JPO
Vendredi 31 janvier (13h à 21h) et Samedi 1er février 2025 (10h à 20h)
0
jours
0
hrs
0
min
0
sec
Inscription visite Ecole
Téléchargements
  • Brochure de l’Ecole des Arts Décoratifs, Paris
  • Cartographie et schéma des études
  • Règlement Concours 1
  • Règlement commission d’entrée en cours de cursus
  • Accueil
  • Vidéos
    • Visitez l’Ecole et ses ateliers
  • FAQ
  • Accueil
  • Vidéos
    • Visitez l’Ecole et ses ateliers
  • FAQ

Emmanuel Mahé

Liens
www.ensad.fr
Contact : inscription.concours@ensad.fr

CGU
Politique de confidentialité

l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL est un établissement public sous tutelle du Ministère de la Culture, et membre de l'Université PSL.

ENSADLAB LE LABORATOIRE DE RECHERCHE DE L’ÉCOLE
https://www.ensadlab.fr/
Instagram
ecoleartsdecoparis
@ecoleartsdecoparis
Follow
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril 
. 
Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. 
. 
Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. 
. 
Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail.
.
👷
Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. 
. 
💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! 
. 
Crédits photos : Célia Marinier
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[Chantier] 🏗Retour sur la visite de chantier du jeudi 13 mars et du jeudi 17 avril . Le projet d’extension de l’École des Arts Décoratifs – PSL en dialogue fort avec le paysage, donnera à l’École une nouvelle physionomie avec 600m2 d’espaces de travail supplémentaires. On pourra y retrouver : un atelier d’assemblage, une galerie d’essai, un plateau pédagogique destiné aux grands projets intersectoriels, insérés sous une vaste terrasse formant un deck-panoramique, ouverte sur le jardin et jusqu’à 200m2 de stockage. . Lors de la construction de ce nouvel espace, une attention particulière est portée au réemploi de matériaux récupérés pour favoriser une approche durable et respectueuse des ressources. Cette extension permet l’expérimentation de nouvelle façon de concevoir, exposer et encourager les échanges entre différents domaines de création, en lien avec le projet pédagogique. . Ce projet conçu par LA Architectures @la_architectures mise sur la modularité, avec de nombreuses possibilités d’usage et d’agencement, pour s’adapter aux évolutions des pratiques d’enseignement de travail. . 👷 Les étudiant.es, enseignant.es et membre du personnel de l’École, ont assisté le jeudi 13 mars et le jeudi 17 avril, à une visite guidée d’une heure avec François Roussy, Directeur Technique de l’École. Ils ont alors découvert l’avancée du chantier ainsi que les prochaines réalisations, mais aussi les métiers, les hommes et les engins qui composent le chantier. Puis les nouveaux espaces et usages de l’extension, ainsi que ses enjeux bioclimatiques et de durabilité. . 💡L’École de demain se construit aujourd’hui…grâce à vous ! En versant votre taxe d’apprentissage à l’École des Arts Décoratifs – PSL, vous soutenez directement la formation des talents de demain. Lien en bio pour nous désigner comme bénéficiaire ! . Crédits photos : Célia Marinier
2 jours ago
View on Instagram |
1/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. »
.
Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « Rassembler les morceaux. Fragments et réalités du plateau de Saclay » de Gabrielle Rayé @graveedanslaroche , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . « Le plateau de Saclay n'a cessé de s'urbaniser depuis les années 50. Ces villes qui se bâtissent au milieu des champs sont en fait des campus universitaires et scientifiques qui rassemblent l’élite de la recherche française. Incubateur de start-up, cluster technologique et ligne de transport verte sont les mots employés par les investisseurs pour rendre ce territoire attractif. Controversé et souvent réduit à une vitrine politique, le plateau nécessite d’être réincarné et de se localiser quelque part, dans un monde physique. Alors j'ai développé des outils pour raconter comment s'incarne un cluster scientifique. Quelle est sa forme de ce paysage ? En arpentant, en dessinant, en investissant le corps dans ce territoire j'ai cherché à lui donner du sens, à le baliser, à le connaitre par cœur. Ce protocole de recherche questionne les outils mis à disposition pour les architectes, le temps d'enquête de terrain et le rôle des images pour parler d'architecture. » . Retrouvez le projet de Gabrielle Raye à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
3 jours ago
View on Instagram |
2/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! »
.
Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « Parisites » de Marie Mercier Des Rochette @marie.drr , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco . « Parisites est une invitation au ralentissement et à l'observation attentive et curieuse de la ville. Comment faire de l'ordinaire un sujet d’étonnement, détenant le potentiel de raconter des histoires ? Ici certains objets, discrètement greffés dans le paysage urbain - tels des parasites - attirent notre attention sur des détails souvent ignorés de rue, et suggèrent une appropriation sensible voire poétique de la ville. Un dispositif multi-échelle qui accorde de l'importance au petit et à l'invisible. Un système autonome amovible et léger, matrice d'objets reproductibles, incrusté sur cette matière urbaine. Des objets-balises, qui permettent d'affiner notre regard et proposent des chemins alternatifs, alliant découverte, et imaginaire. Telles les fameuses gargouilles, ces greffes prennent la forme d'un bestiaire familier, afin d'incarner la narration d'anecdotes de rue, et se transformer en objets-bavards. Créatures loquaces, pour autant qu'on sache les retrouver, et les décrypter ! » . Projet soutenu dans le cadre de la bourse de production cultures numériques par la Banque des Territoires – groupe Caisse des dépôts . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
5 jours ago
View on Instagram |
3/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces.
Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. »
.
Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « Vié-lu, Vié-lei, Vié-los ! » « Voyez-le, Voyez-la, Voyez-les ! » (Morvandiau) de Severine Lauxerrois @severinelauxerrois , diplômée en Design Textile & Matière @dtm_ecoleartsdecoparis . « Au cœur de la Bourgogne, en Morvan, se dressent des monts de granit, s’écoulent de multiples rivières et se manifeste une profonde souffrance des écosystèmes face aux variations climatiques. En cette ère où l’industrie textile connaît une croissance fulgurante et se dissocie peu à peu de ses liens au vivant, comment une recherche textile et matière peut soutenir la régénération des sols et la protection des corps du Morvan, dans une temporalité courte, continue, fondée sur une autosuffisance locale ? À la fois verdoyant et doté d’une terre acide difficilement cultivable, ce territoire est propice et privilégié pour explorer les interactions entre espèces. Par l’immersion, les collectes sur place et les échanges avec les acteur·ices, habitant·es et expert·es locaux·les, des consciences et mutualités se développent dans le cadre d’une recherche textile centrée sur le territoire. Alimenté par une symbiose entre créateur·ices et communauté, ce projet cultive un lien entre individus humains, faune, flore et sol. Tel un laboratoire de matières répertoriant et matérialisant un portrait identitaire du territoire à travers divers savoir-faire tels que le tissage, le feutrage et l’impression textile, ces processus sont orientés dans le but d’être nutritifs et digérés aisément par les sols. En parcourant le territoire de ce Parc Naturel Régional, Vié-lu, Vié-lei, Vié-los célèbre le riche patrimoine du Morvan et les vivants qui y cohabitent. » . Retrouvez le projet de Severine Lauxerrois à la Biennale Internationale Design Saint-Étienne @designdesterritoires . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
1 semaine ago
View on Instagram |
4/9
[L'École du décor actif]
À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
.
Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm.  Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza  @tommy.bouge  @pedro.gomes.cardoso  @pauldagorne  @juliette_nier ✨
[L'École du décor actif]
À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
.
Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm.  Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza  @tommy.bouge  @pedro.gomes.cardoso  @pauldagorne  @juliette_nier ✨
[L'École du décor actif]
À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
.
Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm.  Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza  @tommy.bouge  @pedro.gomes.cardoso  @pauldagorne  @juliette_nier ✨
[L'École du décor actif]
À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
.
Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm.  Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza  @tommy.bouge  @pedro.gomes.cardoso  @pauldagorne  @juliette_nier ✨
[L'École du décor actif]
À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
.
Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm.  Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza  @tommy.bouge  @pedro.gomes.cardoso  @pauldagorne  @juliette_nier ✨
[L'École du décor actif]
À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
.
Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm.  Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza  @tommy.bouge  @pedro.gomes.cardoso  @pauldagorne  @juliette_nier ✨
[L'École du décor actif]
À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. 
.
Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm.  Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza  @tommy.bouge  @pedro.gomes.cardoso  @pauldagorne  @juliette_nier ✨
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[L'École du décor actif] À l’occasion de son ancrage dans de nouveaux territoires géographiques, artistiques et symboliques, au plus proche des enjeux et des défis qui nous sont adressés à l’échelle de notre maison terrestre, l’École des Arts Décoratifs-PSL réactualise sa brochure, en la confiant une nouvelle fois au collectif BEAUCOUP, diplômé·es en 2018. Bien qu’elle soit souvent considérée comme une mauvaise herbe, le pissenlit est une plante remarquable par sa résistance et sa faculté d’adaptation, ainsi que par sa capacité à disperser ses graines par le vent. . Un joli symbole pour cette nouvelle brochure de présentation de l’école, qui reprend les évolutions récentes de son logo et qui joue de son identité visuelle tout en la faisant évoluer. Composée en Bascule (Beaucoup) et en Baskervville (@anrt_type ) – Format 13 x 20 cm. Impression en cyan, magenta, noir et pantone jaune fluo sur papier Cyclus, sur les presses de la CCI, Marseille (@imprimerie_cci ) Graphisme par Beaucoup : @damien_bza @tommy.bouge @pedro.gomes.cardoso @pauldagorne @juliette_nier ✨
1 semaine ago
View on Instagram |
5/9
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design
. 
Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+).
.
Pour l’année scolaire 24-25 :
Emma Saunier,  @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité.
Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide.
.
Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari 
. 
AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris
Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
AIMS] [Restitution] Artiste Intervenant en Milieu Scolaire @aims_france : encapaciter les plus jeunes par les arts et le design . Post-master diplômant d’un an, AIMS forme des jeunes créateur·rices à intervenir en milieu scolaire, auprès d’enfants scolarisés au sein d’écoles primaires et de collèges relevant de l’éducation prioritaire d’Ile-de-France (REP et REP+). . Pour l’année scolaire 24-25 : Emma Saunier, @emmasaunier_design diplômée de l’École des Arts Décoratifs-PSL, intervient dans une classe de CE1 de l’école Jean Lurçat de Gennevilliers pour un projet de Design culinaire en scolarité. Clara Caulier, @clara_caulier également diplômée de l’école, intervient dans plusieurs classes de 6ème au Collège Joséphine Baker pour un projet de création de costumes sur le thème des Métamorphoses d’Ovide. . Les élèves accompagnés de leurs artistes formateurs présenteront leurs œuvres le 24 juin à 14h - Serre Wangari, Saint-Ouen @laserrewangari . AIMS est un programme mis en œuvre par l’École des Arts Décoratifs – PSL aux côtés du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) @cnsad_psl, du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) @conservatoire_de_paris, des Beaux Arts de Paris @beauxartsparis et de La Fémis @lafemis.paris Avec le soutien de @culture_gouv @villesaintouen @ville_genevilliers @fondationcd . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
1 semaine ago
View on Instagram |
6/9
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
« FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
« Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER] [Diplôme Master 2024] « FOOD BRICOLE » de Emma Saunier @emmasaunier_design , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco . « Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées, dont 42 % de fruits et légumes. Food Bricole propose une action participative revalorisant les fruits et légumes délaissés en mettant à profit la coopération et la mise en réseau de ressources locales. Installé dans l'espace public, ce dispositif permet aux passants de transformer ces aliments en mets festifs à déguster sur place. Cette cuisine mobile repose sur les principes de la bricologie. Elle est composée de trois machines à cuisiner qui ont la particularité de ne s'activer qu’à deux. Sans coopération, pas de dégustation ! Cette initiative citoyenne repense notre manière d'habiter la ville, souhaitant en faire un espace convivial et propice au développement de pratiques souhaitables. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
1 semaine ago
View on Instagram |
7/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit :  celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. 	Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « Une rencontre » de Mathilde Serre @mathilde_s_e_r_r_e , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . « Les centres bourgs des villages se désertent et les commerces de proximité se délocalisent au profit des supermarchés où toute la tension sociale se précipite limitant la rencontre à des espaces froids et sans âmes associés à la surconsommation. Mon projet de diplôme s'intéresse à un village en particulier où la rencontre s'affaiblit : celui d'Amfreville-sous-les-monts. Situé dans la région Normandie, ce village souffre à la fois d'une forte polarité entre la métropole de Rouen et la capitale, d'un attrait particulier aux grandes surfaces faisant périr les commerces de proximité mais également d'une division du village par un mont qui décompose le territoire entre la plateau faisant partie du Vexin Normand et la vallée de la Seine. Une légende tragique, les deux amants, a donné son nom à la colline de ce village et révèle le caractère décourageant de celle-ci qui est perçue comme une épreuve. En effet elle est aujourd'hui contemporaine : Qui voudra s'aventurer à son sommet ? » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 semaines ago
View on Instagram |
8/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« Je vous propose d’attendre avec moi.
Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire
pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus
grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration
se calque sur le silence de la chambre.
Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage.
Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas
de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon
corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes
posées l’une sur l’autre.
Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps,
la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute
tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant
car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre
avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait
doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends,
que je m’endors. »
. 
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « You’ve never been to Niagara Falls-I have seen water, it’s water, that’s all » de Maya de Reydet de Vulpillieres @mayapean_ , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis . « Je vous propose d’attendre avec moi. Il m’arrive de ne pas réussir à m’endormir et la seule chose à faire pour laisser le sommeil arriver, c’est d’attendre pour trouver la plus grande horizontalité possible. Mon corps est allongé et ma respiration se calque sur le silence de la chambre. Tous les sons se densifient et deviennent lourds; en les écoutant autour de moi, j’identifie tout un vocabulaire qui fait apparaitre un paysage. Le bruit de l’eau dans les canalisations se superpose à celui des pas de l’appartement du dessus. Ces sons encouragent un enfoncement de mon corps contre le matelas et je sens que nous sommes deux surfaces planes posées l’une sur l’autre. Le présent se charge et devient palpable, les sons, mon corps, la chambre, ma respiration s’alignent peu à peu. Parfois j’écoute tellement que je n’entends plus qu’un bruit blanc. C’est frustrant car cette attente n’est pas du tout récompensée par une claire rencontre avec le sommeil. Il n’y a aucun moment de triomphe, non tout se fait doucement et c’est quand je ne réalise plus du tout que j’attends, que je m’endors. » . Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon
2 semaines ago
View on Instagram |
9/9
Plus d'info
© EnsAD - Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs - 31 rue d'Ulm 75005 Paris