JPO
Vendredi 30 janvier (13h à 21h) et Samedi 31 janvier 2026 (10h à 20h)
2026-01-30 09:00:00
Inscription visite Ecole
Téléchargements
  • Brochure de l’Ecole des Arts Décoratifs, Paris
  • Cartographie et schéma des études
  • Règlement Concours 1
  • Règlement commission d’entrée en cours de cursus
  • Accueil
  • Vidéos
    • Visitez l’Ecole et ses ateliers
  • FAQ
  • Accueil
  • Vidéos
    • Visitez l’Ecole et ses ateliers
  • FAQ
NewsNewsNews

Latest News

29/012021

Camille Zonca & Cyril Quenet, directeurs de création, directeurs associés de Label famille

Interview des diplômé.es

Réalisation : Noémie Vidé et Agathe Moretti, diplômées 2018, assistées de Emilia Labbé

 

En savoir plus
29/012021

Basile de Gaulle & Romée de la Bigne, designers et fondateurs de l’atelier Maximum, diplômés Design Graphique et Design Objet

Interview des diplômé.es
En savoir plus
29/012021

Mohamed Bourouissa, artiste, Diplômé Photo

Interview des diplômé.es
En savoir plus
29/012021

Marion Flament & Jimme Cloo, scénographes, fondateurs de Bigtime Studio, diplômés Scénographie

Interview des diplômé.es

l

Réalisation : Noémie Vidé et Agathe Moretti, diplômées 2018, assistées de Emilia Labbé

 

En savoir plus
29/012021

Nelson Pernisco, artiste et co-fondateur du Wonder, diplômé Art-Espace

Interview des diplômé.es
En savoir plus
29/012021

Nina Ballay, designer, studio Urquiol ( Milan), diplômée Design Textile et Matière

Interview des diplômé.es
En savoir plus
29/012021

Marie Larrivé, réalisatrice, diplômée en cinéma d’animation

Interview des diplômé.es
En savoir plus
28/012021

Marilou Poncin, artiste, diplômée Photo/Vidéo

Interview des diplômé.es
En savoir plus
28/012021

Elsa Aupetit et Martin Plagnol, designers graphiques et fondateurs de Studio Kiösk, diplômés Design graphique

Interview des diplômé.es
En savoir plus
28/012021

Jeanne Vicérial, designer et artiste, docteure SACRe-EnsadLab

Interview des diplômé.es
En savoir plus
Anciennes publications
Nouvelles publications
Liens
www.ensad.fr
Contact : inscription.concours@ensad.fr

CGU
Politique de confidentialité

l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL est un établissement public sous tutelle du Ministère de la Culture, et membre de l'Université PSL.

ENSADLAB LE LABORATOIRE DE RECHERCHE DE L’ÉCOLE
https://www.ensadlab.fr/
Instagram
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis . Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile. « Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole. Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit. . Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
1 jour ago
View on Instagram |
1/9
LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Matéo Picant Laurent @mateo.picant.laurent 
Diplômé en Design Vêtement (2023), Matéo Picant Laurent a rejoint la Couveuse PROMESSE pour structurer et affirmer son projet de bijoux hybrides, nourris par les savoir-faire de la plumasserie et de la joaillerie.
Au fil de l’accompagnement — mentoring, ateliers, rencontres professionnelles — Matéo a pu clarifier son identité créative, poser les bases d’un projet cohérent et développer une démarche singulière autour de la plume comme matériau précieux et modulable.
.
🎥 Dans ce portrait, il revient sur l’impact de la Couveuse dans la maturation de ses pièces et la consolidation de son approche technique et narrative qui l’a conduit à collaborer avec @laure_julien_ pour créer des coiffes en plumes visibles au défilé Dior Haute Couture 2025. 
La Couveuse a joué un rôle clé dans la mise en forme de son univers, lui offrant un espace pour penser sa trajectoire, affirmer sa vision du bijou contemporain et rencontrer les acteurs qui ont stimulé son développement.
 @mateo.picant.laurent

Un parcours qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE, programme d’accélération des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, conçu cette année en partenariat avec @Bildung.
•
Follow
LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Matéo Picant Laurent @mateo.picant.laurent Diplômé en Design Vêtement (2023), Matéo Picant Laurent a rejoint la Couveuse PROMESSE pour structurer et affirmer son projet de bijoux hybrides, nourris par les savoir-faire de la plumasserie et de la joaillerie. Au fil de l’accompagnement — mentoring, ateliers, rencontres professionnelles — Matéo a pu clarifier son identité créative, poser les bases d’un projet cohérent et développer une démarche singulière autour de la plume comme matériau précieux et modulable. . 🎥 Dans ce portrait, il revient sur l’impact de la Couveuse dans la maturation de ses pièces et la consolidation de son approche technique et narrative qui l’a conduit à collaborer avec @laure_julien_ pour créer des coiffes en plumes visibles au défilé Dior Haute Couture 2025. La Couveuse a joué un rôle clé dans la mise en forme de son univers, lui offrant un espace pour penser sa trajectoire, affirmer sa vision du bijou contemporain et rencontrer les acteurs qui ont stimulé son développement. @mateo.picant.laurent Un parcours qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE, programme d’accélération des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, conçu cette année en partenariat avec @Bildung.
2 jours ago
View on Instagram |
2/9
LA COUVEUSE PROMESSE
✨ L'accélérateur des talents créatifs émergents

Depuis 2022, la Couveuse de projets de l’École des Arts Décoratifs – PSL sélectionne et accompagne chaque année six artistes et designers nouvellement diplômé·es souhaitant penser, structurer et lancer leur projet — qu’il soit artistique, entrepreneurial ou hybride.
.
Depuis cette rentrée, le programme est conçu en partenariat avec Bildung @b_i_l_d_u_n_g , agence spécialisée dans l’accompagnement des talents créatifs. Entre suivi individuel, ateliers collectifs, rencontres professionnelles et ressources dédiées, la Couveuse offre un espace pour clarifier ses ambitions, affirmer son identité de projet et passer de l’idée à la réalisation.
.
📆Dans les jours à venir, découvrez les témoignages de quatre couvé·es des précédentes promotions : leurs parcours, leurs positionnements au sein des industries créatives et culturelles et leur manière d’envisager l’entrepreneuriat par les arts et le design. Une série de portraits qui révèle la diversité des trajectoires dont la Couveuse a permis l'émergence.
•
Follow
LA COUVEUSE PROMESSE ✨ L'accélérateur des talents créatifs émergents Depuis 2022, la Couveuse de projets de l’École des Arts Décoratifs – PSL sélectionne et accompagne chaque année six artistes et designers nouvellement diplômé·es souhaitant penser, structurer et lancer leur projet — qu’il soit artistique, entrepreneurial ou hybride. . Depuis cette rentrée, le programme est conçu en partenariat avec Bildung @b_i_l_d_u_n_g , agence spécialisée dans l’accompagnement des talents créatifs. Entre suivi individuel, ateliers collectifs, rencontres professionnelles et ressources dédiées, la Couveuse offre un espace pour clarifier ses ambitions, affirmer son identité de projet et passer de l’idée à la réalisation. . 📆Dans les jours à venir, découvrez les témoignages de quatre couvé·es des précédentes promotions : leurs parcours, leurs positionnements au sein des industries créatives et culturelles et leur manière d’envisager l’entrepreneuriat par les arts et le design. Une série de portraits qui révèle la diversité des trajectoires dont la Couveuse a permis l'émergence.
3 jours ago
View on Instagram |
3/9
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson . Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie. . La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible. Crédits photo : @beryl_libault . Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard . Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective. Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12) . Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson . Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie. . La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible. Crédits photo : @beryl_libault . Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard . Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective. Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12) . Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
•
Follow
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson . Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie. . La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible. Crédits photo : @beryl_libault . Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard . Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective. Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12) . Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
4 jours ago
View on Instagram |
4/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
5 jours ago
View on Instagram |
5/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis . Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes. L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière… Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement. Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer. . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
1 semaine ago
View on Instagram |
6/9
✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR !
📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h
📍 @fondationpernodricard - entrée libre
.
🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs.
.
Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses.

🌈 Comité éditorial :
@lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr 
.
Direction de la publication : @emmanueltibloux 
.
Conception graphique : @twice_studio 
.
🌈 Contributions :
Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang.
.
Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement.
.
Au programme :
👁️ Présentation éditoriale et graphique
📖 Lecture
✍️ Signature
.
🌈 Mise en vente en avant-première du numéro
Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
•
Follow
✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR ! 📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h 📍 @fondationpernodricard - entrée libre . 🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs. . Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses. 🌈 Comité éditorial : @lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr . Direction de la publication : @emmanueltibloux . Conception graphique : @twice_studio . 🌈 Contributions : Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang. . Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement. . Au programme : 👁️ Présentation éditoriale et graphique 📖 Lecture ✍️ Signature . 🌈 Mise en vente en avant-première du numéro Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
2 semaines ago
View on Instagram |
7/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis . « Au fond de l’armoire, une bête chaude se lèche depuis des heures. Des poils tombent, des graines aussi. Certaines vibrent, se tordent on dirait des vers. À force de se replier, de s’étendre encore, il y a des fils partout. Et une odeur de graisse dans les narines. Je tends la main. Je frôle. Mais rien. . Ce manteau m’échappe. . Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir. Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable. Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire, mais on ne sait plus le reconnaître, à force de le raconter. . Il paraît qu’il est soyeux. Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans. Sa doublure est molle, humide, remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils. Il couve quelque chose d’obscur. . Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre, d’un temps à côté du temps, où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer. . Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace. Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 semaines ago
View on Instagram |
8/9
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
•
Follow
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École : ☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe . 📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve . 🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues Dès le 4 décembre, + d’infos sur @designdesterritoires
📍 France
. 👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription 📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve . 🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
. 💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
. ✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID 12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
. Infos et liens dans la bio
2 semaines ago
View on Instagram |
9/9
Plus d'info
© EnsAD - Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs - 31 rue d'Ulm 75005 Paris