Vendredi 31 janvier (13h à 21h) et Samedi 1er février 2025 (10h à 20h)

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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Soft Punch » de Yuma Cefelman @yumsart , diplômée en Design Vetement @vetement_ecoleartsdecoparis
.
„La boxe est une histoire pleine de paradoxes. Je n'aime pas la boxe dans tous ses aspects, et je ne pense pas qu'il soit possible de l'aimer entièrement. Chacun tisse un lien unique avec cet art, car nous ne la pratiquons pas tous de la même manière, ni pour les mêmes raisons. Dans la préparation physique et mentale du boxeur qui s'apprête à combattre, le vêtement joue un rôle crucial dans cette mise en scène.« SOFT PUNCH » est une collection de vêtements qui émane un sentiment de puissance, de sécurité, et un confort tant physique qu'émotionnel. S'inspirant des codes couleur de la boxe anglaise, où le rouge est traditionnellement réservé au challenger tandis que le coin bleu est pour le champion en titre, la collection se décline en rose vif. L'univers graphique des emballages japonais de mon enfance ajoute des touches de couleur et des jeux visuels, entrelacés d'illustrations, conférant aux pièces un caractère très personnel et puissant. »
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05

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„La boxe est une histoire pleine de paradoxes. Je n'aime pas la boxe dans tous ses aspects, et je ne pense pas qu'il soit possible de l'aimer entièrement. Chacun tisse un lien unique avec cet art, car nous ne la pratiquons pas tous de la même manière, ni pour les mêmes raisons. Dans la préparation physique et mentale du boxeur qui s'apprête à combattre, le vêtement joue un rôle crucial dans cette mise en scène.« SOFT PUNCH » est une collection de vêtements qui émane un sentiment de puissance, de sécurité, et un confort tant physique qu'émotionnel. S'inspirant des codes couleur de la boxe anglaise, où le rouge est traditionnellement réservé au challenger tandis que le coin bleu est pour le champion en titre, la collection se décline en rose vif. L'univers graphique des emballages japonais de mon enfance ajoute des touches de couleur et des jeux visuels, entrelacés d'illustrations, conférant aux pièces un caractère très personnel et puissant. »
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Soft Punch » de Yuma Cefelman @yumsart , diplômée en Design Vetement @vetement_ecoleartsdecoparis . „La boxe est une histoire pleine de paradoxes. Je n'aime pas la boxe dans tous ses aspects, et je ne pense pas qu'il soit possible de l'aimer entièrement. Chacun tisse un lien unique avec cet art, car nous ne la pratiquons pas tous de la même manière, ni pour les mêmes raisons. Dans la préparation physique et mentale du boxeur qui s'apprête à combattre, le vêtement joue un rôle crucial dans cette mise en scène.« SOFT PUNCH » est une collection de vêtements qui émane un sentiment de puissance, de sécurité, et un confort tant physique qu'émotionnel. S'inspirant des codes couleur de la boxe anglaise, où le rouge est traditionnellement réservé au challenger tandis que le coin bleu est pour le champion en titre, la collection se décline en rose vif. L'univers graphique des emballages japonais de mon enfance ajoute des touches de couleur et des jeux visuels, entrelacés d'illustrations, conférant aux pièces un caractère très personnel et puissant. » . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05

12 heures ago

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[Partenariat] [Pédagogie] Retour en images sur le projet « Heritage Rewoven » en partenariat avec OCHRE @ochre.origins
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« Heritage Rewoven » est un projet pédagogique développer avec OCHRE @ochre.origins dédié à l’exploration des traditions textiles arméniennes, et plus particulièrement de la broderie Ourfa.
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Le projet Heritage Rewoven propose une exploration collective d’un patrimoine textile en danger, celui des broderies arméniennes originaires de la ville d’Ourfa, aujourd’hui perpétuées par les communautés de la diaspora en Syrie et au Liban. Support d’expression personnelle et mémoire d’un exil, ces textiles racontent les trajectoires multiples d’un savoir-faire déplacé, réinterprété, transmis.
.
Ce projet est encadré par Giuseppe Caccavale @giuseppe.caccavale.568, enseignant du studio Art Mural et Orsina Visconti @orsina.visconti, référente du secteur Design Textile et Matière. Avec la collaboration des artistes arméniens Anush Ghukasyan @ghukasyan.anush et Aleksey Manukyan @alekseymanukyan, l’artisan brodeur Maral Shohmahlian @maralsheuhmelian , et Anush Zeinalian @ anush_zeinalian ,cofondateur d’OCHRE @ochre.origins
.
En juin, les élèves se rendront en Arménie pour concevoir collectivement avec ces artisans une œuvre grand format, empruntant la technique Ourfa.
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Projet soutenu par la Fondation Armenia 2041, dans le cadre du programme de bourses « Galvaniser la diaspora », ainsi que de l’Ambassade de France @france.en.armenie et de l’Institut français en Arménie @if_armenie

[Partenariat] [Pédagogie] Retour en images sur le projet « Heritage Rewoven » en partenariat avec OCHRE @ochre.origins
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« Heritage Rewoven » est un projet pédagogique développer avec OCHRE @ochre.origins dédié à l’exploration des traditions textiles arméniennes, et plus particulièrement de la broderie Ourfa.
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Le projet Heritage Rewoven propose une exploration collective d’un patrimoine textile en danger, celui des broderies arméniennes originaires de la ville d’Ourfa, aujourd’hui perpétuées par les communautés de la diaspora en Syrie et au Liban. Support d’expression personnelle et mémoire d’un exil, ces textiles racontent les trajectoires multiples d’un savoir-faire déplacé, réinterprété, transmis.
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Ce projet est encadré par Giuseppe Caccavale @giuseppe.caccavale.568, enseignant du studio Art Mural et Orsina Visconti @orsina.visconti, référente du secteur Design Textile et Matière. Avec la collaboration des artistes arméniens Anush Ghukasyan @ghukasyan.anush et Aleksey Manukyan @alekseymanukyan, l’artisan brodeur Maral Shohmahlian @maralsheuhmelian , et Anush Zeinalian @ anush_zeinalian ,cofondateur d’OCHRE @ochre.origins
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Ce projet est encadré par Giuseppe Caccavale @giuseppe.caccavale.568, enseignant du studio Art Mural et Orsina Visconti @orsina.visconti, référente du secteur Design Textile et Matière. Avec la collaboration des artistes arméniens Anush Ghukasyan @ghukasyan.anush et Aleksey Manukyan @alekseymanukyan, l’artisan brodeur Maral Shohmahlian @maralsheuhmelian , et Anush Zeinalian @ anush_zeinalian ,cofondateur d’OCHRE @ochre.origins
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En juin, les élèves se rendront en Arménie pour concevoir collectivement avec ces artisans une œuvre grand format, empruntant la technique Ourfa.
.
Projet soutenu par la Fondation Armenia 2041, dans le cadre du programme de bourses « Galvaniser la diaspora », ainsi que de l’Ambassade de France @france.en.armenie et de l’Institut français en Arménie @if_armenie

[Partenariat] [Pédagogie] Retour en images sur le projet « Heritage Rewoven » en partenariat avec OCHRE @ochre.origins
.
« Heritage Rewoven » est un projet pédagogique développer avec OCHRE @ochre.origins dédié à l’exploration des traditions textiles arméniennes, et plus particulièrement de la broderie Ourfa.
.
Le projet Heritage Rewoven propose une exploration collective d’un patrimoine textile en danger, celui des broderies arméniennes originaires de la ville d’Ourfa, aujourd’hui perpétuées par les communautés de la diaspora en Syrie et au Liban. Support d’expression personnelle et mémoire d’un exil, ces textiles racontent les trajectoires multiples d’un savoir-faire déplacé, réinterprété, transmis.
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Ce projet est encadré par Giuseppe Caccavale @giuseppe.caccavale.568, enseignant du studio Art Mural et Orsina Visconti @orsina.visconti, référente du secteur Design Textile et Matière. Avec la collaboration des artistes arméniens Anush Ghukasyan @ghukasyan.anush et Aleksey Manukyan @alekseymanukyan, l’artisan brodeur Maral Shohmahlian @maralsheuhmelian , et Anush Zeinalian @ anush_zeinalian ,cofondateur d’OCHRE @ochre.origins
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En juin, les élèves se rendront en Arménie pour concevoir collectivement avec ces artisans une œuvre grand format, empruntant la technique Ourfa.
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Projet soutenu par la Fondation Armenia 2041, dans le cadre du programme de bourses « Galvaniser la diaspora », ainsi que de l’Ambassade de France @france.en.armenie et de l’Institut français en Arménie @if_armenie

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[Partenariat] [Pédagogie] Retour en images sur le projet « Heritage Rewoven » en partenariat avec OCHRE @ochre.origins . « Heritage Rewoven » est un projet pédagogique développer avec OCHRE @ochre.origins dédié à l’exploration des traditions textiles arméniennes, et plus particulièrement de la broderie Ourfa. . Le projet Heritage Rewoven propose une exploration collective d’un patrimoine textile en danger, celui des broderies arméniennes originaires de la ville d’Ourfa, aujourd’hui perpétuées par les communautés de la diaspora en Syrie et au Liban. Support d’expression personnelle et mémoire d’un exil, ces textiles racontent les trajectoires multiples d’un savoir-faire déplacé, réinterprété, transmis. . Ce projet est encadré par Giuseppe Caccavale @giuseppe.caccavale.568, enseignant du studio Art Mural et Orsina Visconti @orsina.visconti, référente du secteur Design Textile et Matière. Avec la collaboration des artistes arméniens Anush Ghukasyan @ghukasyan.anush et Aleksey Manukyan @alekseymanukyan, l’artisan brodeur Maral Shohmahlian @maralsheuhmelian , et Anush Zeinalian @ anush_zeinalian ,cofondateur d’OCHRE @ochre.origins . En juin, les élèves se rendront en Arménie pour concevoir collectivement avec ces artisans une œuvre grand format, empruntant la technique Ourfa. . Projet soutenu par la Fondation Armenia 2041, dans le cadre du programme de bourses « Galvaniser la diaspora », ainsi que de l’Ambassade de France @france.en.armenie et de l’Institut français en Arménie @if_armenie

1 jour ago

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[Évènement] 👗 Fashion Z : Festival Modes Nouvelles
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L’École des Arts Décoratifs – PSL en partenariat avec le @ palaisgallieramuseedelamode et @campusartdesign vous invite à la première édition du festival « Fashion Z », un festival dédié aux communautés créatives et aux talents émergents, le vendredi 25 et le samedi 26 avril.
.
Sur inscription lien dans la bio
.
📃Au programme : diverses rencontres, expositions, présentations de look crées par les étudiant.es de l’École et des Écoles partenaires, ateliers participatifs, performances artistiques et soirée festive avec DJ set.
.
Retrouvez notamment Annabela Tournon et les étudiant.es de l’École des Arts Décoratifs – PSL à 17h autour d’une table ronde intitulée : Nouveaux Mondes : « Le design vêtement au prisme des études décoloniales : interroger la mode depuis l’entre-deux »
.
👤Avec de l’École des Arts Décoratifs – PSL : Clara Zimmer @clarahelenesalome , Louise Courcol @louise_courcol, Tal Glazermann @tal_glazermann, Yan Zimmermann @zimmermannyvan, Louise Sauvard @louisexsvd , Ivan Lom @ivan_lom_ , Paul Bonneville @paul.bvl
.
✨️Le festival est l’occasion de valoriser la jeune création, réunir étudiant.es, professionnel.les, amateurs.rices et passionné.es de mode afin d’offrir un espace réflexif autour du vêtement et de ses représentations. L’occasion également de sensibiliser le public aux pratiques résilientes de l’écosystème de la mode.

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Au programme : diverses rencontres, expositions, présentations de look crées par les étudiant.es de l’École et des Écoles partenaires, ateliers participatifs, performances artistiques et soirée festive avec DJ set. . Retrouvez notamment Annabela Tournon et les étudiant.es de l’École des Arts Décoratifs – PSL à 17h autour d’une table ronde intitulée : Nouveaux Mondes : « Le design vêtement au prisme des études décoloniales : interroger la mode depuis l’entre-deux » .

Avec de l’École des Arts Décoratifs – PSL : Clara Zimmer @clarahelenesalome , Louise Courcol @louise_courcol, Tal Glazermann @tal_glazermann, Yan Zimmermann @zimmermannyvan, Louise Sauvard @louisexsvd , Ivan Lom @ivan_lom_ , Paul Bonneville @paul.bvl .

️Le festival est l’occasion de valoriser la jeune création, réunir étudiant.es, professionnel.les, amateurs.rices et passionné.es de mode afin d’offrir un espace réflexif autour du vêtement et de ses représentations. L’occasion également de sensibiliser le public aux pratiques résilientes de l’écosystème de la mode.

2 jours ago

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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Bonjour, Bienvenue » de Cicilee Ndiaye @cicilee.ndiaye , diplômée en Image Imprimée @@imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Dans tous les aspects de ma vie et de ma pratique, je suis toujours entre deux choses, entre une culture d’élite et une culture populaire, entre les marges et les masses, le réel et la fiction, le propre et le sale, la vérité et le mensonge, le processus et la finalité.
Le plus souvent mes dessins découlent d’images de référence, celles-ci proviennent principalement de la télévision, en particulier des soap et de l’imaginaire fantasmagorique qui en découle. J’aime que le jeu soit clairement visible comme au théâtre, que l’image soit saturée et de mauvaise qualité, que les décors soient fixes, et les rapports de classe parodiés.
D’autres images viennent d’internet. Comment une série d’images sélectionnées construisent nos personnalités ? Comment se raconter en images ? Est-ce que les décors sont des mensonges ? Il me semble qu’être un personnage tient à peu de choses. Raconter sans avoir rien à dire, écrire sans trouver les mots, apprendre à dessiner ce qui pourrait exister, les cheveux rouges et les mains noires. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault

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« Dans tous les aspects de ma vie et de ma pratique, je suis toujours entre deux choses, entre une culture d’élite et une culture populaire, entre les marges et les masses, le réel et la fiction, le propre et le sale, la vérité et le mensonge, le processus et la finalité.
Le plus souvent mes dessins découlent d’images de référence, celles-ci proviennent principalement de la télévision, en particulier des soap et de l’imaginaire fantasmagorique qui en découle. J’aime que le jeu soit clairement visible comme au théâtre, que l’image soit saturée et de mauvaise qualité, que les décors soient fixes, et les rapports de classe parodiés.
D’autres images viennent d’internet. Comment une série d’images sélectionnées construisent nos personnalités ? Comment se raconter en images ? Est-ce que les décors sont des mensonges ? Il me semble qu’être un personnage tient à peu de choses. Raconter sans avoir rien à dire, écrire sans trouver les mots, apprendre à dessiner ce qui pourrait exister, les cheveux rouges et les mains noires. »
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Le plus souvent mes dessins découlent d’images de référence, celles-ci proviennent principalement de la télévision, en particulier des soap et de l’imaginaire fantasmagorique qui en découle. J’aime que le jeu soit clairement visible comme au théâtre, que l’image soit saturée et de mauvaise qualité, que les décors soient fixes, et les rapports de classe parodiés.
D’autres images viennent d’internet. Comment une série d’images sélectionnées construisent nos personnalités ? Comment se raconter en images ? Est-ce que les décors sont des mensonges ? Il me semble qu’être un personnage tient à peu de choses. Raconter sans avoir rien à dire, écrire sans trouver les mots, apprendre à dessiner ce qui pourrait exister, les cheveux rouges et les mains noires. »
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Le plus souvent mes dessins découlent d’images de référence, celles-ci proviennent principalement de la télévision, en particulier des soap et de l’imaginaire fantasmagorique qui en découle. J’aime que le jeu soit clairement visible comme au théâtre, que l’image soit saturée et de mauvaise qualité, que les décors soient fixes, et les rapports de classe parodiés.
D’autres images viennent d’internet. Comment une série d’images sélectionnées construisent nos personnalités ? Comment se raconter en images ? Est-ce que les décors sont des mensonges ? Il me semble qu’être un personnage tient à peu de choses. Raconter sans avoir rien à dire, écrire sans trouver les mots, apprendre à dessiner ce qui pourrait exister, les cheveux rouges et les mains noires. »
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Le plus souvent mes dessins découlent d’images de référence, celles-ci proviennent principalement de la télévision, en particulier des soap et de l’imaginaire fantasmagorique qui en découle. J’aime que le jeu soit clairement visible comme au théâtre, que l’image soit saturée et de mauvaise qualité, que les décors soient fixes, et les rapports de classe parodiés.
D’autres images viennent d’internet. Comment une série d’images sélectionnées construisent nos personnalités ? Comment se raconter en images ? Est-ce que les décors sont des mensonges ? Il me semble qu’être un personnage tient à peu de choses. Raconter sans avoir rien à dire, écrire sans trouver les mots, apprendre à dessiner ce qui pourrait exister, les cheveux rouges et les mains noires. »
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Le plus souvent mes dessins découlent d’images de référence, celles-ci proviennent principalement de la télévision, en particulier des soap et de l’imaginaire fantasmagorique qui en découle. J’aime que le jeu soit clairement visible comme au théâtre, que l’image soit saturée et de mauvaise qualité, que les décors soient fixes, et les rapports de classe parodiés.
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Le plus souvent mes dessins découlent d’images de référence, celles-ci proviennent principalement de la télévision, en particulier des soap et de l’imaginaire fantasmagorique qui en découle. J’aime que le jeu soit clairement visible comme au théâtre, que l’image soit saturée et de mauvaise qualité, que les décors soient fixes, et les rapports de classe parodiés.
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Ghost Island » de Julien Legros, diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco
.
« Au-delà de la ligne d'horizon, le mot « mer » convoque un ensemble de fragments d'images et de fictions. Notre compréhension de l'espace maritime se limite souvent à certaines de ses représentations. Celles-ci influencent notre relation à cet espace qui couvre 70 % de la surface terrestre et est corrélé aux enjeux de la crise climatique. Mon projet explore l’île fantôme de Frisland, cartographiée par erreur au XVIe siècle. A partir de sa forme, je l'imagine comme une micronation où la résilience et le collectif sont centraux. Cette île, matérialisée par une surface de sel et un banc à deux niveaux avec cinq boîtes illustrant divers éléments du paysage, invite à réfléchir à la vulnérabilité et aux espaces de vie, de création et de marginalité. Les images et les textes contenus dans ces boîtes interprètent le paysage de l’île à une échelle réduite et se prolongent à travers des formes en volume. Ces dernières sont présentées sous une lumière orangée comme un coucher de soleil permanent. »
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05

[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Ghost Island » de Julien Legros, diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco
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« Au-delà de la ligne d'horizon, le mot « mer » convoque un ensemble de fragments d'images et de fictions. Notre compréhension de l'espace maritime se limite souvent à certaines de ses représentations. Celles-ci influencent notre relation à cet espace qui couvre 70 % de la surface terrestre et est corrélé aux enjeux de la crise climatique. Mon projet explore l’île fantôme de Frisland, cartographiée par erreur au XVIe siècle. A partir de sa forme, je l'imagine comme une micronation où la résilience et le collectif sont centraux. Cette île, matérialisée par une surface de sel et un banc à deux niveaux avec cinq boîtes illustrant divers éléments du paysage, invite à réfléchir à la vulnérabilité et aux espaces de vie, de création et de marginalité. Les images et les textes contenus dans ces boîtes interprètent le paysage de l’île à une échelle réduite et se prolongent à travers des formes en volume. Ces dernières sont présentées sous une lumière orangée comme un coucher de soleil permanent. »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05

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« Au-delà de la ligne d'horizon, le mot « mer » convoque un ensemble de fragments d'images et de fictions. Notre compréhension de l'espace maritime se limite souvent à certaines de ses représentations. Celles-ci influencent notre relation à cet espace qui couvre 70 % de la surface terrestre et est corrélé aux enjeux de la crise climatique. Mon projet explore l’île fantôme de Frisland, cartographiée par erreur au XVIe siècle. A partir de sa forme, je l'imagine comme une micronation où la résilience et le collectif sont centraux. Cette île, matérialisée par une surface de sel et un banc à deux niveaux avec cinq boîtes illustrant divers éléments du paysage, invite à réfléchir à la vulnérabilité et aux espaces de vie, de création et de marginalité. Les images et les textes contenus dans ces boîtes interprètent le paysage de l’île à une échelle réduite et se prolongent à travers des formes en volume. Ces dernières sont présentées sous une lumière orangée comme un coucher de soleil permanent. »
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« Au-delà de la ligne d'horizon, le mot « mer » convoque un ensemble de fragments d'images et de fictions. Notre compréhension de l'espace maritime se limite souvent à certaines de ses représentations. Celles-ci influencent notre relation à cet espace qui couvre 70 % de la surface terrestre et est corrélé aux enjeux de la crise climatique. Mon projet explore l’île fantôme de Frisland, cartographiée par erreur au XVIe siècle. A partir de sa forme, je l'imagine comme une micronation où la résilience et le collectif sont centraux. Cette île, matérialisée par une surface de sel et un banc à deux niveaux avec cinq boîtes illustrant divers éléments du paysage, invite à réfléchir à la vulnérabilité et aux espaces de vie, de création et de marginalité. Les images et les textes contenus dans ces boîtes interprètent le paysage de l’île à une échelle réduite et se prolongent à travers des formes en volume. Ces dernières sont présentées sous une lumière orangée comme un coucher de soleil permanent. »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05

ecoleartsdecoparis

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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Ghost Island » de Julien Legros, diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco . « Au-delà de la ligne d'horizon, le mot « mer » convoque un ensemble de fragments d'images et de fictions. Notre compréhension de l'espace maritime se limite souvent à certaines de ses représentations. Celles-ci influencent notre relation à cet espace qui couvre 70 % de la surface terrestre et est corrélé aux enjeux de la crise climatique. Mon projet explore l’île fantôme de Frisland, cartographiée par erreur au XVIe siècle. A partir de sa forme, je l'imagine comme une micronation où la résilience et le collectif sont centraux. Cette île, matérialisée par une surface de sel et un banc à deux niveaux avec cinq boîtes illustrant divers éléments du paysage, invite à réfléchir à la vulnérabilité et aux espaces de vie, de création et de marginalité. Les images et les textes contenus dans ces boîtes interprètent le paysage de l’île à une échelle réduite et se prolongent à travers des formes en volume. Ces dernières sont présentées sous une lumière orangée comme un coucher de soleil permanent. » . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05

5 jours ago

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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« SENS-E: Repenser une architecture intérieure sensorielle au service de la déficience visuelle » de Corentin Pechon @teen_wofie , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis
.
« Alors que l’inclusion des personnes atteintes de déficience visuelle est reconnue comme une priorité par de nombreuses politiques publiques, la façon dont le design pense les normes d’accessibilité reflète une vision superficielle de l’inclusion. Première école pour déficient·es visuel·les au monde, l’Institut national des Jeunes Aveugles (INJA) de Paris s’est révélé comme un lieu emblématique, fondateur et précurseur de la pensée du care et d’innovations sociales. Bien que longtemps considérée comme un modèle à atteindre, la notion de confort et d’accessibilité que nous connaissons aujourd’hui n’est plus celle qu’elle était autrefois.
Ce projet expérimental souhaite actualiser ce site patrimonial en proposant des aménagements qui interrogent les normes pour répondre aux besoins spécifiques des enfants déficients visuels. Il cherche à accompagner les enfants au quotidien en plaçant en son cœur l’engagement corporel et émotionnel dans un espace. Il s’agit ainsi d’offrir un cadre où développer la confiance et l’indépendance par la sensorialité́, en accordant aussi une attention toute particulière aux matériaux. Il sera aussi l’occasion, par cette inscription dans une pensée du care, éthique du soin et réponse aux vulnérabilités, de participer à celle du repair en proposant une attention portée aux objets et aux matériaux, offrant une pérennité́ de ce qui nous entoure. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault

[AFTER][Diplôme Master 2024]
« SENS-E: Repenser une architecture intérieure sensorielle au service de la déficience visuelle » de Corentin Pechon @teen_wofie , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis
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« Alors que l’inclusion des personnes atteintes de déficience visuelle est reconnue comme une priorité par de nombreuses politiques publiques, la façon dont le design pense les normes d’accessibilité reflète une vision superficielle de l’inclusion. Première école pour déficient·es visuel·les au monde, l’Institut national des Jeunes Aveugles (INJA) de Paris s’est révélé comme un lieu emblématique, fondateur et précurseur de la pensée du care et d’innovations sociales. Bien que longtemps considérée comme un modèle à atteindre, la notion de confort et d’accessibilité que nous connaissons aujourd’hui n’est plus celle qu’elle était autrefois.
Ce projet expérimental souhaite actualiser ce site patrimonial en proposant des aménagements qui interrogent les normes pour répondre aux besoins spécifiques des enfants déficients visuels. Il cherche à accompagner les enfants au quotidien en plaçant en son cœur l’engagement corporel et émotionnel dans un espace. Il s’agit ainsi d’offrir un cadre où développer la confiance et l’indépendance par la sensorialité́, en accordant aussi une attention toute particulière aux matériaux. Il sera aussi l’occasion, par cette inscription dans une pensée du care, éthique du soin et réponse aux vulnérabilités, de participer à celle du repair en proposant une attention portée aux objets et aux matériaux, offrant une pérennité́ de ce qui nous entoure. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault

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Ce projet expérimental souhaite actualiser ce site patrimonial en proposant des aménagements qui interrogent les normes pour répondre aux besoins spécifiques des enfants déficients visuels. Il cherche à accompagner les enfants au quotidien en plaçant en son cœur l’engagement corporel et émotionnel dans un espace. Il s’agit ainsi d’offrir un cadre où développer la confiance et l’indépendance par la sensorialité́, en accordant aussi une attention toute particulière aux matériaux. Il sera aussi l’occasion, par cette inscription dans une pensée du care, éthique du soin et réponse aux vulnérabilités, de participer à celle du repair en proposant une attention portée aux objets et aux matériaux, offrant une pérennité́ de ce qui nous entoure. »
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Ce projet expérimental souhaite actualiser ce site patrimonial en proposant des aménagements qui interrogent les normes pour répondre aux besoins spécifiques des enfants déficients visuels. Il cherche à accompagner les enfants au quotidien en plaçant en son cœur l’engagement corporel et émotionnel dans un espace. Il s’agit ainsi d’offrir un cadre où développer la confiance et l’indépendance par la sensorialité́, en accordant aussi une attention toute particulière aux matériaux. Il sera aussi l’occasion, par cette inscription dans une pensée du care, éthique du soin et réponse aux vulnérabilités, de participer à celle du repair en proposant une attention portée aux objets et aux matériaux, offrant une pérennité́ de ce qui nous entoure. »
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Ce projet expérimental souhaite actualiser ce site patrimonial en proposant des aménagements qui interrogent les normes pour répondre aux besoins spécifiques des enfants déficients visuels. Il cherche à accompagner les enfants au quotidien en plaçant en son cœur l’engagement corporel et émotionnel dans un espace. Il s’agit ainsi d’offrir un cadre où développer la confiance et l’indépendance par la sensorialité́, en accordant aussi une attention toute particulière aux matériaux. Il sera aussi l’occasion, par cette inscription dans une pensée du care, éthique du soin et réponse aux vulnérabilités, de participer à celle du repair en proposant une attention portée aux objets et aux matériaux, offrant une pérennité́ de ce qui nous entoure. »
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Ce projet expérimental souhaite actualiser ce site patrimonial en proposant des aménagements qui interrogent les normes pour répondre aux besoins spécifiques des enfants déficients visuels. Il cherche à accompagner les enfants au quotidien en plaçant en son cœur l’engagement corporel et émotionnel dans un espace. Il s’agit ainsi d’offrir un cadre où développer la confiance et l’indépendance par la sensorialité́, en accordant aussi une attention toute particulière aux matériaux. Il sera aussi l’occasion, par cette inscription dans une pensée du care, éthique du soin et réponse aux vulnérabilités, de participer à celle du repair en proposant une attention portée aux objets et aux matériaux, offrant une pérennité́ de ce qui nous entoure. »
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Ce projet expérimental souhaite actualiser ce site patrimonial en proposant des aménagements qui interrogent les normes pour répondre aux besoins spécifiques des enfants déficients visuels. Il cherche à accompagner les enfants au quotidien en plaçant en son cœur l’engagement corporel et émotionnel dans un espace. Il s’agit ainsi d’offrir un cadre où développer la confiance et l’indépendance par la sensorialité́, en accordant aussi une attention toute particulière aux matériaux. Il sera aussi l’occasion, par cette inscription dans une pensée du care, éthique du soin et réponse aux vulnérabilités, de participer à celle du repair en proposant une attention portée aux objets et aux matériaux, offrant une pérennité́ de ce qui nous entoure. »
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Ce projet expérimental souhaite actualiser ce site patrimonial en proposant des aménagements qui interrogent les normes pour répondre aux besoins spécifiques des enfants déficients visuels. Il cherche à accompagner les enfants au quotidien en plaçant en son cœur l’engagement corporel et émotionnel dans un espace. Il s’agit ainsi d’offrir un cadre où développer la confiance et l’indépendance par la sensorialité́, en accordant aussi une attention toute particulière aux matériaux. Il sera aussi l’occasion, par cette inscription dans une pensée du care, éthique du soin et réponse aux vulnérabilités, de participer à celle du repair en proposant une attention portée aux objets et aux matériaux, offrant une pérennité́ de ce qui nous entoure. »
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Ce projet expérimental souhaite actualiser ce site patrimonial en proposant des aménagements qui interrogent les normes pour répondre aux besoins spécifiques des enfants déficients visuels. Il cherche à accompagner les enfants au quotidien en plaçant en son cœur l’engagement corporel et émotionnel dans un espace. Il s’agit ainsi d’offrir un cadre où développer la confiance et l’indépendance par la sensorialité́, en accordant aussi une attention toute particulière aux matériaux. Il sera aussi l’occasion, par cette inscription dans une pensée du care, éthique du soin et réponse aux vulnérabilités, de participer à celle du repair en proposant une attention portée aux objets et aux matériaux, offrant une pérennité́ de ce qui nous entoure. »
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1 semaine ago

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🎨[LE NID] Retour en images sur le Workshop RUIN(E) 1:1.
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Dans le cadre du NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, un workshop international explorant le dessin à échelle 1:1 dans l’un des lieux les plus emblématiques consacrés à l’architecture dans le monde, la Cité de l’architecture et du patrimoine @citedelarchi
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Sous la thématique de la « voix des ruines » la Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin déploie pour sa 2e année un enseignement dédié à la pratique du dessin. Que se passe-t-il lorsque l’arpentage et le relevé se confondent avec les langages du dessin ? C’est dans ce défi que l’École des Arts Décoratifs-PSL, l’Académie de Beaux-Arts de Naples @abanapoli_official et l’Académie de Beaux-Arts de Varsovie @aspwwarszawie se sont retrouvées pour ce workshop de dessin de 5 jours dans les espaces de la @citedelarchi
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La galerie des peintures murales, la galerie des moulages, la galerie d’architecture moderne et contemporaine sont devenues le théâtre d’une exploration du dessin à l’échelle 1:1.
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Une restitution de ce workshop hors-les-murs a eu lieu le 6 mars 2025 à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine. Encadrés par les professeurs et artistes de l’École des Arts Décoratifs-PSL @giuseppe.caccavale.568 et @gaetanocunsolo , les étudiant.es présentaient leurs productions au contact de la galerie des peintures murales, habituellement fermée au public. Ils se retrouveront à Naples en mai 2025 pour une nouvelle exposition-restitution.
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Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos @theoetrillard

🎨[LE NID] Retour en images sur le Workshop RUIN(E) 1:1.
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Dans le cadre du NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, un workshop international explorant le dessin à échelle 1:1 dans l’un des lieux les plus emblématiques consacrés à l’architecture dans le monde, la Cité de l’architecture et du patrimoine @citedelarchi
.
Sous la thématique de la « voix des ruines » la Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin déploie pour sa 2e année un enseignement dédié à la pratique du dessin. Que se passe-t-il lorsque l’arpentage et le relevé se confondent avec les langages du dessin ? C’est dans ce défi que l’École des Arts Décoratifs-PSL, l’Académie de Beaux-Arts de Naples @abanapoli_official et l’Académie de Beaux-Arts de Varsovie @aspwwarszawie se sont retrouvées pour ce workshop de dessin de 5 jours dans les espaces de la @citedelarchi
•
La galerie des peintures murales, la galerie des moulages, la galerie d’architecture moderne et contemporaine sont devenues le théâtre d’une exploration du dessin à l’échelle 1:1.
.
Une restitution de ce workshop hors-les-murs a eu lieu le 6 mars 2025 à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine. Encadrés par les professeurs et artistes de l’École des Arts Décoratifs-PSL @giuseppe.caccavale.568 et @gaetanocunsolo , les étudiant.es présentaient leurs productions au contact de la galerie des peintures murales, habituellement fermée au public. Ils se retrouveront à Naples en mai 2025 pour une nouvelle exposition-restitution.
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Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin est soutenu par la maison @hermes
.
Crédits photos @theoetrillard

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Sous la thématique de la « voix des ruines » la Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin déploie pour sa 2e année un enseignement dédié à la pratique du dessin. Que se passe-t-il lorsque l’arpentage et le relevé se confondent avec les langages du dessin ? C’est dans ce défi que l’École des Arts Décoratifs-PSL, l’Académie de Beaux-Arts de Naples @abanapoli_official et l’Académie de Beaux-Arts de Varsovie @aspwwarszawie se sont retrouvées pour ce workshop de dessin de 5 jours dans les espaces de la @citedelarchi
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La galerie des peintures murales, la galerie des moulages, la galerie d’architecture moderne et contemporaine sont devenues le théâtre d’une exploration du dessin à l’échelle 1:1.
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Une restitution de ce workshop hors-les-murs a eu lieu le 6 mars 2025 à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine. Encadrés par les professeurs et artistes de l’École des Arts Décoratifs-PSL @giuseppe.caccavale.568 et @gaetanocunsolo , les étudiant.es présentaient leurs productions au contact de la galerie des peintures murales, habituellement fermée au public. Ils se retrouveront à Naples en mai 2025 pour une nouvelle exposition-restitution.
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1 semaine ago

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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Cercle magique » de Lucie Lozano @c131o , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Créatures ailées, sourires ambiguës, entités spectrales tiennent la ronde et viennent troubler notre vision. L’ensemble que je présente est pensé comme une série de visions fantasmagoriques. Des mots se distordent et résonnent, comme des échos. Ces présences sont estompées et semblent fugitives. Mais à bien y regarder, ne s’incarnent-elles pas dans les croisements du tissu ? Logées dans le tissage, à la fois prisonnières de ces nœuds et constituantes de ceux-ci.
.
Tout au long de cette année, je détermine les règles d’un protocole d’apparition d’images qui repose sur la répétition d’un geste et la déconstruction d’une maitrise afin de voir naitre des figures animées d’un caractère mystérieux.
.
Le terme « Cercle Magique » est issu d’une notion en sociologie des jeux, qui définit un espace se distinguant du réel, délimité par un ensemble de règles qui lui sont propres. En l’employant comme titre, je l’extrais de son contexte pour convoquer une image mentale de l’ordre du fantastique. Qu'est-ce que l’acte magique, sinon la production d’un effet étonnant qui semble défier les lois du réel ? Cette connotation m’intéresse car j’envisage mon processus de travail comme un jeu dans un cercle magique où les images sont passagères.
Enfin, la forme circulaire est une double allusion, à la fois aux boucles des fils que je tisse mais aussi aux boucles d’actions que je répète : dessiner, tricoter, imprimer, détricoter, tisser, et être à nouveau happée par le désir de recommencer. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault , Valentin Degnieau @val.dgn

[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Cercle magique » de Lucie Lozano @c131o , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
.
« Créatures ailées, sourires ambiguës, entités spectrales tiennent la ronde et viennent troubler notre vision. L’ensemble que je présente est pensé comme une série de visions fantasmagoriques. Des mots se distordent et résonnent, comme des échos. Ces présences sont estompées et semblent fugitives. Mais à bien y regarder, ne s’incarnent-elles pas dans les croisements du tissu ? Logées dans le tissage, à la fois prisonnières de ces nœuds et constituantes de ceux-ci.
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Tout au long de cette année, je détermine les règles d’un protocole d’apparition d’images qui repose sur la répétition d’un geste et la déconstruction d’une maitrise afin de voir naitre des figures animées d’un caractère mystérieux.
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Le terme « Cercle Magique » est issu d’une notion en sociologie des jeux, qui définit un espace se distinguant du réel, délimité par un ensemble de règles qui lui sont propres. En l’employant comme titre, je l’extrais de son contexte pour convoquer une image mentale de l’ordre du fantastique. Qu'est-ce que l’acte magique, sinon la production d’un effet étonnant qui semble défier les lois du réel ? Cette connotation m’intéresse car j’envisage mon processus de travail comme un jeu dans un cercle magique où les images sont passagères.
Enfin, la forme circulaire est une double allusion, à la fois aux boucles des fils que je tisse mais aussi aux boucles d’actions que je répète : dessiner, tricoter, imprimer, détricoter, tisser, et être à nouveau happée par le désir de recommencer. »
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Tout au long de cette année, je détermine les règles d’un protocole d’apparition d’images qui repose sur la répétition d’un geste et la déconstruction d’une maitrise afin de voir naitre des figures animées d’un caractère mystérieux.
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Le terme « Cercle Magique » est issu d’une notion en sociologie des jeux, qui définit un espace se distinguant du réel, délimité par un ensemble de règles qui lui sont propres. En l’employant comme titre, je l’extrais de son contexte pour convoquer une image mentale de l’ordre du fantastique. Qu'est-ce que l’acte magique, sinon la production d’un effet étonnant qui semble défier les lois du réel ? Cette connotation m’intéresse car j’envisage mon processus de travail comme un jeu dans un cercle magique où les images sont passagères.
Enfin, la forme circulaire est une double allusion, à la fois aux boucles des fils que je tisse mais aussi aux boucles d’actions que je répète : dessiner, tricoter, imprimer, détricoter, tisser, et être à nouveau happée par le désir de recommencer. »
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« Cercle magique » de Lucie Lozano @c131o , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
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« Créatures ailées, sourires ambiguës, entités spectrales tiennent la ronde et viennent troubler notre vision. L’ensemble que je présente est pensé comme une série de visions fantasmagoriques. Des mots se distordent et résonnent, comme des échos. Ces présences sont estompées et semblent fugitives. Mais à bien y regarder, ne s’incarnent-elles pas dans les croisements du tissu ? Logées dans le tissage, à la fois prisonnières de ces nœuds et constituantes de ceux-ci.
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Tout au long de cette année, je détermine les règles d’un protocole d’apparition d’images qui repose sur la répétition d’un geste et la déconstruction d’une maitrise afin de voir naitre des figures animées d’un caractère mystérieux.
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Le terme « Cercle Magique » est issu d’une notion en sociologie des jeux, qui définit un espace se distinguant du réel, délimité par un ensemble de règles qui lui sont propres. En l’employant comme titre, je l’extrais de son contexte pour convoquer une image mentale de l’ordre du fantastique. Qu'est-ce que l’acte magique, sinon la production d’un effet étonnant qui semble défier les lois du réel ? Cette connotation m’intéresse car j’envisage mon processus de travail comme un jeu dans un cercle magique où les images sont passagères.
Enfin, la forme circulaire est une double allusion, à la fois aux boucles des fils que je tisse mais aussi aux boucles d’actions que je répète : dessiner, tricoter, imprimer, détricoter, tisser, et être à nouveau happée par le désir de recommencer. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault , Valentin Degnieau @val.dgn

[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Cercle magique » de Lucie Lozano @c131o , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
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« Créatures ailées, sourires ambiguës, entités spectrales tiennent la ronde et viennent troubler notre vision. L’ensemble que je présente est pensé comme une série de visions fantasmagoriques. Des mots se distordent et résonnent, comme des échos. Ces présences sont estompées et semblent fugitives. Mais à bien y regarder, ne s’incarnent-elles pas dans les croisements du tissu ? Logées dans le tissage, à la fois prisonnières de ces nœuds et constituantes de ceux-ci.
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Tout au long de cette année, je détermine les règles d’un protocole d’apparition d’images qui repose sur la répétition d’un geste et la déconstruction d’une maitrise afin de voir naitre des figures animées d’un caractère mystérieux.
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Le terme « Cercle Magique » est issu d’une notion en sociologie des jeux, qui définit un espace se distinguant du réel, délimité par un ensemble de règles qui lui sont propres. En l’employant comme titre, je l’extrais de son contexte pour convoquer une image mentale de l’ordre du fantastique. Qu'est-ce que l’acte magique, sinon la production d’un effet étonnant qui semble défier les lois du réel ? Cette connotation m’intéresse car j’envisage mon processus de travail comme un jeu dans un cercle magique où les images sont passagères.
Enfin, la forme circulaire est une double allusion, à la fois aux boucles des fils que je tisse mais aussi aux boucles d’actions que je répète : dessiner, tricoter, imprimer, détricoter, tisser, et être à nouveau happée par le désir de recommencer. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault , Valentin Degnieau @val.dgn

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« Créatures ailées, sourires ambiguës, entités spectrales tiennent la ronde et viennent troubler notre vision. L’ensemble que je présente est pensé comme une série de visions fantasmagoriques. Des mots se distordent et résonnent, comme des échos. Ces présences sont estompées et semblent fugitives. Mais à bien y regarder, ne s’incarnent-elles pas dans les croisements du tissu ? Logées dans le tissage, à la fois prisonnières de ces nœuds et constituantes de ceux-ci.
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Tout au long de cette année, je détermine les règles d’un protocole d’apparition d’images qui repose sur la répétition d’un geste et la déconstruction d’une maitrise afin de voir naitre des figures animées d’un caractère mystérieux.
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Le terme « Cercle Magique » est issu d’une notion en sociologie des jeux, qui définit un espace se distinguant du réel, délimité par un ensemble de règles qui lui sont propres. En l’employant comme titre, je l’extrais de son contexte pour convoquer une image mentale de l’ordre du fantastique. Qu'est-ce que l’acte magique, sinon la production d’un effet étonnant qui semble défier les lois du réel ? Cette connotation m’intéresse car j’envisage mon processus de travail comme un jeu dans un cercle magique où les images sont passagères.
Enfin, la forme circulaire est une double allusion, à la fois aux boucles des fils que je tisse mais aussi aux boucles d’actions que je répète : dessiner, tricoter, imprimer, détricoter, tisser, et être à nouveau happée par le désir de recommencer. »
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« Cercle magique » de Lucie Lozano @c131o , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis
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« Créatures ailées, sourires ambiguës, entités spectrales tiennent la ronde et viennent troubler notre vision. L’ensemble que je présente est pensé comme une série de visions fantasmagoriques. Des mots se distordent et résonnent, comme des échos. Ces présences sont estompées et semblent fugitives. Mais à bien y regarder, ne s’incarnent-elles pas dans les croisements du tissu ? Logées dans le tissage, à la fois prisonnières de ces nœuds et constituantes de ceux-ci.
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Tout au long de cette année, je détermine les règles d’un protocole d’apparition d’images qui repose sur la répétition d’un geste et la déconstruction d’une maitrise afin de voir naitre des figures animées d’un caractère mystérieux.
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Le terme « Cercle Magique » est issu d’une notion en sociologie des jeux, qui définit un espace se distinguant du réel, délimité par un ensemble de règles qui lui sont propres. En l’employant comme titre, je l’extrais de son contexte pour convoquer une image mentale de l’ordre du fantastique. Qu'est-ce que l’acte magique, sinon la production d’un effet étonnant qui semble défier les lois du réel ? Cette connotation m’intéresse car j’envisage mon processus de travail comme un jeu dans un cercle magique où les images sont passagères.
Enfin, la forme circulaire est une double allusion, à la fois aux boucles des fils que je tisse mais aussi aux boucles d’actions que je répète : dessiner, tricoter, imprimer, détricoter, tisser, et être à nouveau happée par le désir de recommencer. »
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Enfin, la forme circulaire est une double allusion, à la fois aux boucles des fils que je tisse mais aussi aux boucles d’actions que je répète : dessiner, tricoter, imprimer, détricoter, tisser, et être à nouveau happée par le désir de recommencer. »
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🍃 [PARTENARIAT] [PEDAGOGIE] MyCoWorks : Design Objet expérimental et durable avec Reishi™
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Les étudiant.es en 2e année de Master du secteur design objet @designobjet_ecoleartsdeco ont exploré les possibilités créatives et écologiques du Reishi™, un matériau innovant, alternative végétale au cuir, développé par @mycoworks à partir de la technologie FineMycelium™. Objets décoratifs, mobilier ou encore luminaires : chacun des prototypes réalisés a permis de mettre en avant les propriétés uniques du Reishi™, repoussant les frontières du design durable.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault & Sarah Baumann @sbaumannn

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