JPO
Vendredi 31 janvier (13h à 21h) et Samedi 1er février 2025 (10h à 20h)
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[Partenariat] En Arménie, Workshop « Broder l’héritage »
. 
Au mois de juin s’est tenue, en Arménie, la deuxième phase du projet Heritage Rewoven. Le projet, mené par l’École des Arts Décoratifs – PSL et OCHRE @ochre.origins , vise à préserver le savoir-faire menacé de la broderie d’Ourfa, perpétué par les communautés arméniennes de la diaspora en Syrie et au Liban.
. 
À travers des visites d'ateliers, d'usines, de lieux de créations et de nombreux échanges avec la population locale, ce workshop a enrichi les recherches entamées à Paris, tout en nourrissant une réflexion collective sur les motifs et techniques traditionnels. 
. 
Au programme : découverte d’Erevan et de ses ateliers d’artisans, immersion dans le patrimoine architectural et naturel – site de Yerezouk, marché de Gyumry, lac Arpi..- , rencontres avec des professionnels du textile et de la broderie, moments de travail collectif. 
. 
Cette résidence s’est conclue par la conception d’un dessin numérique, fruit des expérimentations partagées. Ce dessin servira de base à une œuvre textile qui sera réalisée et exposée en France et en Arménie en 2026. 
. 
Cette initiative, menée avec le soutien de Fondation Armenia 2041, de @france.en.armenie et de @if_armenie  entend combiner création contemporaine, recherche et transmission du patrimoine. 
. 
Crédits photos : Théo Etrillard @t.o.e.t.r.d 
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#Armenie #BroderieTraditionnelle #BroderieOurfa #Ourfa #ArmenianHeritage #EcoleDesArtsDecoratifs
[Partenariat] En Arménie, Workshop « Broder l’héritage »
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Au mois de juin s’est tenue, en Arménie, la deuxième phase du projet Heritage Rewoven. Le projet, mené par l’École des Arts Décoratifs – PSL et OCHRE @ochre.origins , vise à préserver le savoir-faire menacé de la broderie d’Ourfa, perpétué par les communautés arméniennes de la diaspora en Syrie et au Liban.
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À travers des visites d'ateliers, d'usines, de lieux de créations et de nombreux échanges avec la population locale, ce workshop a enrichi les recherches entamées à Paris, tout en nourrissant une réflexion collective sur les motifs et techniques traditionnels. 
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Au programme : découverte d’Erevan et de ses ateliers d’artisans, immersion dans le patrimoine architectural et naturel – site de Yerezouk, marché de Gyumry, lac Arpi..- , rencontres avec des professionnels du textile et de la broderie, moments de travail collectif. 
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Cette résidence s’est conclue par la conception d’un dessin numérique, fruit des expérimentations partagées. Ce dessin servira de base à une œuvre textile qui sera réalisée et exposée en France et en Arménie en 2026. 
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Cette initiative, menée avec le soutien de Fondation Armenia 2041, de @france.en.armenie et de @if_armenie  entend combiner création contemporaine, recherche et transmission du patrimoine. 
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Crédits photos : Théo Etrillard @t.o.e.t.r.d 
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Au mois de juin s’est tenue, en Arménie, la deuxième phase du projet Heritage Rewoven. Le projet, mené par l’École des Arts Décoratifs – PSL et OCHRE @ochre.origins , vise à préserver le savoir-faire menacé de la broderie d’Ourfa, perpétué par les communautés arméniennes de la diaspora en Syrie et au Liban.
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À travers des visites d'ateliers, d'usines, de lieux de créations et de nombreux échanges avec la population locale, ce workshop a enrichi les recherches entamées à Paris, tout en nourrissant une réflexion collective sur les motifs et techniques traditionnels. 
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Au programme : découverte d’Erevan et de ses ateliers d’artisans, immersion dans le patrimoine architectural et naturel – site de Yerezouk, marché de Gyumry, lac Arpi..- , rencontres avec des professionnels du textile et de la broderie, moments de travail collectif. 
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Cette résidence s’est conclue par la conception d’un dessin numérique, fruit des expérimentations partagées. Ce dessin servira de base à une œuvre textile qui sera réalisée et exposée en France et en Arménie en 2026. 
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Au mois de juin s’est tenue, en Arménie, la deuxième phase du projet Heritage Rewoven. Le projet, mené par l’École des Arts Décoratifs – PSL et OCHRE @ochre.origins , vise à préserver le savoir-faire menacé de la broderie d’Ourfa, perpétué par les communautés arméniennes de la diaspora en Syrie et au Liban.
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À travers des visites d'ateliers, d'usines, de lieux de créations et de nombreux échanges avec la population locale, ce workshop a enrichi les recherches entamées à Paris, tout en nourrissant une réflexion collective sur les motifs et techniques traditionnels. 
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Au programme : découverte d’Erevan et de ses ateliers d’artisans, immersion dans le patrimoine architectural et naturel – site de Yerezouk, marché de Gyumry, lac Arpi..- , rencontres avec des professionnels du textile et de la broderie, moments de travail collectif. 
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Cette résidence s’est conclue par la conception d’un dessin numérique, fruit des expérimentations partagées. Ce dessin servira de base à une œuvre textile qui sera réalisée et exposée en France et en Arménie en 2026. 
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Récits d'une terre anthropisée » de Eloïse Lermerle , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
. 
« L’artiste a grandi en Moselle, non loin de la frontière luxembourgeoise ; ce département lorrain est principalement connu pour son histoire industrielle passée, sidérurgique et minière, notamment. Ces activités humaines, productivistes et commerciales, ont été, à la suite de leur déclin, créatrices d’héritages qui ont profondément marqué le territoire et la mémoire. L’un de ces legs est la pollution des sols qui constitue aujourd’hui un enjeu environnemental majeur. Cette pollution, issue des pratiques industrielles intensives, a transformé les paysages, altéré les écosystèmes et affecté la relation entre les habitants et leur territoire. En s’interrogeant sur cette relation, il apparaît à l’artiste que les Mosellans parcourent leur territoire principalement par la voiture et le train : des moyens de transport rapides, hérités de l’industrialisation. Le paysage est donc perçu à travers la vitesse, les infrastructures et les stigmates visibles de l’ère industrielle. La décision a été prise de ralentir, d’arpenter ce territoire à pied, au rythme du vivant. Marcher, c’est fouler le sol, le sentir, le lire autrement. Ce projet vise à faire émerger un imaginaire du territoire qui dépasse la mémoire industrielle, pour réconcilier les habitants avec la richesse écologique, géologique et sensorielle de leur sol. » 
. 
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Récits d'une terre anthropisée » de Eloïse Lermerle , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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« L’artiste a grandi en Moselle, non loin de la frontière luxembourgeoise ; ce département lorrain est principalement connu pour son histoire industrielle passée, sidérurgique et minière, notamment. Ces activités humaines, productivistes et commerciales, ont été, à la suite de leur déclin, créatrices d’héritages qui ont profondément marqué le territoire et la mémoire. L’un de ces legs est la pollution des sols qui constitue aujourd’hui un enjeu environnemental majeur. Cette pollution, issue des pratiques industrielles intensives, a transformé les paysages, altéré les écosystèmes et affecté la relation entre les habitants et leur territoire. En s’interrogeant sur cette relation, il apparaît à l’artiste que les Mosellans parcourent leur territoire principalement par la voiture et le train : des moyens de transport rapides, hérités de l’industrialisation. Le paysage est donc perçu à travers la vitesse, les infrastructures et les stigmates visibles de l’ère industrielle. La décision a été prise de ralentir, d’arpenter ce territoire à pied, au rythme du vivant. Marcher, c’est fouler le sol, le sentir, le lire autrement. Ce projet vise à faire émerger un imaginaire du territoire qui dépasse la mémoire industrielle, pour réconcilier les habitants avec la richesse écologique, géologique et sensorielle de leur sol. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Récits d'une terre anthropisée » de Eloïse Lermerle , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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« L’artiste a grandi en Moselle, non loin de la frontière luxembourgeoise ; ce département lorrain est principalement connu pour son histoire industrielle passée, sidérurgique et minière, notamment. Ces activités humaines, productivistes et commerciales, ont été, à la suite de leur déclin, créatrices d’héritages qui ont profondément marqué le territoire et la mémoire. L’un de ces legs est la pollution des sols qui constitue aujourd’hui un enjeu environnemental majeur. Cette pollution, issue des pratiques industrielles intensives, a transformé les paysages, altéré les écosystèmes et affecté la relation entre les habitants et leur territoire. En s’interrogeant sur cette relation, il apparaît à l’artiste que les Mosellans parcourent leur territoire principalement par la voiture et le train : des moyens de transport rapides, hérités de l’industrialisation. Le paysage est donc perçu à travers la vitesse, les infrastructures et les stigmates visibles de l’ère industrielle. La décision a été prise de ralentir, d’arpenter ce territoire à pied, au rythme du vivant. Marcher, c’est fouler le sol, le sentir, le lire autrement. Ce projet vise à faire émerger un imaginaire du territoire qui dépasse la mémoire industrielle, pour réconcilier les habitants avec la richesse écologique, géologique et sensorielle de leur sol. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« L’artiste a grandi en Moselle, non loin de la frontière luxembourgeoise ; ce département lorrain est principalement connu pour son histoire industrielle passée, sidérurgique et minière, notamment. Ces activités humaines, productivistes et commerciales, ont été, à la suite de leur déclin, créatrices d’héritages qui ont profondément marqué le territoire et la mémoire. L’un de ces legs est la pollution des sols qui constitue aujourd’hui un enjeu environnemental majeur. Cette pollution, issue des pratiques industrielles intensives, a transformé les paysages, altéré les écosystèmes et affecté la relation entre les habitants et leur territoire. En s’interrogeant sur cette relation, il apparaît à l’artiste que les Mosellans parcourent leur territoire principalement par la voiture et le train : des moyens de transport rapides, hérités de l’industrialisation. Le paysage est donc perçu à travers la vitesse, les infrastructures et les stigmates visibles de l’ère industrielle. La décision a été prise de ralentir, d’arpenter ce territoire à pied, au rythme du vivant. Marcher, c’est fouler le sol, le sentir, le lire autrement. Ce projet vise à faire émerger un imaginaire du territoire qui dépasse la mémoire industrielle, pour réconcilier les habitants avec la richesse écologique, géologique et sensorielle de leur sol. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« L’artiste a grandi en Moselle, non loin de la frontière luxembourgeoise ; ce département lorrain est principalement connu pour son histoire industrielle passée, sidérurgique et minière, notamment. Ces activités humaines, productivistes et commerciales, ont été, à la suite de leur déclin, créatrices d’héritages qui ont profondément marqué le territoire et la mémoire. L’un de ces legs est la pollution des sols qui constitue aujourd’hui un enjeu environnemental majeur. Cette pollution, issue des pratiques industrielles intensives, a transformé les paysages, altéré les écosystèmes et affecté la relation entre les habitants et leur territoire. En s’interrogeant sur cette relation, il apparaît à l’artiste que les Mosellans parcourent leur territoire principalement par la voiture et le train : des moyens de transport rapides, hérités de l’industrialisation. Le paysage est donc perçu à travers la vitesse, les infrastructures et les stigmates visibles de l’ère industrielle. La décision a été prise de ralentir, d’arpenter ce territoire à pied, au rythme du vivant. Marcher, c’est fouler le sol, le sentir, le lire autrement. Ce projet vise à faire émerger un imaginaire du territoire qui dépasse la mémoire industrielle, pour réconcilier les habitants avec la richesse écologique, géologique et sensorielle de leur sol. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« L’artiste a grandi en Moselle, non loin de la frontière luxembourgeoise ; ce département lorrain est principalement connu pour son histoire industrielle passée, sidérurgique et minière, notamment. Ces activités humaines, productivistes et commerciales, ont été, à la suite de leur déclin, créatrices d’héritages qui ont profondément marqué le territoire et la mémoire. L’un de ces legs est la pollution des sols qui constitue aujourd’hui un enjeu environnemental majeur. Cette pollution, issue des pratiques industrielles intensives, a transformé les paysages, altéré les écosystèmes et affecté la relation entre les habitants et leur territoire. En s’interrogeant sur cette relation, il apparaît à l’artiste que les Mosellans parcourent leur territoire principalement par la voiture et le train : des moyens de transport rapides, hérités de l’industrialisation. Le paysage est donc perçu à travers la vitesse, les infrastructures et les stigmates visibles de l’ère industrielle. La décision a été prise de ralentir, d’arpenter ce territoire à pied, au rythme du vivant. Marcher, c’est fouler le sol, le sentir, le lire autrement. Ce projet vise à faire émerger un imaginaire du territoire qui dépasse la mémoire industrielle, pour réconcilier les habitants avec la richesse écologique, géologique et sensorielle de leur sol. » 
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« L’artiste a grandi en Moselle, non loin de la frontière luxembourgeoise ; ce département lorrain est principalement connu pour son histoire industrielle passée, sidérurgique et minière, notamment. Ces activités humaines, productivistes et commerciales, ont été, à la suite de leur déclin, créatrices d’héritages qui ont profondément marqué le territoire et la mémoire. L’un de ces legs est la pollution des sols qui constitue aujourd’hui un enjeu environnemental majeur. Cette pollution, issue des pratiques industrielles intensives, a transformé les paysages, altéré les écosystèmes et affecté la relation entre les habitants et leur territoire. En s’interrogeant sur cette relation, il apparaît à l’artiste que les Mosellans parcourent leur territoire principalement par la voiture et le train : des moyens de transport rapides, hérités de l’industrialisation. Le paysage est donc perçu à travers la vitesse, les infrastructures et les stigmates visibles de l’ère industrielle. La décision a été prise de ralentir, d’arpenter ce territoire à pied, au rythme du vivant. Marcher, c’est fouler le sol, le sentir, le lire autrement. Ce projet vise à faire émerger un imaginaire du territoire qui dépasse la mémoire industrielle, pour réconcilier les habitants avec la richesse écologique, géologique et sensorielle de leur sol. » 
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Récits d'une terre anthropisée » de Eloïse Lermerle , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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« L’artiste a grandi en Moselle, non loin de la frontière luxembourgeoise ; ce département lorrain est principalement connu pour son histoire industrielle passée, sidérurgique et minière, notamment. Ces activités humaines, productivistes et commerciales, ont été, à la suite de leur déclin, créatrices d’héritages qui ont profondément marqué le territoire et la mémoire. L’un de ces legs est la pollution des sols qui constitue aujourd’hui un enjeu environnemental majeur. Cette pollution, issue des pratiques industrielles intensives, a transformé les paysages, altéré les écosystèmes et affecté la relation entre les habitants et leur territoire. En s’interrogeant sur cette relation, il apparaît à l’artiste que les Mosellans parcourent leur territoire principalement par la voiture et le train : des moyens de transport rapides, hérités de l’industrialisation. Le paysage est donc perçu à travers la vitesse, les infrastructures et les stigmates visibles de l’ère industrielle. La décision a été prise de ralentir, d’arpenter ce territoire à pied, au rythme du vivant. Marcher, c’est fouler le sol, le sentir, le lire autrement. Ce projet vise à faire émerger un imaginaire du territoire qui dépasse la mémoire industrielle, pour réconcilier les habitants avec la richesse écologique, géologique et sensorielle de leur sol. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Récits d'une terre anthropisée » de Eloïse Lermerle , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . « L’artiste a grandi en Moselle, non loin de la frontière luxembourgeoise ; ce département lorrain est principalement connu pour son histoire industrielle passée, sidérurgique et minière, notamment. Ces activités humaines, productivistes et commerciales, ont été, à la suite de leur déclin, créatrices d’héritages qui ont profondément marqué le territoire et la mémoire. L’un de ces legs est la pollution des sols qui constitue aujourd’hui un enjeu environnemental majeur. Cette pollution, issue des pratiques industrielles intensives, a transformé les paysages, altéré les écosystèmes et affecté la relation entre les habitants et leur territoire. En s’interrogeant sur cette relation, il apparaît à l’artiste que les Mosellans parcourent leur territoire principalement par la voiture et le train : des moyens de transport rapides, hérités de l’industrialisation. Le paysage est donc perçu à travers la vitesse, les infrastructures et les stigmates visibles de l’ère industrielle. La décision a été prise de ralentir, d’arpenter ce territoire à pied, au rythme du vivant. Marcher, c’est fouler le sol, le sentir, le lire autrement. Ce projet vise à faire émerger un imaginaire du territoire qui dépasse la mémoire industrielle, pour réconcilier les habitants avec la richesse écologique, géologique et sensorielle de leur sol. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 jours ago
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2/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Herbier radicant » de Haokun An @haokun.an , diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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4 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « L'antithèse sur ma terre : entre la guerre, la paix et ceux qui en sont les témoins » de Ayad Abou Samra @ayadasamra , diplômé en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis
. 
« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
. 
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
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« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
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« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « L'antithèse sur ma terre : entre la guerre, la paix et ceux qui en sont les témoins » de Ayad Abou Samra @ayadasamra , diplômé en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . « Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
6 jours ago
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4/9
[AFTER] [Diplome Master 2024] « Apollo In My Dream Last Night» de Lalla Nomoko @lallanmk , diplômée en Design Vêtement et Accessoire @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault  et Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER] [Diplome Master 2024] « Apollo In My Dream Last Night» de Lalla Nomoko @lallanmk , diplômée en Design Vêtement et Accessoire @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault  et Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault  et Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault  et Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault  et Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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[AFTER] [Diplome Master 2024] « Apollo In My Dream Last Night» de Lalla Nomoko @lallanmk , diplômée en Design Vêtement et Accessoire @vetement_ecoleartsdecoparis . « Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault et Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
1 semaine ago
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[AFTER] [Diplôme Master 2024]
L’année scolaire s’achève à l’École des Arts Décoratifs – PSL. Bravo à toutes et tous les diplômé·es 2024 ! 👏
.
✨ Vous pouvez désormais retrouver leurs projets en ligne et dans l’édition 2024 de la revue des diplômé·es AFTER, réalisée cette année par la collective Bye Bye Binary @bye.byebinary 
.
BBB a conçu pour l’occasion une typographie inclusive inédite, redistribuée en open source.
Ce travail collectif, queer, camp et engagé, joue des couleurs, des ornements, du glanage et du mauvais goût pour mieux interroger les normes et les représentations.
.
💡 AFTER reflète l’énergie de cette génération : une approche du design et de l’art ancrée dans la vie réelle, et portée par des engagements écologiques, queer et décoloniaux.
.
📖 Tous les projets et les contacts des diplômé.es sont à découvrir dans le catalogue AFTER 2024 et sur le site de l’École (liens en bio).
.
🎉 Place maintenant à la promo 2025 !
.
Crédits : conception graphique @bye.byebinary représenté par Léna Salabert-Triby @lena_slbrt et Enza Le Garrec @enzanitaa
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[AFTER] [Diplôme Master 2024] L’année scolaire s’achève à l’École des Arts Décoratifs – PSL. Bravo à toutes et tous les diplômé·es 2024 ! 👏 . ✨ Vous pouvez désormais retrouver leurs projets en ligne et dans l’édition 2024 de la revue des diplômé·es AFTER, réalisée cette année par la collective Bye Bye Binary @bye.byebinary . BBB a conçu pour l’occasion une typographie inclusive inédite, redistribuée en open source. Ce travail collectif, queer, camp et engagé, joue des couleurs, des ornements, du glanage et du mauvais goût pour mieux interroger les normes et les représentations. . 💡 AFTER reflète l’énergie de cette génération : une approche du design et de l’art ancrée dans la vie réelle, et portée par des engagements écologiques, queer et décoloniaux. . 📖 Tous les projets et les contacts des diplômé.es sont à découvrir dans le catalogue AFTER 2024 et sur le site de l’École (liens en bio). . 🎉 Place maintenant à la promo 2025 ! . Crédits : conception graphique @bye.byebinary représenté par Léna Salabert-Triby @lena_slbrt et Enza Le Garrec @enzanitaa
2 semaines ago
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6/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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2 semaines ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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