JPO
Vendredi 31 janvier (13h à 21h) et Samedi 1er février 2025 (10h à 20h)
0
jours
0
hrs
0
min
0
sec
Inscription visite Ecole
Téléchargements
  • Brochure de l’Ecole des Arts Décoratifs, Paris
  • Cartographie et schéma des études
  • Règlement Concours 1
  • Règlement commission d’entrée en cours de cursus
  • Accueil
  • Vidéos
    • Visitez l’Ecole et ses ateliers
  • FAQ
  • Accueil
  • Vidéos
    • Visitez l’Ecole et ses ateliers
  • FAQ

dessins

Sorry, but there aren't any posts tagged dessins yet.
Liens
www.ensad.fr
Contact : inscription.concours@ensad.fr

CGU
Politique de confidentialité

l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL est un établissement public sous tutelle du Ministère de la Culture, et membre de l'Université PSL.

ENSADLAB LE LABORATOIRE DE RECHERCHE DE L’ÉCOLE
https://www.ensadlab.fr/
Instagram
ecoleartsdecoparis
@ecoleartsdecoparis
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco . « La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
1 jour ago
View on Instagram |
1/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco . « Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. » Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 jours ago
View on Instagram |
2/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis . « Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » . Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
4 jours ago
View on Instagram |
3/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . « Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
6 jours ago
View on Instagram |
4/9
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
.
🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
.
🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
.
🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
.
🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
.
🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
.
🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
.
🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
.
🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
.
🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 🌞 Exposition « La terre retombe au soleil » du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL Du 2 au 19 juillet 📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de . ♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab Mercredi 2 juillet 📍Telecom Physique Strasbourg . 🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains » Mercredi 2 juillet 📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes . 🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. Du 2 au 10 juillet 📍France . 🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition Du 22 mai au 6 juillet 📍Halles Barrouin, Saint-Etienne . 🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » Du 22 mai au 6 juillet 📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
1 semaine ago
View on Instagram |
5/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco . « Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ? Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non. Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus. Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge … Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux. Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
1 semaine ago
View on Instagram |
6/9
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
.
Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
.
Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
.
Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

.
Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen . . Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif. . Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green. . Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot. . Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels . Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique. Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter. Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
1 semaine ago
View on Instagram |
7/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco . « Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » . Crédits photos : Charlotte Genser @charlotte.gnsr
2 semaines ago
View on Instagram |
8/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2024] « Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . « Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 semaines ago
View on Instagram |
9/9
Plus d'info
© EnsAD - Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs - 31 rue d'Ulm 75005 Paris