitution chancelante de cet adhésif ne rend son activité que plus manifeste, agissant sans cesse pour maintenir son adhésion au support, sa pérennité est continuellement remise en jeu. Cette ténacité pour subsister tel qu'il est établi, le scotch ne la doit qu’à son autonomie, à sa propre capacité matérielle, et c'est précisément cette caractéristique qui m'a conduit à concevoir des masses, en l'occurrence des figures, entièrement constituées de ruban adhésif, des formes qui ne persistent que par la résistance de leurs fragments solidarisés. Seulement, de l'absence de structure interne, et de la souplesse du matériau accumulé pour élever la forme, ne résultaient que des agrégats aux reliefs raboteux, couverts d'aspérités, des amas aux fondement incertains, susceptibles d'être renversés à la moindre secousse. Alors l'ossature auparavant esquivée s'est imposée, cette fois-ci à l'extérieur des corps élaborés, sous la forme de socles, des espaces limités, stabilisés et capables de contenir les figures. De cette expérience est apparue la problématique qui a irrigué la suite de mes recherches plastiques, à savoir : par quels moyens l'autonomie présumée d'une chose peut-elle subsister au sein d'une structure qui, par conséquent, la contraint tout autant qu'elle la contient ? (...)
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« De cette fenêtre, j'aperçois le bâti d'une autre » de Axel Cousin, diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« À l'origine de cette recherche, il y a le ruban de masquage, surnommé scotch de peintre, une matière constituée d'un papier légèrement crêpé, et dont l'une des deux faces est enduite d'une masse adhésive, une fine couche de caoutchouc destinée à être, dans un premier temps, appliquée sur une surface pour la préserver d’éventuelles traces de peinture, puis dans un second temps, retirée sans incidences pour l’étendue jusqu'alors recouverte. Conçu pour une utilisation éphémère, la constitution chancelante de cet adhésif ne rend son activité que plus manifeste, agissant sans cesse pour maintenir son adhésion au support, sa pérennité est continuellement remise en jeu. Cette ténacité pour subsister tel qu'il est établi, le scotch ne la doit qu’à son autonomie, à sa propre capacité matérielle, et c'est précisément cette caractéristique qui m'a conduit à concevoir des masses, en l'occurrence des figures, entièrement constituées de ruban adhésif, des formes qui ne persistent que par la résistance de leurs fragments solidarisés. Seulement, de l'absence de structure interne, et de la souplesse du matériau accumulé pour élever la forme, ne résultaient que des agrégats aux reliefs raboteux, couverts d'aspérités, des amas aux fondement incertains, susceptibles d'être renversés à la moindre secousse. Alors l'ossature auparavant esquivée s'est imposée, cette fois-ci à l'extérieur des corps élaborés, sous la forme de socles, des espaces limités, stabilisés et capables de contenir les figures. De cette expérience est apparue la problématique qui a irrigué la suite de mes recherches plastiques, à savoir : par quels moyens l'autonomie présumée d'une chose peut-elle subsister au sein d'une structure qui, par conséquent, la contraint tout autant qu'elle la contient ? (...)
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« De cette fenêtre, j'aperçois le bâti d'une autre » de Axel Cousin, diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« À l'origine de cette recherche, il y a le ruban de masquage, surnommé scotch de peintre, une matière constituée d'un papier légèrement crêpé, et dont l'une des deux faces est enduite d'une masse adhésive, une fine couche de caoutchouc destinée à être, dans un premier temps, appliquée sur une surface pour la préserver d’éventuelles traces de peinture, puis dans un second temps, retirée sans incidences pour l’étendue jusqu'alors recouverte. Conçu pour une utilisation éphémère, la constitution chancelante de cet adhésif ne rend son activité que plus manifeste, agissant sans cesse pour maintenir son adhésion au support, sa pérennité est continuellement remise en jeu. Cette ténacité pour subsister tel qu'il est établi, le scotch ne la doit qu’à son autonomie, à sa propre capacité matérielle, et c'est précisément cette caractéristique qui m'a conduit à concevoir des masses, en l'occurrence des figures, entièrement constituées de ruban adhésif, des formes qui ne persistent que par la résistance de leurs fragments solidarisés. Seulement, de l'absence de structure interne, et de la souplesse du matériau accumulé pour élever la forme, ne résultaient que des agrégats aux reliefs raboteux, couverts d'aspérités, des amas aux fondement incertains, susceptibles d'être renversés à la moindre secousse. Alors l'ossature auparavant esquivée s'est imposée, cette fois-ci à l'extérieur des corps élaborés, sous la forme de socles, des espaces limités, stabilisés et capables de contenir les figures. De cette expérience est apparue la problématique qui a irrigué la suite de mes recherches plastiques, à savoir : par quels moyens l'autonomie présumée d'une chose peut-elle subsister au sein d'une structure qui, par conséquent, la contraint tout autant qu'elle la contient ? (...)
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« De cette fenêtre, j'aperçois le bâti d'une autre » de Axel Cousin, diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« À l'origine de cette recherche, il y a le ruban de masquage, surnommé scotch de peintre, une matière constituée d'un papier légèrement crêpé, et dont l'une des deux faces est enduite d'une masse adhésive, une fine couche de caoutchouc destinée à être, dans un premier temps, appliquée sur une surface pour la préserver d’éventuelles traces de peinture, puis dans un second temps, retirée sans incidences pour l’étendue jusqu'alors recouverte. Conçu pour une utilisation éphémère, la constitution chancelante de cet adhésif ne rend son activité que plus manifeste, agissant sans cesse pour maintenir son adhésion au support, sa pérennité est continuellement remise en jeu. Cette ténacité pour subsister tel qu'il est établi, le scotch ne la doit qu’à son autonomie, à sa propre capacité matérielle, et c'est précisément cette caractéristique qui m'a conduit à concevoir des masses, en l'occurrence des figures, entièrement constituées de ruban adhésif, des formes qui ne persistent que par la résistance de leurs fragments solidarisés. Seulement, de l'absence de structure interne, et de la souplesse du matériau accumulé pour élever la forme, ne résultaient que des agrégats aux reliefs raboteux, couverts d'aspérités, des amas aux fondement incertains, susceptibles d'être renversés à la moindre secousse. Alors l'ossature auparavant esquivée s'est imposée, cette fois-ci à l'extérieur des corps élaborés, sous la forme de socles, des espaces limités, stabilisés et capables de contenir les figures. De cette expérience est apparue la problématique qui a irrigué la suite de mes recherches plastiques, à savoir : par quels moyens l'autonomie présumée d'une chose peut-elle subsister au sein d'une structure qui, par conséquent, la contraint tout autant qu'elle la contient ? (...)
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« De cette fenêtre, j'aperçois le bâti d'une autre » de Axel Cousin, diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« À l'origine de cette recherche, il y a le ruban de masquage, surnommé scotch de peintre, une matière constituée d'un papier légèrement crêpé, et dont l'une des deux faces est enduite d'une masse adhésive, une fine couche de caoutchouc destinée à être, dans un premier temps, appliquée sur une surface pour la préserver d’éventuelles traces de peinture, puis dans un second temps, retirée sans incidences pour l’étendue jusqu'alors recouverte. Conçu pour une utilisation éphémère, la constitution chancelante de cet adhésif ne rend son activité que plus manifeste, agissant sans cesse pour maintenir son adhésion au support, sa pérennité est continuellement remise en jeu. Cette ténacité pour subsister tel qu'il est établi, le scotch ne la doit qu’à son autonomie, à sa propre capacité matérielle, et c'est précisément cette caractéristique qui m'a conduit à concevoir des masses, en l'occurrence des figures, entièrement constituées de ruban adhésif, des formes qui ne persistent que par la résistance de leurs fragments solidarisés. Seulement, de l'absence de structure interne, et de la souplesse du matériau accumulé pour élever la forme, ne résultaient que des agrégats aux reliefs raboteux, couverts d'aspérités, des amas aux fondement incertains, susceptibles d'être renversés à la moindre secousse. Alors l'ossature auparavant esquivée s'est imposée, cette fois-ci à l'extérieur des corps élaborés, sous la forme de socles, des espaces limités, stabilisés et capables de contenir les figures. De cette expérience est apparue la problématique qui a irrigué la suite de mes recherches plastiques, à savoir : par quels moyens l'autonomie présumée d'une chose peut-elle subsister au sein d'une structure qui, par conséquent, la contraint tout autant qu'elle la contient ? (...)
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« À l'origine de cette recherche, il y a le ruban de masquage, surnommé scotch de peintre, une matière constituée d'un papier légèrement crêpé, et dont l'une des deux faces est enduite d'une masse adhésive, une fine couche de caoutchouc destinée à être, dans un premier temps, appliquée sur une surface pour la préserver d’éventuelles traces de peinture, puis dans un second temps, retirée sans incidences pour l’étendue jusqu'alors recouverte. Conçu pour une utilisation éphémère, la constitution chancelante de cet adhésif ne rend son activité que plus manifeste, agissant sans cesse pour maintenir son adhésion au support, sa pérennité est continuellement remise en jeu. Cette ténacité pour subsister tel qu'il est établi, le scotch ne la doit qu’à son autonomie, à sa propre capacité matérielle, et c'est précisément cette caractéristique qui m'a conduit à concevoir des masses, en l'occurrence des figures, entièrement constituées de ruban adhésif, des formes qui ne persistent que par la résistance de leurs fragments solidarisés. Seulement, de l'absence de structure interne, et de la souplesse du matériau accumulé pour élever la forme, ne résultaient que des agrégats aux reliefs raboteux, couverts d'aspérités, des amas aux fondement incertains, susceptibles d'être renversés à la moindre secousse. Alors l'ossature auparavant esquivée s'est imposée, cette fois-ci à l'extérieur des corps élaborés, sous la forme de socles, des espaces limités, stabilisés et capables de contenir les figures. De cette expérience est apparue la problématique qui a irrigué la suite de mes recherches plastiques, à savoir : par quels moyens l'autonomie présumée d'une chose peut-elle subsister au sein d'une structure qui, par conséquent, la contraint tout autant qu'elle la contient ? (...)
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« De cette fenêtre, j'aperçois le bâti d'une autre » de Axel Cousin, diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« À l'origine de cette recherche, il y a le ruban de masquage, surnommé scotch de peintre, une matière constituée d'un papier légèrement crêpé, et dont l'une des deux faces est enduite d'une masse adhésive, une fine couche de caoutchouc destinée à être, dans un premier temps, appliquée sur une surface pour la préserver d’éventuelles traces de peinture, puis dans un second temps, retirée sans incidences pour l’étendue jusqu'alors recouverte. Conçu pour une utilisation éphémère, la constitution chancelante de cet adhésif ne rend son activité que plus manifeste, agissant sans cesse pour maintenir son adhésion au support, sa pérennité est continuellement remise en jeu. Cette ténacité pour subsister tel qu'il est établi, le scotch ne la doit qu’à son autonomie, à sa propre capacité matérielle, et c'est précisément cette caractéristique qui m'a conduit à concevoir des masses, en l'occurrence des figures, entièrement constituées de ruban adhésif, des formes qui ne persistent que par la résistance de leurs fragments solidarisés. Seulement, de l'absence de structure interne, et de la souplesse du matériau accumulé pour élever la forme, ne résultaient que des agrégats aux reliefs raboteux, couverts d'aspérités, des amas aux fondement incertains, susceptibles d'être renversés à la moindre secousse. Alors l'ossature auparavant esquivée s'est imposée, cette fois-ci à l'extérieur des corps élaborés, sous la forme de socles, des espaces limités, stabilisés et capables de contenir les figures. De cette expérience est apparue la problématique qui a irrigué la suite de mes recherches plastiques, à savoir : par quels moyens l'autonomie présumée d'une chose peut-elle subsister au sein d'une structure qui, par conséquent, la contraint tout autant qu'elle la contient ? (...)
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Avant l'aube » de Mathieu Champion @empochait_humain , diplômé en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Voilà des objets qui cherche à prendre soin d’un lien abîmé entre eux et nous. Des choses qui s’emparent de leur potentiel narratif pour nous chuchoter l’histoire de leur genèse ; qui montrent tantôt timidement, tantôt franchement, le geste façonnant, fascinant.
Notre manière d’interagir avec le monde est de plus en plus distante. Nous manipulons notre environnement plus que nous l’habitons, à travers des systèmes aussi complexes qu’insaisissables. Le fossé creusé entre production et consommation abîme notre rapport aux choses. Je nous invite à le soigné en observant avec bienveillance la technique qui a bien plus à raconter que sa seule efficacité.
«The medium is the message», je choisis donc de faire de l’objet lui-même le messager de sa propre création ; fabriquant des artefacts qui laissent transparaître leur histoire ; montrant le faire concret, manuel, matériel par l’objet concret, touchable, portable... 
Je profite des potentiels esthétiques de l’atelier pour créer un imaginaire sensible du faire :
~  En utilisant des techniques figuratives pour incarner des moments de fabrication.
~  En conservant les traces, témoins de la naissance des objets. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Avant l'aube » de Mathieu Champion @empochait_humain , diplômé en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Voilà des objets qui cherche à prendre soin d’un lien abîmé entre eux et nous. Des choses qui s’emparent de leur potentiel narratif pour nous chuchoter l’histoire de leur genèse ; qui montrent tantôt timidement, tantôt franchement, le geste façonnant, fascinant.
Notre manière d’interagir avec le monde est de plus en plus distante. Nous manipulons notre environnement plus que nous l’habitons, à travers des systèmes aussi complexes qu’insaisissables. Le fossé creusé entre production et consommation abîme notre rapport aux choses. Je nous invite à le soigné en observant avec bienveillance la technique qui a bien plus à raconter que sa seule efficacité.
«The medium is the message», je choisis donc de faire de l’objet lui-même le messager de sa propre création ; fabriquant des artefacts qui laissent transparaître leur histoire ; montrant le faire concret, manuel, matériel par l’objet concret, touchable, portable... 
Je profite des potentiels esthétiques de l’atelier pour créer un imaginaire sensible du faire :
~  En utilisant des techniques figuratives pour incarner des moments de fabrication.
~  En conservant les traces, témoins de la naissance des objets. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Avant l'aube » de Mathieu Champion @empochait_humain , diplômé en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Voilà des objets qui cherche à prendre soin d’un lien abîmé entre eux et nous. Des choses qui s’emparent de leur potentiel narratif pour nous chuchoter l’histoire de leur genèse ; qui montrent tantôt timidement, tantôt franchement, le geste façonnant, fascinant.
Notre manière d’interagir avec le monde est de plus en plus distante. Nous manipulons notre environnement plus que nous l’habitons, à travers des systèmes aussi complexes qu’insaisissables. Le fossé creusé entre production et consommation abîme notre rapport aux choses. Je nous invite à le soigné en observant avec bienveillance la technique qui a bien plus à raconter que sa seule efficacité.
«The medium is the message», je choisis donc de faire de l’objet lui-même le messager de sa propre création ; fabriquant des artefacts qui laissent transparaître leur histoire ; montrant le faire concret, manuel, matériel par l’objet concret, touchable, portable... 
Je profite des potentiels esthétiques de l’atelier pour créer un imaginaire sensible du faire :
~  En utilisant des techniques figuratives pour incarner des moments de fabrication.
~  En conservant les traces, témoins de la naissance des objets. »
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« Voilà des objets qui cherche à prendre soin d’un lien abîmé entre eux et nous. Des choses qui s’emparent de leur potentiel narratif pour nous chuchoter l’histoire de leur genèse ; qui montrent tantôt timidement, tantôt franchement, le geste façonnant, fascinant.
Notre manière d’interagir avec le monde est de plus en plus distante. Nous manipulons notre environnement plus que nous l’habitons, à travers des systèmes aussi complexes qu’insaisissables. Le fossé creusé entre production et consommation abîme notre rapport aux choses. Je nous invite à le soigné en observant avec bienveillance la technique qui a bien plus à raconter que sa seule efficacité.
«The medium is the message», je choisis donc de faire de l’objet lui-même le messager de sa propre création ; fabriquant des artefacts qui laissent transparaître leur histoire ; montrant le faire concret, manuel, matériel par l’objet concret, touchable, portable... 
Je profite des potentiels esthétiques de l’atelier pour créer un imaginaire sensible du faire :
~  En utilisant des techniques figuratives pour incarner des moments de fabrication.
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« Voilà des objets qui cherche à prendre soin d’un lien abîmé entre eux et nous. Des choses qui s’emparent de leur potentiel narratif pour nous chuchoter l’histoire de leur genèse ; qui montrent tantôt timidement, tantôt franchement, le geste façonnant, fascinant.
Notre manière d’interagir avec le monde est de plus en plus distante. Nous manipulons notre environnement plus que nous l’habitons, à travers des systèmes aussi complexes qu’insaisissables. Le fossé creusé entre production et consommation abîme notre rapport aux choses. Je nous invite à le soigné en observant avec bienveillance la technique qui a bien plus à raconter que sa seule efficacité.
«The medium is the message», je choisis donc de faire de l’objet lui-même le messager de sa propre création ; fabriquant des artefacts qui laissent transparaître leur histoire ; montrant le faire concret, manuel, matériel par l’objet concret, touchable, portable... 
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~  En utilisant des techniques figuratives pour incarner des moments de fabrication.
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« Voilà des objets qui cherche à prendre soin d’un lien abîmé entre eux et nous. Des choses qui s’emparent de leur potentiel narratif pour nous chuchoter l’histoire de leur genèse ; qui montrent tantôt timidement, tantôt franchement, le geste façonnant, fascinant.
Notre manière d’interagir avec le monde est de plus en plus distante. Nous manipulons notre environnement plus que nous l’habitons, à travers des systèmes aussi complexes qu’insaisissables. Le fossé creusé entre production et consommation abîme notre rapport aux choses. Je nous invite à le soigné en observant avec bienveillance la technique qui a bien plus à raconter que sa seule efficacité.
«The medium is the message», je choisis donc de faire de l’objet lui-même le messager de sa propre création ; fabriquant des artefacts qui laissent transparaître leur histoire ; montrant le faire concret, manuel, matériel par l’objet concret, touchable, portable... 
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~  En utilisant des techniques figuratives pour incarner des moments de fabrication.
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« Voilà des objets qui cherche à prendre soin d’un lien abîmé entre eux et nous. Des choses qui s’emparent de leur potentiel narratif pour nous chuchoter l’histoire de leur genèse ; qui montrent tantôt timidement, tantôt franchement, le geste façonnant, fascinant.
Notre manière d’interagir avec le monde est de plus en plus distante. Nous manipulons notre environnement plus que nous l’habitons, à travers des systèmes aussi complexes qu’insaisissables. Le fossé creusé entre production et consommation abîme notre rapport aux choses. Je nous invite à le soigné en observant avec bienveillance la technique qui a bien plus à raconter que sa seule efficacité.
«The medium is the message», je choisis donc de faire de l’objet lui-même le messager de sa propre création ; fabriquant des artefacts qui laissent transparaître leur histoire ; montrant le faire concret, manuel, matériel par l’objet concret, touchable, portable... 
Je profite des potentiels esthétiques de l’atelier pour créer un imaginaire sensible du faire :
~  En utilisant des techniques figuratives pour incarner des moments de fabrication.
~  En conservant les traces, témoins de la naissance des objets. »
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Notre manière d’interagir avec le monde est de plus en plus distante. Nous manipulons notre environnement plus que nous l’habitons, à travers des systèmes aussi complexes qu’insaisissables. Le fossé creusé entre production et consommation abîme notre rapport aux choses. Je nous invite à le soigné en observant avec bienveillance la technique qui a bien plus à raconter que sa seule efficacité.
«The medium is the message», je choisis donc de faire de l’objet lui-même le messager de sa propre création ; fabriquant des artefacts qui laissent transparaître leur histoire ; montrant le faire concret, manuel, matériel par l’objet concret, touchable, portable... 
Je profite des potentiels esthétiques de l’atelier pour créer un imaginaire sensible du faire :
~  En utilisant des techniques figuratives pour incarner des moments de fabrication.
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Notre manière d’interagir avec le monde est de plus en plus distante. Nous manipulons notre environnement plus que nous l’habitons, à travers des systèmes aussi complexes qu’insaisissables. Le fossé creusé entre production et consommation abîme notre rapport aux choses. Je nous invite à le soigné en observant avec bienveillance la technique qui a bien plus à raconter que sa seule efficacité.
«The medium is the message», je choisis donc de faire de l’objet lui-même le messager de sa propre création ; fabriquant des artefacts qui laissent transparaître leur histoire ; montrant le faire concret, manuel, matériel par l’objet concret, touchable, portable... 
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« Avant l'aube » de Mathieu Champion @empochait_humain , diplômé en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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« Voilà des objets qui cherche à prendre soin d’un lien abîmé entre eux et nous. Des choses qui s’emparent de leur potentiel narratif pour nous chuchoter l’histoire de leur genèse ; qui montrent tantôt timidement, tantôt franchement, le geste façonnant, fascinant.
Notre manière d’interagir avec le monde est de plus en plus distante. Nous manipulons notre environnement plus que nous l’habitons, à travers des systèmes aussi complexes qu’insaisissables. Le fossé creusé entre production et consommation abîme notre rapport aux choses. Je nous invite à le soigné en observant avec bienveillance la technique qui a bien plus à raconter que sa seule efficacité.
«The medium is the message», je choisis donc de faire de l’objet lui-même le messager de sa propre création ; fabriquant des artefacts qui laissent transparaître leur histoire ; montrant le faire concret, manuel, matériel par l’objet concret, touchable, portable... 
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[La Renverse][Chaire Ecodesign & création] 🍃 Retour en image sur le workshop La Renverse x Chaire Écodesign & Création : Design d’espace végétalisé en banlieue 
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🖇 Pour sa troisième année, la Chaire Écodesign & Création a collaboré avec les étudiant.es de La Renverse pour un workshop dédié au design social, sur le sujet des espaces publics végétalisés en banlieue. 
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💚 La Renverse @larenverse93 , est un programme co-créé par les Ateliers Médicis @ateliersmedicis  et l’École des Arts Décoratifs – PSL, offrant un cursus d’orientation et de mise à niveau en arts visuels et appliqués. Il s’agit d’une formation à temps plein destinée à des jeunes passionné·es par la création, âgé·es de 18 à 25 ans résidant en Seine-Saint-Denis ou départements limitrophes. L’ambition de La Renverse est d’accompagner l’émergence de ces voix nouvelles dans le paysage culturel actuel. 
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☘️ Le workshop, guidé par l’artiste et designer francilienne Wendy Owusu @wendyowusu_  et co-conçu avec le designer Waren Boyeau @warenboyeau , s’est concentré sur la thématique « prendre soin ». Le projet est parti du constat de la vulnérabilité des territoires de banlieue face aux effets du dérèglement climatique. En réponse à cela, les espaces publics végétalisés apparaissent comme de véritables leviers d’adaptation. Offrant des bulles de fraîcheur dans la ville, ils sont aussi des invitations à sortir de l’isolement et à construire des relations à échelle locale. Sur le long terme, ces espaces de nature peuvent accompagner la transformation des usages et renforcer la résilience des banlieues. 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[La Renverse][Chaire Ecodesign & création] 🍃 Retour en image sur le workshop La Renverse x Chaire Écodesign & Création : Design d’espace végétalisé en banlieue 
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🖇 Pour sa troisième année, la Chaire Écodesign & Création a collaboré avec les étudiant.es de La Renverse pour un workshop dédié au design social, sur le sujet des espaces publics végétalisés en banlieue. 
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💚 La Renverse @larenverse93 , est un programme co-créé par les Ateliers Médicis @ateliersmedicis  et l’École des Arts Décoratifs – PSL, offrant un cursus d’orientation et de mise à niveau en arts visuels et appliqués. Il s’agit d’une formation à temps plein destinée à des jeunes passionné·es par la création, âgé·es de 18 à 25 ans résidant en Seine-Saint-Denis ou départements limitrophes. L’ambition de La Renverse est d’accompagner l’émergence de ces voix nouvelles dans le paysage culturel actuel. 
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☘️ Le workshop, guidé par l’artiste et designer francilienne Wendy Owusu @wendyowusu_  et co-conçu avec le designer Waren Boyeau @warenboyeau , s’est concentré sur la thématique « prendre soin ». Le projet est parti du constat de la vulnérabilité des territoires de banlieue face aux effets du dérèglement climatique. En réponse à cela, les espaces publics végétalisés apparaissent comme de véritables leviers d’adaptation. Offrant des bulles de fraîcheur dans la ville, ils sont aussi des invitations à sortir de l’isolement et à construire des relations à échelle locale. Sur le long terme, ces espaces de nature peuvent accompagner la transformation des usages et renforcer la résilience des banlieues. 
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AFTER][Diplôme Master 2024]
« La forêt à l’envers » de Emilie Louste, diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Luca marche. L’espace exploré défile, sous ses doigts, sous ses pieds, tout autour en sensations et raconte la disparition de 4 autres personnages.
.
Ce projet est une rencontre avec la narration dans sa forme imprimée et reliée en un livre, il est inspiré du rythme et des modes de narration ambiante et diffuse des open-worlds ou walking simulators, (des jeux vidéo comme Gris ou Journey) dont le gameplay tourne autour de la petitesse et l’émerveillement du personnage dans son environnement, des sensations qui s’y installent, du temps qui passe, et de la répétition de moments de solitude. 
.
Il s’agit de raconter un espace parcouru, qui raconte lui-même des histoires, puisqu’il porte des traces, des ruines, des habitants, et qu'il est le résultat d’un passé qu’un lecteur ou une lectrice est libre de lire et recomposer. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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