JPO
Vendredi 30 janvier (13h à 21h) et Samedi 31 janvier 2026 (10h à 20h)
2026-01-30 09:00:00
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POLITIQUE DE CONFIDENTIALITÉ

POLITIQUE DE CONFIDENTIALITÉ

Nous accordons la plus grande importance à la confidentialité des informations de nos donateurs. Cette déclaration de confidentialité explique quelles sont les données à caractère personnel traitées par l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs, comment elle les traite et à quelles fins.

Champ d’application de la Déclaration de confidentialité

La présente déclaration de confidentialité (ci-après la «Déclaration de Confidentialité») s’applique à toute personne naviguant sur le site internet https://jpo.ensad.fr/ (ci-après, le « Site ») et/ou interagissant avec l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs (EnsAD) dans le cadre de l’utilisation du Site (ci-après désignés le ou les « Utilisateur(s) »). A l’occasion du l’utilisation du Site, l’EnsAD est susceptible de collecter des informations concernant les Utilisateurs, dont certaines peuvent être qualifiées de données à caractère personnel.

L’EnsAD est le responsable du traitement de données effectué à partir des données d’Utilisateurs qui y sont recueillies. A ce titre, l’EnsAD, s’emploie et s’engage à protéger la vie privée des Utilisateurs en conformité avec les exigences légales et notamment la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée (dite loi « Informatique et Libertés ») – et toute loi ou directive qui viendrait la compléter ou la substituer – ainsi que le Règlement européen 2016/679 sur la protection des données à caractère personnel paru au Journal Officiel le 27 avril 2016 et en vigueur depuis le 25 mai 2018 (« RGPD »).

Qu’est-ce qu’une donnée à caractère personnel ? Quelles sont les données collectées sur le Site ? Sur quels fondements ?

Sont qualifiées de données à caractère personnel toutes les informations identifiant directement ou indirectement un personne physique (par exemple le nom patronymique, un numéro d’immatriculation, de téléphone, une photographie, une date et un lieu de naissance, adresse IP…). Ainsi, les données récoltées sur un site internet à propos de son utilisateur sont souvent des données à caractère personnel.

En fournissant des données à caractère personnel (ci-après les « Données ») dans le cadre de l’utilisation du Site, l’Utilisateur reconnait avoir pris connaissance des termes de la présente Déclaration de Confidentialité et des Conditions générales d’utilisation du Site accessibles en cliquant sur le lien suivant : https://jpo.ensad.fr/cgu/

Sur le Site, les Données suivantes sont collectées :

  • Les informations concernant l’identité de l’Utilisateur : nom, prénom ;
  • Les coordonnées de l’Utilisateur : adresses de courrier électronique ;
  • L’adresse IP de l’Utilisateur.

Lorsque les Données d’un Utilisateur sont traitées par l’EnsAD, seules les données nécessaires aux finalités de traitements sont traitées. Les fondements sur lesquels reposent ces traitements sont les suivants :

  • Le respect d’une obligation légale ;
  • Votre consentement.

Les Données dont la collecte est rendue obligatoire par l’EnsAD sont signalées par la présence d’un astérisque.

Dans quel but l’EnsAD récolte-t-elle ces données, qui y a accès et pendant combien de temps ?

Les Données récoltées permettent à l’EnsAD :

  • De vous envoyer des informations relatives à l’Ecole ;
  • D’analyser l’audience du Site ;
  • D’offrir à l’Utilisateur une expérience de navigation sécurisée et optimale sur le Site.

Les données collectées seront conservées conformément à la législation en vigueur et aux délais de prescription applicables. Elles ne sont accessibles qu’aux services compétents suivant les différents traitements. L’accès aux Données est strictement réservé aux personnes en charge au sein des services compétents.

Contexte de la collecte Données utilisées Finalité du traitement Personnes et/ou services y ayant accès Durée de conservation maximale
Analyse d’audience Nom,
Prénom,
Adresse de messagerie électronique,
Information sur les actualités de l’école
Suivi relationnel individualisé
Personnes en charge au sein du Service de la communication et du développement 3 ans
Expérience utilisateur Adresse IP,
Données de navigation
Sécurité du Site
Optimisation de la navigation sur le Site
Personnes en charge au sein du Service des systèmes d’information De la durée de la session à 1 mois

L’EnsAD recueille-t-elle des données au moyen de cookies ?

Oui, des cookies sont utilisés sur le Site. Ce sont des fichiers qui sont enregistrés sur l’ordinateur de l’Utilisateur ou sur tout appareil de communication électronique utilisé par l’Utilisateur lorsqu’il navigue sur le Site. Ces fichiers permettent l’échange d’informations de statut entre le Site et le navigateur de l’Utilisateur. La loi stipule que nous ne pouvons stocker des cookies sur votre appareil que s’ils sont strictement nécessaires au fonctionnement de ce site. Pour tous les autres types de cookies, nous avons besoin de votre permission.

Les cookies suivants sont utilisés sur le Site :

  • Cookies liés au fonctionnement du site ;
  • Cookies liés aux statistiques de fréquentation du site ;
  • Cookies liés à la sécurité du site ;
  • Cookies définis par des tiers et par les contenus incorporés (par exemple, les boutons de partage en direction des réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter).

Le consentement préalable de l’Utilisateur, via la bannière de cookie affichée sur le site, est requis avant toute lecture ou tout dépôt des cookies qui ne sont pas strictement nécessaires au fonctionnement du Site et de la collecte de dons.

À tout moment, l’Utilisateur peut faire le choix d’exprimer et de modifier ses souhaits en matière de Cookies en paramétrant son navigateur et en mettant à jour dans la présente Déclaration de confidentialité ses choix de préférences.

Nous attirons cependant votre attention sur le fait qu’en paramétrant le navigateur pour refuser les cookies déposés par l’EnsAD, certaines fonctionnalités ou pages du Site peuvent s’avérer difficilement accessibles voire inaccessibles.

Le cas échéant, l’EnsAD décline toute responsabilité pour les conséquences liées au fonctionnement dégradé du Site et des services éventuellement proposés par l’EnsAD, résultant (i) du refus de Cookies par l’Utilisateur (ii) de l’impossibilité pour l’EnsAD d’enregistrer ou de consulter les Cookies nécessaires à leur fonctionnement du fait du choix de l’Utilisateur. Pour la gestion des Cookies et des choix de l’Utilisateur, la configuration de chaque navigateur est différente. Elle est décrite dans le menu d’aide du navigateur, qui permettra de savoir de quelle manière l’Utilisateur peut modifier ses souhaits en matière de Cookies.

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Les cookies sont déposés pour une durée pouvant aller de la durée de session à 1 mois maximum. Au-delà de cette période, le consentement de l’Utilisateur sera à nouveau requis avant le dépôt de tout nouveau cookie. 

Dans quelles conditions sont traitées les Données des utilisateurs ?

En tant que responsable de traitement, l’EnsAD collecte les données à caractère personnel des Utilisateurs de façon licite et loyale et en respectant leurs droits.

La sécurité des données à caractère personnel fait partie des priorités de l’EnsAD. L’EnsAD s’engage à prendre toutes les mesures raisonnables sur le plan administratif et technique pour empêcher toute divulgation, utilisation, altération ou destruction des données à caractère personnel qu’un Utilisateur lui fournit (contrôle des accès, sécurisation des mots de passe, accès selon des habilitations spécifiques, etc.).

A ce titre, l’EnsAD héberge l’ensemble des Données sur ses propres serveurs répondant aux exigences de sécurité et de confidentialité et situés en France au sein de l’Union Européenne.

Quelles sont les actions réalisées sur les Données collectées ?

Les actions réalisées sur les Données sont les suivantes :

  • Collecte et enregistrement ;
  • Organisation ;
  • Conservation ;
  • Consultation ;
  • Tri ;
  • Communication aux services compétents en interne ;
  • Anonymisation et archivage ;
  • Effacement et destruction.

Quels sont vos droits sur les données personnelles que vous fournissez à l’EnsAD en naviguant sur le Site ?

L’Utilisateur s’engage à ce que les Données à caractère personnel le concernant communiquées sur le Site soient à jour, exactes, complètes et non équivoques.

Conformément à la loi Informatique et Libertés, l’Utilisateur dispose de droits sur les Données qu’il communique par l’intermédiaire du Site, à savoir :

  • obtenir l’accès à ou la copie à leurs Données traitées ;
  • demander la rectification des données ;
  • demander l’effacement de tout ou partie des Données lorsque les Données, (i) ne sont plus nécessaires aux finalités pour lesquelles elles ont été collectées, (ii) sont basées exclusivement sur le consentement, (iii) font l’objet d’une demande d’opposition ;
  • s’opposer aux traitements de ses Données ;
  • demander la limitation du traitement, temporairement, lorsque l’exactitude des Données est contestée, lorsque l’Utilisateur s’est opposé au traitement, lorsque les Données ne sont plus nécessaires à l’EnsAD mais sont encore nécessaire à la constatation, l’exercice ou la défense de droits en justice ;
  • demander la désinscription ou s’opposer à la réception de messages de prospection commerciale à tout moment en cliquant sur le lien de « désinscription » dans tout courriel ou toute communication envoyé par l’EnsAD ;
  • retirer son consentement à tout moment s’agissant de traitements fondés sur le consentement ;
  • obtenir la portabilité de ses Données lorsque le traitement est fondé sur le consentement et que le traitement est effectué à l’aide de procédés automatisés ;
  • fournir des directives sur le sort de leurs données post-mortem
  • introduire une réclamation auprès de la CNIL.

Pour exercer ces droits, l’Utilisateur peut adresser une demande à l’adresse suivante dpo@ensad.fr. L’EnsAD demandera à l’Utilisateur de lui fournir une preuve d’identité avant de répondre à sa demande.

Les données peuvent-elles être communiquées ou transférées à des tiers ?

L’EnsAD peut donner un accès aux données à caractère personnel des Utilisateurs à des prestataires de services tiers, agissant en tant que sous-traitants, pour exécuter des services relatifs au Site et notamment les services d’hébergement, de stockage, d’analyses, de traitement de données, de gestion de bases de données ou encore de maintenance informatique. Ces prestataires n’agissent que sur instruction de l’EnsAD et n’auront accès aux données à caractère personnel des Utilisateurs que pour exécuter ces services et seront tenus aux mêmes obligations de sécurité et de confidentialité que l’EnsAD. Dans de telles hypothèses, l’EnsAD s’engage à ne traiter qu’avec des cocontractants présentant des garanties élevées en matière de traitement, de confidentialité et de sécurité des Données.

Par ailleurs, les données à caractère personnel de l’Utilisateur peuvent être partagées avec des tiers pour les motifs suivants :

  • En réponse à une procédure judiciaire ou administrative de toute nature ou à des mesures d’application de la loi réclamées par les autorités compétentes ;
  • Pour se conformer à des obligations légales, pour protéger les droits et/ou la sûreté d’un individu, pour protéger les droits et la propriété de l’EnsAD, y compris la nécessité de voir la présente Déclaration de Confidentialité respectée, et d’empêcher les problèmes de fraude, de sécurité ou techniques.

Les Données à caractère personnel collectées par l’EnsAD sur le Site ne sont pas transférées en dehors de l’Espace Economique Européen.

Les Données ne sont en aucun cas vendues à des tiers.

Modification de la Déclaration de Confidentialité

La Déclaration de Confidentialité est consultable sur le Site à tout moment. L’EnsAD se réserve le droit de la modifier à tout moment. La Déclaration de Confidentialité modifiée prendra effet à la date de sa mise en ligne sur le Site.

Contacter l’EnsAD

Si l’Utilisateur a des questions ou des commentaires concernant cette Déclaration de Confidentialité, il peut contacter l’EnsAD à l’adresse électronique suivante à dpo@ensad.fr

Liens
www.ensad.fr
Contact : inscription.concours@ensad.fr

CGU
Politique de confidentialité

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https://www.ensadlab.fr/
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@ecoleartsdecoparis
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✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR !
📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h
📍 @fondationpernodricard - entrée libre
.
🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs.
.
Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses.

🌈 Comité éditorial :
@lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr 
.
Direction de la publication : @emmanueltibloux 
.
Conception graphique : @twice_studio 
.
🌈 Contributions :
Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang.
.
Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement.
.
Au programme :
👁️ Présentation éditoriale et graphique
📖 Lecture
✍️ Signature
.
🌈 Mise en vente en avant-première du numéro
Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
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✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR ! 📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h 📍 @fondationpernodricard - entrée libre . 🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs. . Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses. 🌈 Comité éditorial : @lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr . Direction de la publication : @emmanueltibloux . Conception graphique : @twice_studio . 🌈 Contributions : Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang. . Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement. . Au programme : 👁️ Présentation éditoriale et graphique 📖 Lecture ✍️ Signature . 🌈 Mise en vente en avant-première du numéro Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
3 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Ce manteau m’échappe.
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
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Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Ce manteau m’échappe.
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
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Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
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À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
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Il paraît qu’il est soyeux.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
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Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Des poils tombent, des graines aussi.
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À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
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à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
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Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
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où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
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Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
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mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
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d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
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À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis . « Au fond de l’armoire, une bête chaude se lèche depuis des heures. Des poils tombent, des graines aussi. Certaines vibrent, se tordent on dirait des vers. À force de se replier, de s’étendre encore, il y a des fils partout. Et une odeur de graisse dans les narines. Je tends la main. Je frôle. Mais rien. . Ce manteau m’échappe. . Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir. Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable. Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire, mais on ne sait plus le reconnaître, à force de le raconter. . Il paraît qu’il est soyeux. Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans. Sa doublure est molle, humide, remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils. Il couve quelque chose d’obscur. . Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre, d’un temps à côté du temps, où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer. . Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace. Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
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☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
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10 décembre, 18h30
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
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17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco . Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions). Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible. Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires. . Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
7 jours ago
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4/9
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
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Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
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En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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1 semaine ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
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La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
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2 semaines ago
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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
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2 semaines ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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2 semaines ago
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8/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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