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Vendredi 31 janvier (13h à 21h) et Samedi 1er février 2025 (10h à 20h)
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Soft Matters

Le groupe explore comment nouveaux matériaux et technologies peuvent contribuer au développement d’une culture plus résiliente en s’appuyant sur des méthodes de recherche par le design. A la croisée du textile, de l’architecture et du design, Soft Matters examine comment cette nouvelle matérialité du doux (textile, matériaux souples, technologies du numérique et du biologique etc.) influence la pratique du design et affecte notre quotidien. Pour ce faire, il place la conceptualisation et matérialisation d’artefacts au centre du processus de recherche. Le groupe privilégie le dialogue interdisciplinaire grâce à des collaborations science/design/ingénierie.

21/012021

Présentation du groupe de recherche Soft Matters – EnsadLab –

Soft Matters

SOFT MATTERS

Coordination : Aurélie Mossé et Jean-François Bassereau

Les travaux de recherche de ce groupe créé en 2015 par des enseignants du secteur Design textile et matière de l’école des arts déco, articulent étroitement matériaux et nouvelles technologies (aussi bien que celles et ceux oublié.es) pour contribuer à la création d’une culture plus résiliente.

L’expertise de Soft Matters se situe plus spécifiquement à la croisée du design textile, du design sensoriel et du design de matériaux mais intersecte fréquemment avec d’autres domaines tels que l’architecture, la mode, le design d’objet, et disciplines scientifiques comme les sciences des matériaux, le génie industriel ou la biologie. Soft Matters a notamment encadré la première thèse soutenue en France de recherche par la pratique en design vêtement (Jeanne Vicerial, 2019).

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PO 2021
21/012021

« Les gravats en héritage, matière d’une recherche par le design », Saint Pierre Anna, Doctorante SACRe PSL, CIFRE – SCAU (agence d’architecture et d’urbanisme)

Soft Matters

 «Les gravats en héritage, matière d’une recherche par le design»,
Anna Saint Pierre Doctorante SACRe PSL
CIFRE EnsadLAB – SCAU (agence d’architecture et d’urbanisme)

Groupe de recherche Soft Matters
Direction de thèse : Jean-François Bassereau, Aurélie Mossé

Lorsque, dans un projet architectural, certains matériaux sont jugés obsolètes, et de ce fait, sont destinés à la benne, je propose de les réintroduire in situ, sous une autre forme, en les adaptant aux usages, programmes et cahier des charges du nouveau projet.

La matière prélevée lors du chantier est transformée et intégrée au nouvel édifice sous forme de lests, d’agrégats, de pigments, qui détermineront la couleur, la forme, la matière, la consistance, la texture, la main et le poids des nouveaux matériaux.

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Protocole 3 - Tissage de brins de cheveux - Antonin Mongin copie
21/012021

« L’artisanat du cheveux », Antonin Mongin, doctorant SACRe PSL – Soft Matters –

Soft Matters

« L’artisanat du cheveux », Antonin Mongin, doctorant SACRe PSL – Soft Matters
Direction de thèse : Prof.Jean-François Bassereau, Dr. Aurélie Mosse

Ce projet de thèse intitulé « L’artisanat d’art du cheveu coupé, le cheveu comme matière première à création d’une recherche par la pratique du design » porte sur la renaissance d’une pratique artisanale éclipsée au début du XXe siècle « l’Art de travailler en cheveux », avec laquelle le cheveu coupé n’est plus considéré comme un déchet mais comme une matière première précieuse et singulière à haute valeur identitaire, symbolique et mémorielle, initiant et servant un projet de semi-produits et produits sur-mesure et individualisés.

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21/012021

« Bricologies Symbiotiques », Natalia Baudoin, Doctorante SACRe PSL, – Soft Matters / Symbiose –

Soft Matters, Symbiose

« Bricologies Symbiotiques », Natalia Baudoin, Doctorante SACRe PSL, – Soft Matters / Symbiose –

Direction de thèse : Jean-François Bassereau, Patrick Renaud

Partenaires :
SIDI Solidarité Internationale pour le Développement et l’Investissement.

L’artisanat, pratique vernaculaire dans les pays du Sud Global, constitue un véritable patrimoine culturel, en lien avec les cosmologies des communautés rurales et pauvres. Une grande partie de ces artisans ne parvient pas à subvenir aux besoins de leur famille, favorisant la désappropriation culturelle.

Le savoir vernaculaire n’est pas une pratique marginale ni d’un point de vue social ni économique. Au contraire, il revêt un fort potentiel économique lorsqu’on le croise avec d’autres pratiques comme le design. Sa profonde relation avec la cosmologie est une source d’inspiration d’importance à condition de mettre sur le même pied d’égalité artisans, designers et ingénieurs.

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louise
20/012021

« Matière hybride », Louise Malé-Mole, prédoctorante – Soft Matters –

Soft Matters

« Matière hybride » Louise Malé-Mole, prédoctorat – Soft Matters –

 

Dans le contexte contemporain où la conception de matériaux hautement optimisés et spécifiques est majoritairement menée par les disciplines des sciences de l’ingénieur ou encore de chimie des matériaux, les innovations matérielles sont orientées selon le prisme de la performance technique. Du point de vue du design, la question de l’enchevêtrement, de l’assimilation de différentes matières peut être abordée d’un point de vue plus sensible, plus explicite, et qui prend en compte l’évolution des usages, à travers une vision prospective d’intégration du futur de la matière dans sa composition.

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lou ramage
20/012021

« Persistance », Lou Ramage, prédoctorante – Soft Matters –

Soft Matters
 « Persistance », Lou Ramage, prédoctorat 

Dans un monde aujourd’hui caractérisé par la vitesse, le renouvellement et la précipitation, les matières qui façonnent notre environnement artificiel semblent produites non pas dans une perspective de durabilité, mais plutôt contre le temps.

Face à ce constat, Persistance, projet de recherche en design textile pour l’ameublement, aborde l’usure comme une méthode d’exploration pour la conception de matières évolutives. Pour ce faire, les couleurs obtenues grâce à l’utilisation de plantes tinctoriales et les textiles développés à partir de matières naturelles sont étudiés pour concevoir des surfaces qui se modifient au fil du temps d’usage.

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No Cuts No Seams_Juri-Apollo Drews_Predoc_SoftMatters - Copie
20/012021

« No Cuts No Seams », Juri-Apollo Drews, Prédoctorant – Soft Matters –

Soft Matters

No Cuts No Seams Juri-Apollo Drews Prédoctorant  – Soft Matters –

 

Aujourd’hui, 10 à 20 % du tissu destiné à l’habillement sont perdus lors de la découpe des patrons et un vêtement peut facilement voyager une fois autour de la planète pendant sa production. En revisitant les techniques ancestrales du tissage et du tricotage, No Cuts No Seams propose des vêtements entièrement confectionnés en volume sur un métier à tisser, ne nécessitant ni couture ni découpe et évitant ainsi toute production de chutes.

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Balenciaga
20/012021

« La restauration de la Mode au XXIème siècle, mise en lumière des collections de la maison Balenciaga » Stéphanie Ovide Doctorante SACRe, CIFRE Balanciaga – Soft Matters –

Soft Matters

La restauration de la Mode au XXIème siècle, histoire et amélioration des méthodes: Etudes et mise en lumière des collections de la maison Balenciaga

Stephanie Ovide, Doctorante SACRe PSL, financement CIFRE Balanciaga,
Direction de thèse : Jean-François Bassereau,  Aurélia Chevalier

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4DTM_ cardepar entete 2
19/012021

« CARDEPAR Papier plume, mousse de papier up cyclé », Jean-François Bassereau, Aurélie Mossé.

Soft Matters

« CARDEPAR » est un projet intriquant quatre grandes écoles appartenant à PSL, piloté par l’ENSADLAB, dans le cadre d’un programme transversal de vie du réseau.  L’innovation concerne la conception d’un matériau, responsable, sur mesure, ainsi que son procédé d’obtention en ressources locales à partir de papiers destinés à la poubelle. Ce nouveau matériau en mousse de papier recyclé se substitue à celle du carton plume.

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Contact : inscription.concours@ensad.fr

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[AFTER] [Diplôme Master 2024]
L’année scolaire s’achève à l’École des Arts Décoratifs – PSL. Bravo à toutes et tous les diplômé·es 2024 ! 👏
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✨ Vous pouvez désormais retrouver leurs projets en ligne et dans l’édition 2024 de la revue des diplômé·es AFTER, réalisée cette année par la collective Bye Bye Binary @bye.byebinary 
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BBB a conçu pour l’occasion une typographie inclusive inédite, redistribuée en open source.
Ce travail collectif, queer, camp et engagé, joue des couleurs, des ornements, du glanage et du mauvais goût pour mieux interroger les normes et les représentations.
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💡 AFTER reflète l’énergie de cette génération : une approche du design et de l’art ancrée dans la vie réelle, et portée par des engagements écologiques, queer et décoloniaux.
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📖 Tous les projets et les contacts des diplômé.es sont à découvrir dans le catalogue AFTER 2024 et sur le site de l’École (liens en bio).
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🎉 Place maintenant à la promo 2025 !
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Crédits : conception graphique @bye.byebinary représenté par Léna Salabert-Triby @lena_slbrt et Enza Le Garrec @enzanitaa
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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5 jours ago
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco . « Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) » . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
5 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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6 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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1 semaine ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
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Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
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2 semaines ago
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6/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
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« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
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« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
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« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
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7/9
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
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♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
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🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
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🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
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🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
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Du 22 mai au 6 juillet 
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Du 22 mai au 6 juillet
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Du 2 au 19 juillet
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
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Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco . « Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ? Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non. Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus. Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge … Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux. Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 semaines ago
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