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Symbiose

Le groupe « Symbiose matériaux complexes, humains et environnement » a pour vocation de proposer avec la recherche par le design des solutions aux problématiques contemporaines avec une visée sociétale et écologique (relationnelles, matérielles, technologiques, esthétiques, sociales) dans différents contextes : l’habitat, la santé et le bien-être, l’éducation, le travail, la mobilité.

21/012021

Présentation du groupe Symbiose, matériaux complexes humains et environnement – Patrick Renaud

Symbiose

Symbiose, matériaux complexes humains et environnement

Coordination : Patrick Renaud

 

Le groupe de recherche Symbiose a pour vocation de proposer des solutions aux problématiques contemporaines dans différents contextes : l’habitat, la santé et le bien-être, l’artisanat et l’industrie, l’éducation, le travail, la mobilité…

 La Recherche par le Design, en interaction avec la recherche par l’art, s’inscrit dans une démarche pluridisciplinaire, collaborative et évolutive. Elle s’affirme avec la volonté d’imaginer de nouveaux paradigmes en réactions aux différentes crises (écologiques, sanitaires, humanitaires, sociales et économiques). Elle conçoit des méthodologies hybrides et participatives, des outils spécifiques et transdisciplinaires pour optimiser les solutions à des problèmes complexes contemporains.

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Baudelet environnement - credit photo Sebastien GRAS.
21/012021

« Pour un design implémentable » Christophe GUERIN, Doctorant SACRe PSL – Symbiose –

Symbiose

« Pour un design implémentable » Christophe GUERIN, Doctorant SACRe PSL – Symbiose –
Direction de thèse : Emmanuel Mahé, Dominique Peysson, Patrick Renaud

 

Dans un contexte d’urgence climatique nous confrontant aux limites d’un monde fini, nos systèmes de production doivent être rénovés : le design implémentable, une recherche d’engendrement par la pratique du design favorisant l’émergence d’une économie circulaire et la mise en réseau d’agents (aussi bien acteurs qu’actants) nous propose des perspectives d’intérêt.

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21/012021

« Peaux Ethiques », Audrey Brugnoli, Doctorante SACRe PSL, – Symbiose –

Symbiose

« Peaux Ethiques », Audrey Brugnoli, Doctorante SACREe PSL, – Symbiose –
Direction de thèse : Emmanuel Mahé, Christine Bodemer, Patrick Renaud

En partenariat avec :
Ll’Institut Imagine – Institut des maladies génétiques
Hôpital Necker Enfants Malades
Centre de référence MAGEC
Laboratoire Carnot MICA

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21/012021

« Bricologies Symbiotiques », Natalia Baudoin, Doctorante SACRe PSL, – Soft Matters / Symbiose –

Soft Matters, Symbiose

« Bricologies Symbiotiques », Natalia Baudoin, Doctorante SACRe PSL, – Soft Matters / Symbiose –

Direction de thèse : Jean-François Bassereau, Patrick Renaud

Partenaires :
SIDI Solidarité Internationale pour le Développement et l’Investissement.

L’artisanat, pratique vernaculaire dans les pays du Sud Global, constitue un véritable patrimoine culturel, en lien avec les cosmologies des communautés rurales et pauvres. Une grande partie de ces artisans ne parvient pas à subvenir aux besoins de leur famille, favorisant la désappropriation culturelle.

Le savoir vernaculaire n’est pas une pratique marginale ni d’un point de vue social ni économique. Au contraire, il revêt un fort potentiel économique lorsqu’on le croise avec d’autres pratiques comme le design. Sa profonde relation avec la cosmologie est une source d’inspiration d’importance à condition de mettre sur le même pied d’égalité artisans, designers et ingénieurs.

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21/012021

« Tala Médical » Luc Perera, Doctorant SACRe PSL – Symbiose –

Symbiose

Tala Médical
Esthétique des sons carnatiques contemporains avec des dispositifs interactifs. Design sonore médical.
Luc Perera,  Doctorant SACRe PSL – Symbiose
Direction de thèse : Pierre Jouvelot, Patrick Renaud

Partenaires :
Hopital Paul Brousse
Mines Paris Tech PSL
Education nationale

 

Tala Box : dispositif mécatronique qui réagit aux rythmes carnatiques de la musique du Sud de l’Inde, son but étant de détendre des patients atteints de démence de type Alzheimer.

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2. PlantesHyperaccumulatrices
21/012021

« Blooming Ground », Anne Fischer, Prédoctorante, – Symbiose –

Symbiose

« Blooming Ground », Anne Fischer, Prédoctorante, – Symbiose –

Les activités industrielles aux conséquences néfastes au niveau environnemental, sanitaire et socio-économique, ont façonné certains territoires et nous renvoient une image négative de leur passé.

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21/012021

« Translating Bodies », Victoire Gonzalvez, Prédoctorante, – Symbiose –

Symbiose

« Translating Bodies », Victoire Gonzalvez, Prédoctorante, – Symbiose –

Les mécanismes de traduction appliqués à des matériaux synthétiques signifiant les qualités visuelles d’un autre matériau, constituent l’objet au travers duquel j’analyse les représentations standardisées d’aujourdui.

L’intuition quant au possible lien entre l’affaiblissement de la valorisation des matériaux dans notre environnement et les troubles neuro-déveleppomentaux croissants en Occident, est le point de départ de ce projet.

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portrait du lieu
21/012021

« JWA(arbre en bambara) », Lucile Cornet-Richard, Prédoctorante, – Symbiose –

Symbiose

« JWA(arbre en bambara) », Lucile Cornet-Richard, Prédoctorante, – Symbiose –

Projet de recherche-création (2021-transmission social et solidaire) :

Avec JWA, j’affirme ma volonté de construire un outil, celui de la démocratie de contexte : interaction actuelle des problématiques liées à l’exil, au climat, aux conflits sociaux. Le monde des adolescent.e.s est très vulnérable face aux bouleversements actuels. De fait, comment rendre le savoir partageable au-delà des écoles, sur l’ensemble du territoire ?

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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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2 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
3 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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6 jours ago
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✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR !
📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h
📍 @fondationpernodricard - entrée libre
.
🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs.
.
Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses.

🌈 Comité éditorial :
@lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr 
.
Direction de la publication : @emmanueltibloux 
.
Conception graphique : @twice_studio 
.
🌈 Contributions :
Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang.
.
Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement.
.
Au programme :
👁️ Présentation éditoriale et graphique
📖 Lecture
✍️ Signature
.
🌈 Mise en vente en avant-première du numéro
Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
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✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR ! 📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h 📍 @fondationpernodricard - entrée libre . 🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs. . Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses. 🌈 Comité éditorial : @lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr . Direction de la publication : @emmanueltibloux . Conception graphique : @twice_studio . 🌈 Contributions : Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang. . Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement. . Au programme : 👁️ Présentation éditoriale et graphique 📖 Lecture ✍️ Signature . 🌈 Mise en vente en avant-première du numéro Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
1 semaine ago
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4/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Ce manteau m’échappe.
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis . « Au fond de l’armoire, une bête chaude se lèche depuis des heures. Des poils tombent, des graines aussi. Certaines vibrent, se tordent on dirait des vers. À force de se replier, de s’étendre encore, il y a des fils partout. Et une odeur de graisse dans les narines. Je tends la main. Je frôle. Mais rien. . Ce manteau m’échappe. . Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir. Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable. Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire, mais on ne sait plus le reconnaître, à force de le raconter. . Il paraît qu’il est soyeux. Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans. Sa doublure est molle, humide, remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils. Il couve quelque chose d’obscur. . Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre, d’un temps à côté du temps, où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer. . Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace. Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
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🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
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12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
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🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
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Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
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4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
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Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
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5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
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🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
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💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
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Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
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12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
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🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
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Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
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4 décembre, 18h
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Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
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5 décembre, 8h30
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🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
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💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
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✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
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17 décembre, 11h
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12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
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🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
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Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
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4 décembre, 18h
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Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
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5 décembre, 8h30
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8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
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10 décembre, 10h
Entrée libre
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Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
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17 décembre, 11h
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
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2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
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4 décembre, 18h
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5 décembre, 8h30
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Entrée libre
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10 décembre, 18h30
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
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2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
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4 décembre, 18h
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
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2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
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4 décembre, 18h
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5 décembre, 8h30
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Entrée libre
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
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2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
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4 décembre, 18h
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Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues Dès le 4 décembre, + d’infos sur @designdesterritoires
📍 France
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5 décembre, 8h30
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8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
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📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
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Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco . Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions). Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible. Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires. . Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 semaines ago
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7/9
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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2 semaines ago
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8/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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2 semaines ago
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