JPO
Vendredi 30 janvier (13h à 21h) et Samedi 31 janvier 2026 (10h à 20h)
2026-01-30 09:00:00
Inscription visite Ecole
Téléchargements
  • Brochure de l’Ecole des Arts Décoratifs, Paris
  • Cartographie et schéma des études
  • Règlement Concours 1
  • Règlement commission d’entrée en cours de cursus
  • Accueil
  • Vidéos
    • Visitez l’Ecole et ses ateliers
  • FAQ
  • Accueil
  • Vidéos
    • Visitez l’Ecole et ses ateliers
  • FAQ
CGU,

CGU,

  1. Mentions légales et crédits
    Le site internet https://jpo.ensad.fr est édité et géré par l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs, dont le siège social est situé 31 rue d’Ulm – 75005 Paris.
    Le directeur de la publication est le représentant légal de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs (EnsAD) :  Emmanuel Tibloux.
    Le site mentionné ci-dessus est hébergé par l’EnsAD.


  2. Champs d’application
    Le site internet accessible à l’adresse internet https://jpo.ensad.fr/ constitue un portail de préinscription aux cours du soir dispensés par l’EnsAD (ci-après le « Portail » ou « le Site») dont l’EnsAD est responsable de traitement (le Portail Institutionnel, les Plateformes désignés ci-après ensemble le « Site »). Les CGU et la Politique de Confidentialité s’appliquent à tout site.
    Le Site est régi par les présentes conditions générales d’utilisation (ci-après les « CGU »).
    Les dispositions des présentes CGU régissent les relations entre l’EnsAD et toute personne qui navigue sur le Site, utilise les différents services d’admission, d’inscriptions (ci-après les « Services ») et/ou interagit avec l’EnsAD dans le cadre de l’utilisation du Site (ci-après le ou les « Utilisateur(s) »).
    Les CGU sont directement consultables sur le Site à tout moment. L’EnsAD se réserve le droit de les modifier à tout moment. Les CGU modifiées prendront effet à la date de leur mise en ligne sur le Site et sont réputées acceptées sans réserve par tout Utilisateur qui navigue sur le Site postérieurement à leur mise en ligne. Les CGU applicables sont celles en vigueur au jour de la navigation sur le Site.


  3. Les Mineurs
    Les personnes mineures peuvent utiliser le Site et les Services, sous la responsabilité et avec l’autorisation de leur responsable légal.


  4. Propriété intellectuelle
    L’Utilisateur reconnaît que le Site et son contenu (ci-après le « Contenu » incluant, sans que cette liste soit limitative, tous textes, graphiques, images, logos, noms, marques, dénominations, sons, photographies, iconographies, vidéos, dessins, données, logiciels ou autres)  sont protégés par le droit de la propriété intellectuelle et sont la propriété exclusive de l’EnsAD ou sont concédés sous licences à l’EnsAD.
    Le Site et/ou son Contenu ne peuvent en aucun cas être en tout ou partie modifiés, reproduits, représentés, distribués, affichés, commercialisés, intégrés dans une œuvre dérivée ou autre, et ce sur quelque support que ce soit. De manière générale, le Site et son Contenu ne peuvent être utilisés que dans le cadre d’une navigation sur le Site et, le cas échéant, pour utiliser les Services.
    L’usage de tout ou partie du Site et/ou de son Contenu, notamment par téléchargement, reproduction, transmission ou représentation à d’autres fins que celles prévues aux présentes CGU est strictement interdit.
    Sous réserve du respect des présentes CGU, l’EnsAD accorde aux Utilisateurs un droit personnel, non-exclusif et non-transférable d’accéder et d’utiliser le Site et son Contenu aux seules fins de consultation du Site et d’utilisation des Services.
    A l’exception de ce qui précède, il est strictement interdit aux Utilisateurs de :
    • copier, reproduire, représenter, diffuser, distribuer, publier, de façon permanente ou provisoire, tout ou partie du Site et/ou de son Contenu par tout moyen et sur tout support connu ou inconnu à ce jour;
    • créer des œuvres dérivées à partir du Site et/ou de son Contenu ;
    • modifier, traduire, adapter, arranger,  tout ou partie du Site et/ou de son Contenu ;
    • désassembler, décompiler, effectuer de l’ingénierie inverse sur le Site et/ou son Contenu ;
    • distribuer, transmettre, diffuser, vendre, louer, concéder ou exploiter, de quelque manière que ce soit, sans l’accord exprès écrit préalable de l’EnsAD, tout ou partie du Site et/ou de son Contenu.


  5. Données personnelles
    Lorsque l’Utilisateur navigue sur le Site, utilise les Services, l’EnsAD collecte et utilise des données à caractère personnel le concernant.
    L’EnsAD s’engage à assurer la protection des données à caractère personnel des Utilisateurs. Pour plus d’information sur les modalités de collecte, d’utilisation et de traitement des données à caractère personnel par l’EnsAD, l’Utilisateur est invité à consulter la Politique de Confidentialité de l’EnsAD disponible ici.


  6. Liens hypertextes
    Le Site peut proposer des liens vers d’autres sites internet. Dans la mesure où l’EnsAD ne peut exercer un contrôle sur ces sites internet tiers, l’EnsAD ne prend aucun engagement quant à la mise à disposition et le contenu de ces sites, et décline toute responsabilité quant au contenu, publicités, produits, services ou tout autre matériel disponible sur ou à partir de ces sites ou sources externes.
    L’EnsAD décline également toute responsabilité quant aux dommages ou pertes avérés ou allégués, consécutifs ou en relation avec l’utilisation, ou avec le fait d’avoir fait confiance au contenu, à des biens ou des services disponibles sur ces sites internet tiers.


  7. Garantie – Responsabilité
    La responsabilité de l’Utilisateur
    Dans le cadre de l’utilisation du Site et/ou de l’accès aux Services, l’Utilisateur s’engage à :
    • rester courtois et ne pas tenir de propos et/ou n’avoir aucun comportement désobligeant de nature à porter atteinte, de quelque manière que ce soit, à l’EnsAD, aux autres Utilisateurs et plus généralement à tout tiers ;
    • ne pas tenter de perturber ou de compromettre l’intégrité ou la sécurité du système de l’EnsAD, ou de déchiffrer toute transmission à destination ou en provenance des serveurs du Site ou des Services ;
    • ne pas télécharger des données non valides, des virus, des vers ou tout autre agent logiciel par le biais du Site ou des Services ;
    • ne pas usurper l’identité de toute personne physique ou morale, d’utiliser un faux nom ou de faire de fausses déclarations lors de l’utilisation du Site ou des Services ;
    • ne pas se livrer à tout acte de piratage, de procéder à l’envoi de courriers électroniques non sollicités ou de réaliser toute opération d’hameçonnage, à l’encontre de l’EnsAD ou à celle d’autres Utilisateurs ;
    • ne pas utiliser le Site ou les Services d’une manière qui n’est pas conforme aux présentes CGU.
    Si l’Utilisateur venait à manquer à l’une quelconque de ces obligations, ce dernier serait seul responsable des dommages causés par lui à l’EnsAD, aux autres Utilisateurs ou aux tiers. A ce titre, l’Utilisateur s’engage à garantir l’EnsAD contre l’ensemble des réclamations, actions ou recours de toute nature qui pourraient en résulter et à l’indemniser des dommages, frais ou indemnités quelconques y afférents.


  8. La responsabilité de l’EnsAD
    L’EnsAD veille à la mise à jour régulière du Site mais ne peut garantir aux Utilisateurs l’exactitude et/ou l’actualité de toutes les informations publiées. En conséquence, l’EnsAD décline toute responsabilité au regard d’éventuelles imprécisions, omissions ou erreurs.
    Le Site est normalement accessible 24 heures sur 24, et 7 jours sur 7, sous réserve :
    • d’un cas de force majeure ;
    • de la disponibilité du réseau internet ;
    • des suspensions temporaires du Site pour des raisons techniques liées à des mises à jour du Site, à sa maintenance ou à toute autre cause technique.
    L’EnsAD s’engage, sur la base d’une obligation de moyens, à fournir un accès au Site et aux Services, à agir avec diligence et compétence et mettre tout en œuvre, dans une limite raisonnable, afin de remédier à tout dysfonctionnement porté à sa connaissance.
    L’EnsAD peut cependant se trouver dans l’obligation de suspendre momentanément ou définitivement le Site ou les Services sans préavis, pour des raisons techniques de maintenance quelle qu’en soit l’origine ou la cause, sans que ceci n’entraîne de responsabilité de l’EnsAD.
    Il est précisé que le réseau Internet et les systèmes informatiques et de télécommunications utilisés dans le cadre de l’accès à et de l’utilisation du Site ne sont pas exempts d’erreurs et des interruptions et pannes peuvent occasionnellement survenir. La responsabilité de l’EnsAD ne saurait être engagée pour tous les inconvénients ou dommages liées à l’utilisation du réseau Internet. Il appartient aux Utilisateurs de prendre toute mesure appropriée pour assurer la sécurité de leurs équipements, données, logiciels ou autres, notamment contre la contamination par tout virus et/ou de tentative d’intrusion dont ils pourraient être victimes.
    L’EnsAD décline également toute responsabilité :
    • En cas de dommage directs ou indirects causés à l’Utilisateur, quelle qu’en soit la nature, résultant du contenu, de l’accès, ou de l’utilisation du Site (et/ou des sites qui lui sont liés),
    • En cas d’utilisation anormale ou d’une exploitation illicite du Site.


  9. Droit applicable – Litiges
    Les présentes CGU sont soumises au droit français.
    En cas de réclamation ou de litige concernant l’application, l’interprétation ou l’exécution des présentes CGU, les parties s’engagent à rechercher un règlement amiable au différend concerné avant toute action judiciaire ou recours à une procédure de médiation. À défaut d’accord amiable, les tribunaux français seront seuls compétents.


  10. Divers
    Dans l’hypothèse où une ou plusieurs des stipulations des CGU serai(en)t considérée(s) comme non valable(s) ou non opposable(s) par une juridiction compétente ou par loi ou réglementation applicable, cette/ces stipulation(s) sera/ont supprimée(s) sans que la validité ainsi que l’opposabilité des autres dispositions de ces CGU n’en soient affectées.
    Le fait pour l’EnsAD de ne pas se prévaloir d’une stipulation quelconque des présentes CGU ne peut être considéré comme valant renonciation au bénéfice de cette stipulation ou au droit de se prévaloir ultérieurement de ladite stipulation et/ou de demander réparation pour tout manquement à cette stipulation.


  11. Informations et réclamations
    Toute demande d’information, de précision ou toute réclamation peut être notifiée à l’EnsAD à webmaster@ensad.fr
Liens
www.ensad.fr
Contact : inscription.concours@ensad.fr

CGU
Politique de confidentialité

l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL est un établissement public sous tutelle du Ministère de la Culture, et membre de l'Université PSL.

ENSADLAB LE LABORATOIRE DE RECHERCHE DE L’ÉCOLE
https://www.ensadlab.fr/
Instagram
ecoleartsdecoparis
@ecoleartsdecoparis
Follow
✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR !
📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h
📍 @fondationpernodricard - entrée libre
.
🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs.
.
Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses.

🌈 Comité éditorial :
@lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr 
.
Direction de la publication : @emmanueltibloux 
.
Conception graphique : @twice_studio 
.
🌈 Contributions :
Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang.
.
Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement.
.
Au programme :
👁️ Présentation éditoriale et graphique
📖 Lecture
✍️ Signature
.
🌈 Mise en vente en avant-première du numéro
Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR ! 📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h 📍 @fondationpernodricard - entrée libre . 🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs. . Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses. 🌈 Comité éditorial : @lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr . Direction de la publication : @emmanueltibloux . Conception graphique : @twice_studio . 🌈 Contributions : Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang. . Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement. . Au programme : 👁️ Présentation éditoriale et graphique 📖 Lecture ✍️ Signature . 🌈 Mise en vente en avant-première du numéro Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
3 jours ago
View on Instagram |
1/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis . « Au fond de l’armoire, une bête chaude se lèche depuis des heures. Des poils tombent, des graines aussi. Certaines vibrent, se tordent on dirait des vers. À force de se replier, de s’étendre encore, il y a des fils partout. Et une odeur de graisse dans les narines. Je tends la main. Je frôle. Mais rien. . Ce manteau m’échappe. . Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir. Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable. Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire, mais on ne sait plus le reconnaître, à force de le raconter. . Il paraît qu’il est soyeux. Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans. Sa doublure est molle, humide, remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils. Il couve quelque chose d’obscur. . Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre, d’un temps à côté du temps, où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer. . Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace. Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
4 jours ago
View on Instagram |
2/9
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École : ☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe . 📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve . 🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues Dès le 4 décembre, + d’infos sur @designdesterritoires
📍 France
. 👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription 📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve . 🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
. 💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
. ✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID 12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
. Infos et liens dans la bio
5 jours ago
View on Instagram |
3/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco . Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions). Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible. Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires. . Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
7 jours ago
View on Instagram |
4/9
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli . Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ? Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ? Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari. En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité. . Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage. Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
1 semaine ago
View on Instagram |
5/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis . À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu. Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public. La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme. Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 semaines ago
View on Instagram |
6/9
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
.
Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
.
Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
.
Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
.
 
Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
.
Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
.
Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
.
Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
.
 
Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
.
Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
.
Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
.
Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
.
 
Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
.
Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
.
Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
.
Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
.
 
Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
.
Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
.
Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
.
Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
.
 
Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
.
Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
.
Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
.
Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
.
 
Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
.
Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
.
Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
.
Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
.
 
Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
.
Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
.
Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
.
Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
.
 
Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
.
Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
.
Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
.
Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
.
 
Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
.
Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
.
Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
.
Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
.
 
Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation . Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros. . Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale. . Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer. Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste. Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales. . Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
2 semaines ago
View on Instagram |
7/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis . Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil. Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application. . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
2 semaines ago
View on Instagram |
8/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis . L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde. Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment. . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
3 semaines ago
View on Instagram |
9/9
Plus d'info
© EnsAD - Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs - 31 rue d'Ulm 75005 Paris