La formation du secteur design graphique se caractérise par l’importance accordée à la relation au temps et à l’histoire de la discipline, doublée par un questionnement sur ses développements futurs.
Le travail demandé, d’intervenir sur un objet pour en faire un autre, suggère d’aller chercher du côté de l’intervention, du parasitage ; c’est une manière qui aide à comprendre la dimension physique du livre…
Mise en forme d’un texte d’auteur
Les procédures de mise en forme du texte font l’objet d’une série de cours.
L’« objet livre » est envisagé au cas par cas avec chaque étudiant.
Les étudiant·es ont été invité·es à se consacrer à des expérimentations combinant les médiums lumière et lettre / typographie, en travaillant à partir d’un mot clé ou de plusieurs mots, en vue de leur expression et en tenant compte des sensations produites. La sensation du temps qui passe est matérialisée par la lumière naturelle changeante, tandis que la lumière artificielle propose des qualités diverses en propagation et couleurs ainsi qu’en moyens techniques.
Enseignantes : Nathalie Junod-Ponsard (artiste lumière) et Roxane Jubert
Êtudiant·es : Charlotte Attal, Louise Bailay, Paulin Barthe, Théophile Berthemet, Sami Bizien, Camille Boyer, Martha Dro, Louise Garric, Paul Judic, Alexandra Piat, Mathilde Torteau (4e et 5e années Design Graphique)
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
photo : Nathalie Junod-Ponsard, fév. 2020
Ce cours s’est ouvert avec une conférence de Fabrice Flipo sur les impacts environnementaux et la sobriété numériques.
Les étudiant·es ont ensuite été invité·es à choisir un sujet relatif aux impacts environnementaux, à des expériences impliquées dans les enjeux écologiques, à des témoignages, à leur propre perception de ces sujets, etc.
Nous avons pris, sans vraiment nous en apercevoir, l’habitude du regard photographique. Les images de cartes postales nous entourent d’un amas de cadres mal délimités. Une sorte de réaction m’appelle à revenir à des fondamentaux parfois évincés tels que le regard et les outils qui le servent, une certaine nostalgie d’un temps où l’oeil prenait le temps de se poser et où les images étaient souvent fixées avec plus de détermination.
Conception collective du projet Cellulæ, un PDF interactif imaginé lors du premier confinement.
Organisation en sous-groupes, autour de cinq ateliers thématiques collectifs en distanciel.
Intitulés des ateliers :
— Interrelations
— La vue en boîte
— Construction et déconstruction
— Fûryû
— Système chaîné
