JPO
Vendredi 30 janvier (13h à 21h) et Samedi 31 janvier 2026 (10h à 20h)
2026-01-30 09:00:00
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MRC (Modules Recherche et Création)

MRC (Modules Recherche et Création)

Les MRC, proposées aux élèves en 3ème année, sont animés par des doctorant.e.s d’EnsadLab et favorisent l’articulation entre le cycle initial et la recherche.

mrc spatial media
21/012021

Module recherche et création – XR DESIGN LAB –

MRC (Modules Recherche et Création)

Encadré par 3 doctorants du groupe de recherche Spatial Media, ce Module Recherche et Création propose une série de séances sous forme de séminaires et workshops pour la co-création d’installations en Réalités Virtuelle, Augmentée et Mixte.

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Go for it JPO
19/012021

Module Création Recherche « Designing Symmetry : Design contre les inégalités »

MRC (Modules Recherche et Création)

Designing Symmetry : Design contre les inégalités

Module de recherche création collaboratif, interculturel et international. Les étudiants de l’ENSAD ont travaillé en équipes, à distance, avec des étudiants en design de l’Université Don Bosco de San Salvador pendant un semestre.

En travaillant avec et pour des communautés en situation de marge en France et au Salvador, les étudiants proposent des créations sensibles qui favorisent l’insertion, le vivre-ensemble et/ou la mise en place d’une économie solidaire ainsi que des solutions low-tech applicables à des contextes d’inégalités.  

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antoine
19/012021

Module de Recherche et Création – …animatum materiae flexibile…

MRC (Modules Recherche et Création)
Module de recherche et création autour de l’Impression 3D/4D
animatum materiae flexibile…
 

Proposé par Antoine Desjardins avec Giancarlo Rizza (LSI, École polytechnique / CEA/DRF/IRAMIS, CNRS / DISAT, Politecnico di Torino) et la participation de Benoît Roman (PMMH-ESPCI labo CNRS) et Brice Ammar-Khodja (Doctorant – EnsadLab, Concordia University)

Mots-clefs: Matériaux, environnement actif, 4d, modélisation et impression 3dPréambule:On nomme « impression 4d » une technologie qui utilise des matériaux avancés en capacité de répondre à l’influence de stimuli ou d’énergies externes pour programmer des actions sur l’objet imprimé en 3d. L’impression 4d consiste à inclure une modification de l’environnement, comme la lumière, la chaleur, l’électricité, le champ magnétique, l’humidité, pour remodeler ou reconfigurer l’objet après l’impression. Ce MRC de nature expérimentale visera à envisager des hypothèses de matériaux élémentaires ou issues de combinaisons matérielles développés en formes activables, imprimées en 3d ou construites.

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MRC-BehavioralObjects - 2020 VF
19/012021

Module de Recherche et Création – OBJETS À COMPORTEMENTS –

MRC (Modules Recherche et Création)

Proposé par le Groupe de Recherche Reflective interaction d’EnsadLab

Robotique modulaire, objets en réseau, IoT, expressivité du mouvement.

Objectifs :
Dans le cadre de ce Module de Recherche et Création, nous proposerons aux étudiants
d’explorer la notion d’objets à comportements, autant dans son ancrage historique et
théorique que par la pratique dans les champs de l’art et du design. Nous utiliserons un outil
de prototypage — le MisB KIT, un kit de robotique modulaire que nous avons développé pour créer et expérimenter des objets à comportements. L’utilisation de ce kit permettra aux étudiants de familiariser avec la robotique autour des notions d’interaction et
d’expressivité collective, tout en inscrivant cette réflexion au sein de leur propre démarche de création.

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En glissant, il se métamorphose
18/012021

« Module de recherche et de création – Les formes du web »

MRC (Modules Recherche et Création)

Les formes du web
Module de Recherche Création, EnsAD, 2020

 

Ce Module de Recherche Création propose d’investir le navigateur web comme portail de création à travers un atelier collectif. Nous utilisons le web au quotidien et dans la majorité des cas, cette utilisation se limite à être un environnement de consultation. Pourtant, il peut aussi être un outil de création d’objets graphiques et interactifs pour les designers et les artistes. En s’initiant à certains langages du web (HTML, CSS, JavaScript), il s’agit d’explorer les possibilités créatives du Web à travers des notions associées à la culture numérique : web responsive, liquidité numérique, fontes variables, scripts, animations interactives, design paramétrique.

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17/012021

« Interconnaissance(s) / interconnectedness » présentation du projet réalisé en partenariat avec l’EBE58, Péremy, Nièvre

MRC (Modules Recherche et Création)

L’EBE 58 (entreprise à but d’emploi) créée dans le cadre de l’expérimentation nationale « Territoire zéro chômeur de longue durée » est implantée dans la Nièvre sur un territoire rural très marqué où la population est vieillissante et de faible densité.

Ce Module de recherche a eu pour volonté de questionner les sources de co création au sein de l’entreprise. Du diagnostique à la mise en récit, le travail de recherche a été concrètement emprunt des enjeux de transition sociale écologique engagée par l’EBE 58.

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MRC interco Pauline Lucas , Eléa Godefroy , Théo 2
17/012021

Module Recherche et Création « Interconnaissance(s) / interconnectedness » Pauline Lucas, Eléa Godefroy, Théo Gabet

MRC (Modules Recherche et Création), Non classé

Projet en Partenaria avec L’EB58, Premery Nievre

Équipes : Ensad Pauline Lucas(AE) , Eléa Godefroy (PV) , Théo Gabet (II) et les salariées de l’EBE58, Jill Gourdet, Marie Pelegrin.

Dans le cadre du MRC Interconnaissances, nous avons travaillé sur le territoire, la mémoire et la mise en récit avec deux employées de l’EBE58, Marie et Jill, travaillant au département Livres et Collections.

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cartographie finale
17/012021

Module Recherche et Création « Interconnaissance(s) / interconnectedness » Margot Bonnafous, Adélia Bellier, Yoann Bry

MRC (Modules Recherche et Création)

Projet en Partenaria avec L’EB58, Premery Nievre

Équipes : Margot Bonnafous (S), Adélia Bellier(AI), Yoann Bry (DGMN) et les salariés de l’EBE58, Kevin Bailly et Romain Poiseaue.

Lors de nos différentes réunions, nous avons pu déterminer une cartographie du fonctionnement de l’EBE et du suivi d’un objet, de sa récupération à son réemploi.

À partir des nombreux échanges avec Kevin et Romain sont apparus divers problèmes liés au parcours de l’objet : En particulier, la non utilisation d’éléments jetés via un 1er tri et le manque d’un espace polyvalent qui serait dédié à la création/conception d’objets, de projets pour les salariés. Suite aux problématiques soulevées, nous nous sommes concentrés sur deux axes de réflexion : Trouver et créer un espace pour réunir les salariés.ées polyvalents.tes de L’EBE autour du design. Faire que cet atelier puisse servir au recyclage des matériaux jetés. 

Conçu à partir d’un « Algeco » recyclé et situé en périphérie des bâtiments de l’EBE58, cet espace est dédié à la conception puis à la réalisation d’objets à partir de matériaux recyclés ou de projet à l’initiative des salariés de l’EBE. Il pourrait également accueillir ponctuellement, des scolaire ou particuliers désireux d’échanger:d’apprendre des savoirs faire avec les salariés (voir projet Juliette Bibard et Anne Chapakovski ).

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17/012021

Module Recherche et Création « Interconnaissance(s) / interconnectedness » Juliette Bibard, Anne Chapakovski

MRC (Modules Recherche et Création)

Projet en Partenaria avec L’EB58, Premery Nievre

Équipes : Ensad, Juliette Bibard (DO), Anne Chapakovski (A) et les salariés de l’EBE58, Christophe Guyot, Thierry Sauvage.

« Deux employés de l’EBE ( Christophe et Thierry ) et deux étudiantes de l’Ensad ( Juliette et Anne ) se réunissent autour d’une même volonté  : comment transmettre à des enfants les valeurs de réemploi des matériaux ?

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17/012021

Module Recherche et Création « Interconnaissance(s) / interconnectedness » Alexandre Abitbol, Wilfried Becret, Raphael Roche

MRC (Modules Recherche et Création), Non classé

Projet en Partenaria avec L’EB58, Premery Nievre

Équipes : Alexandre Abitbol (AI), Wilfried Becret (DO), Raphael Roche (AI) et les salariés de l’EBE58, Alexy Guevel, Elisabeth Vincent, Elodie Cortes.

L’objectif de ce projet était de produire un partage de connaissances entre étudiants de l’ENSAD et membres de l’EBE 58 (Entreprise à But d’Emploi),

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Contact : inscription.concours@ensad.fr

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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture : Lauren Januhowski, ancienne résidente.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits photo : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à cinq mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
3 jours ago
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2/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
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6 jours ago
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✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR !
📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h
📍 @fondationpernodricard - entrée libre
.
🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs.
.
Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses.

🌈 Comité éditorial :
@lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr 
.
Direction de la publication : @emmanueltibloux 
.
Conception graphique : @twice_studio 
.
🌈 Contributions :
Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang.
.
Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement.
.
Au programme :
👁️ Présentation éditoriale et graphique
📖 Lecture
✍️ Signature
.
🌈 Mise en vente en avant-première du numéro
Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
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✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR ! 📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h 📍 @fondationpernodricard - entrée libre . 🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs. . Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses. 🌈 Comité éditorial : @lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr . Direction de la publication : @emmanueltibloux . Conception graphique : @twice_studio . 🌈 Contributions : Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang. . Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement. . Au programme : 👁️ Présentation éditoriale et graphique 📖 Lecture ✍️ Signature . 🌈 Mise en vente en avant-première du numéro Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
1 semaine ago
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4/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Ce manteau m’échappe.
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
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Des poils tombent, des graines aussi.
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À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
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.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis . « Au fond de l’armoire, une bête chaude se lèche depuis des heures. Des poils tombent, des graines aussi. Certaines vibrent, se tordent on dirait des vers. À force de se replier, de s’étendre encore, il y a des fils partout. Et une odeur de graisse dans les narines. Je tends la main. Je frôle. Mais rien. . Ce manteau m’échappe. . Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir. Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable. Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire, mais on ne sait plus le reconnaître, à force de le raconter. . Il paraît qu’il est soyeux. Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans. Sa doublure est molle, humide, remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils. Il couve quelque chose d’obscur. . Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre, d’un temps à côté du temps, où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer. . Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace. Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
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10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
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Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
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17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
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4 décembre, 18h
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Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
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5 décembre, 8h30
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8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
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10 décembre, 10h
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10 décembre, 18h30
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17 décembre, 11h
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
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4 décembre, 18h
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5 décembre, 8h30
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8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
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@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
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17 décembre, 11h
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12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
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10 décembre, 10h
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10 décembre, 18h30
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
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2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
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4 décembre, 18h
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10 décembre, 18h30
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17 décembre, 11h
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12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco . Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions). Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible. Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires. . Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 semaines ago
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7/9
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
.
Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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2 semaines ago
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8/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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