JPO
Vendredi 30 janvier (13h à 21h) et Samedi 31 janvier 2026 (10h à 20h)
2026-01-30 09:00:00
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MRC (Modules Recherche et Création)

MRC (Modules Recherche et Création)

Les MRC, proposées aux élèves en 3ème année, sont animés par des doctorant.e.s d’EnsadLab et favorisent l’articulation entre le cycle initial et la recherche.

mrc spatial media
21/012021

Module recherche et création – XR DESIGN LAB –

MRC (Modules Recherche et Création)

Encadré par 3 doctorants du groupe de recherche Spatial Media, ce Module Recherche et Création propose une série de séances sous forme de séminaires et workshops pour la co-création d’installations en Réalités Virtuelle, Augmentée et Mixte.

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Go for it JPO
19/012021

Module Création Recherche « Designing Symmetry : Design contre les inégalités »

MRC (Modules Recherche et Création)

Designing Symmetry : Design contre les inégalités

Module de recherche création collaboratif, interculturel et international. Les étudiants de l’ENSAD ont travaillé en équipes, à distance, avec des étudiants en design de l’Université Don Bosco de San Salvador pendant un semestre.

En travaillant avec et pour des communautés en situation de marge en France et au Salvador, les étudiants proposent des créations sensibles qui favorisent l’insertion, le vivre-ensemble et/ou la mise en place d’une économie solidaire ainsi que des solutions low-tech applicables à des contextes d’inégalités.  

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antoine
19/012021

Module de Recherche et Création – …animatum materiae flexibile…

MRC (Modules Recherche et Création)
Module de recherche et création autour de l’Impression 3D/4D
animatum materiae flexibile…
 

Proposé par Antoine Desjardins avec Giancarlo Rizza (LSI, École polytechnique / CEA/DRF/IRAMIS, CNRS / DISAT, Politecnico di Torino) et la participation de Benoît Roman (PMMH-ESPCI labo CNRS) et Brice Ammar-Khodja (Doctorant – EnsadLab, Concordia University)

Mots-clefs: Matériaux, environnement actif, 4d, modélisation et impression 3dPréambule:On nomme « impression 4d » une technologie qui utilise des matériaux avancés en capacité de répondre à l’influence de stimuli ou d’énergies externes pour programmer des actions sur l’objet imprimé en 3d. L’impression 4d consiste à inclure une modification de l’environnement, comme la lumière, la chaleur, l’électricité, le champ magnétique, l’humidité, pour remodeler ou reconfigurer l’objet après l’impression. Ce MRC de nature expérimentale visera à envisager des hypothèses de matériaux élémentaires ou issues de combinaisons matérielles développés en formes activables, imprimées en 3d ou construites.

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MRC-BehavioralObjects - 2020 VF
19/012021

Module de Recherche et Création – OBJETS À COMPORTEMENTS –

MRC (Modules Recherche et Création)

Proposé par le Groupe de Recherche Reflective interaction d’EnsadLab

Robotique modulaire, objets en réseau, IoT, expressivité du mouvement.

Objectifs :
Dans le cadre de ce Module de Recherche et Création, nous proposerons aux étudiants
d’explorer la notion d’objets à comportements, autant dans son ancrage historique et
théorique que par la pratique dans les champs de l’art et du design. Nous utiliserons un outil
de prototypage — le MisB KIT, un kit de robotique modulaire que nous avons développé pour créer et expérimenter des objets à comportements. L’utilisation de ce kit permettra aux étudiants de familiariser avec la robotique autour des notions d’interaction et
d’expressivité collective, tout en inscrivant cette réflexion au sein de leur propre démarche de création.

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En glissant, il se métamorphose
18/012021

« Module de recherche et de création – Les formes du web »

MRC (Modules Recherche et Création)

Les formes du web
Module de Recherche Création, EnsAD, 2020

 

Ce Module de Recherche Création propose d’investir le navigateur web comme portail de création à travers un atelier collectif. Nous utilisons le web au quotidien et dans la majorité des cas, cette utilisation se limite à être un environnement de consultation. Pourtant, il peut aussi être un outil de création d’objets graphiques et interactifs pour les designers et les artistes. En s’initiant à certains langages du web (HTML, CSS, JavaScript), il s’agit d’explorer les possibilités créatives du Web à travers des notions associées à la culture numérique : web responsive, liquidité numérique, fontes variables, scripts, animations interactives, design paramétrique.

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17/012021

« Interconnaissance(s) / interconnectedness » présentation du projet réalisé en partenariat avec l’EBE58, Péremy, Nièvre

MRC (Modules Recherche et Création)

L’EBE 58 (entreprise à but d’emploi) créée dans le cadre de l’expérimentation nationale « Territoire zéro chômeur de longue durée » est implantée dans la Nièvre sur un territoire rural très marqué où la population est vieillissante et de faible densité.

Ce Module de recherche a eu pour volonté de questionner les sources de co création au sein de l’entreprise. Du diagnostique à la mise en récit, le travail de recherche a été concrètement emprunt des enjeux de transition sociale écologique engagée par l’EBE 58.

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MRC interco Pauline Lucas , Eléa Godefroy , Théo 2
17/012021

Module Recherche et Création « Interconnaissance(s) / interconnectedness » Pauline Lucas, Eléa Godefroy, Théo Gabet

MRC (Modules Recherche et Création), Non classé

Projet en Partenaria avec L’EB58, Premery Nievre

Équipes : Ensad Pauline Lucas(AE) , Eléa Godefroy (PV) , Théo Gabet (II) et les salariées de l’EBE58, Jill Gourdet, Marie Pelegrin.

Dans le cadre du MRC Interconnaissances, nous avons travaillé sur le territoire, la mémoire et la mise en récit avec deux employées de l’EBE58, Marie et Jill, travaillant au département Livres et Collections.

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cartographie finale
17/012021

Module Recherche et Création « Interconnaissance(s) / interconnectedness » Margot Bonnafous, Adélia Bellier, Yoann Bry

MRC (Modules Recherche et Création)

Projet en Partenaria avec L’EB58, Premery Nievre

Équipes : Margot Bonnafous (S), Adélia Bellier(AI), Yoann Bry (DGMN) et les salariés de l’EBE58, Kevin Bailly et Romain Poiseaue.

Lors de nos différentes réunions, nous avons pu déterminer une cartographie du fonctionnement de l’EBE et du suivi d’un objet, de sa récupération à son réemploi.

À partir des nombreux échanges avec Kevin et Romain sont apparus divers problèmes liés au parcours de l’objet : En particulier, la non utilisation d’éléments jetés via un 1er tri et le manque d’un espace polyvalent qui serait dédié à la création/conception d’objets, de projets pour les salariés. Suite aux problématiques soulevées, nous nous sommes concentrés sur deux axes de réflexion : Trouver et créer un espace pour réunir les salariés.ées polyvalents.tes de L’EBE autour du design. Faire que cet atelier puisse servir au recyclage des matériaux jetés. 

Conçu à partir d’un « Algeco » recyclé et situé en périphérie des bâtiments de l’EBE58, cet espace est dédié à la conception puis à la réalisation d’objets à partir de matériaux recyclés ou de projet à l’initiative des salariés de l’EBE. Il pourrait également accueillir ponctuellement, des scolaire ou particuliers désireux d’échanger:d’apprendre des savoirs faire avec les salariés (voir projet Juliette Bibard et Anne Chapakovski ).

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17/012021

Module Recherche et Création « Interconnaissance(s) / interconnectedness » Juliette Bibard, Anne Chapakovski

MRC (Modules Recherche et Création)

Projet en Partenaria avec L’EB58, Premery Nievre

Équipes : Ensad, Juliette Bibard (DO), Anne Chapakovski (A) et les salariés de l’EBE58, Christophe Guyot, Thierry Sauvage.

« Deux employés de l’EBE ( Christophe et Thierry ) et deux étudiantes de l’Ensad ( Juliette et Anne ) se réunissent autour d’une même volonté  : comment transmettre à des enfants les valeurs de réemploi des matériaux ?

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17/012021

Module Recherche et Création « Interconnaissance(s) / interconnectedness » Alexandre Abitbol, Wilfried Becret, Raphael Roche

MRC (Modules Recherche et Création), Non classé

Projet en Partenaria avec L’EB58, Premery Nievre

Équipes : Alexandre Abitbol (AI), Wilfried Becret (DO), Raphael Roche (AI) et les salariés de l’EBE58, Alexy Guevel, Elisabeth Vincent, Elodie Cortes.

L’objectif de ce projet était de produire un partage de connaissances entre étudiants de l’ENSAD et membres de l’EBE 58 (Entreprise à But d’Emploi),

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Contact : inscription.concours@ensad.fr

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✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR !
📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h
📍 @fondationpernodricard - entrée libre
.
🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs.
.
Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses.

🌈 Comité éditorial :
@lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr 
.
Direction de la publication : @emmanueltibloux 
.
Conception graphique : @twice_studio 
.
🌈 Contributions :
Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang.
.
Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement.
.
Au programme :
👁️ Présentation éditoriale et graphique
📖 Lecture
✍️ Signature
.
🌈 Mise en vente en avant-première du numéro
Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
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✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR ! 📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h 📍 @fondationpernodricard - entrée libre . 🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs. . Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses. 🌈 Comité éditorial : @lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr . Direction de la publication : @emmanueltibloux . Conception graphique : @twice_studio . 🌈 Contributions : Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang. . Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement. . Au programme : 👁️ Présentation éditoriale et graphique 📖 Lecture ✍️ Signature . 🌈 Mise en vente en avant-première du numéro Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
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Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Ce manteau m’échappe.
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
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Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Ce manteau m’échappe.
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
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Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
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Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
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Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
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À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
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Ce manteau m’échappe.
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Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
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Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
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Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
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Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
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Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis . « Au fond de l’armoire, une bête chaude se lèche depuis des heures. Des poils tombent, des graines aussi. Certaines vibrent, se tordent on dirait des vers. À force de se replier, de s’étendre encore, il y a des fils partout. Et une odeur de graisse dans les narines. Je tends la main. Je frôle. Mais rien. . Ce manteau m’échappe. . Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir. Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable. Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire, mais on ne sait plus le reconnaître, à force de le raconter. . Il paraît qu’il est soyeux. Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans. Sa doublure est molle, humide, remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils. Il couve quelque chose d’obscur. . Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre, d’un temps à côté du temps, où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer. . Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace. Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
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📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
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🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
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👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
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🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
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💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
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✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
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🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
Sur réservation 
📍 Les Plateaux Sauvages, Paris XXe & Théâtre de la Cité internationale, Paris XIVe
.
Infos et liens dans la bio
📆 DÉCEMBRE– Programmation culturelle de l’École :
☁️ Rencontres des Savoir-faire avec le @campusartdesign
Novembre 2025 - Juin 2026
Ce mois-ci à 18h30 : 
2 déc. À table, tout est art ! — Vin de Champagne d’art et de fête
9 déc. La matière mise à nu  — Recycler, réemployer, transformer
Sur inscription
📍 Campus Momad, Paris XIIIe
.
📖 Exposition Material Acts : Rencontre avec Jia Yi Gu & Aurélie Mossé
4 décembre, 18h
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
.
🌄 Design des Territoires – Restitutions de mi-parcours
Le programme dévoile les premières observations, expérimentations des nouvelles recrues
Dès le 4 décembre, + d’infos sur  @designdesterritoires
📍 France
.
👁️Journée d’étude « Ce que les féminismes font à l’histoire de l’art »
5 décembre, 8h30
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs, Paris Ve
.
🩸EnsadLab : Soutenance de thèse
8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
Sur inscription
📍 Institut Imagine, Paris XVe
.
💻Conférence l’Entour : Thomas Hirschhorn — Exposer à l’ère du numérique
@l_entour_org
10 décembre, 10h
Entrée libre
📍 Beaux-Arts de Paris, Paris Vie
.
✨Revue Décor Nuances : Soirée de lancement
Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
Entrée libre
📍 Fondation d’entreprise Pernod Ricard, Paris VIIIe
.
🧪 Exposition Incidences: Voyager en terrains inhabituels
Expo éphémère du master @enamoma_paris @mines_paris
17 décembre, 11h
Sur inscription
📍 Mines Paris – PSL, Paris XIIe
.
✏️ Conférence du NID
12 déc, 15h : Ugo Gattoni — Les richesses du dessin
17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
Sur inscription
📍 École des Arts Décoratifs - PSL, Paris Ve
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🎭 Cartes blanches ESAD × Secteur Scéno
2 spectacles nés d’une collaboration entre l’ESAD et @sceno_ecoleartsdecoparis 
16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
18, 19 décembre, 19h30 : Dissection d’une chute de neige
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8 déc. à 15h Peaux Éthiques par @audreybrugnoli @ensadlab
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Ce cinquième numéro, Nuances, célèbre la couleur comme vecteur sensible, critique et engagé. La @fondationpernodricard accueillera la soirée
10 décembre, 18h30
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17 décembre, 11h
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17 déc, 17h : Jérôme Zonder — Les recyclages du dessin
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16, 17 décembre, 19h30 : Les Phaunes
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5 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
Les déchets de verre sont collectés auprès d’un réseau local de restaurants partenaires.
.
Projet réalisé en partenariat avec l’École du verre de Paris, des artisanes verrières et des restaurants de proximité.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Plein Verre » de Laëticia Meca @laetitiameca , diplômée en Design Objet @designobjet_ecoleartsdeco 
.
Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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Ce projet d’étude explore les techniques de travail du verre à plat, appliquées au verre de consommation. Cette ressource est utilisée comme matière première dans la création d’objets domestiques et d’une gamme de panneaux de verre architecturaux. Plein Verre mène une recherche expérimentale sur les procédés industriels et artisanaux verriers. Chaque objet est assemblé à la main : cette fabrication semi-artisanale permet une composition sur mesure (choix du motif, nuancier et dimensions).
Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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Les déchets de consommation constituent aujourd’hui des gisements de matière conséquents. Dans le cas des déchets verriers, leur réutilisation est garantie par le recyclage : selon l’Ademe, 88% étaient recyclés en France en 2022. Bouteilles, pots et bocaux alimentaires sont collectés après utilisation, puis transformés au cours d’un processus énergivore en nouveaux contenants. Ces objets sont peu réemployés en l’état, malgré leur robustesse appréciée. Plein Verre propose la transformation de ces rebuts par un procédé répétable et accessible.
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7 jours ago
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[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
.
Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
Le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, est soutenu par la maison @hermes
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
Comment déployer des outils graphiques capables de faire percevoir ses dimensions historiques, géographiques, sociales, esthétiques, mais aussi faunistiques ou invisibles ?
Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
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Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Autant de pistes pour imaginer, à partir du Jardin des Tuileries, une production graphique attentive aux formes visibles et invisibles qui habitent un paysage.
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[Le NID] Workshop Image Imprimée “Iconographie d’un lieu” @madparis 
Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Comment rendre compte de ce qui constitue un lieu ?
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Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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Avec l’artiste invitée Isabelle Daëron @isabelledaeron  et les étudiant·es de M1 en Image Imprimée, encadré·es par Loren Capelli @lorencapelli 
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Ce workshop du NID, chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, explore la manière dont le dessin peut révéler vents, courants et flux qui traversent un site. En écho aux recherches d’Isabelle Daëron — qui s’intéresse à l’univers souterrain des nappes phréatiques et à la matérialisation sensible des phénomènes aquatiques — les étudiant·es ont engagé une investigation topographique inspirée de cette « ligne mutante » évoquée par Deleuze et Guattari.
En introduction, une immersion dans la collection Maciet du Musée des Arts Décoratifs @madparis : un moment pour questionner l’iconographie, la collecte d’images, et les façons de représenter un lieu dans toute sa complexité.
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1 semaine ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « En Héritage » de Xavier Lamarre-Kokou diplômé en Design Vêtement  @vetement_ecoleartsdecoparis 
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
Ce qui subsiste n’est pas seulement ce qui fut transmis, mais ce que l’on choisit de transformer.
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À partir d’un sac hérité, cette collection explore l’objet comme trace d’une absence. Le cuir, plié, creusé, devient réceptacle de mémoire. Le sac cesse d’être fonctionnel pour devenir relique, talisman, archive d’un lien disparu.
Présentées dans un vaisselier domestique, meuble de l’intime détourné en espace d’exposition, les pièces révèlent une tension entre souvenir privé et regard public.
La matière parle du deuil sans le figer, elle garde sans enfermer. À travers le pli, le volume et le vide, le travail interroge la manière dont on hérite non d’un bien, mais d’un manque, et comment ce manque peut devenir forme.
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2 semaines ago
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6/9
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau  @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation 
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros.
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Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale.
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Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer.
Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli  est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste.
Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales.
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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur la résidence de Valentin Degnieau @val.dgn en Irlande, en partenariat avec la Fondation Josef et Anni Albers @albers_foundation . Depuis 2023, l’École des Arts Décoratifs et la Fondation Josef et Anni Albers s’associent pour offrir à un·e diplômé·e une résidence de trois mois au Sénégal, aux États-Unis ou en Irlande, accompagnée d’une bourse de vie de 2 000 euros. . Diplômé en 2024 du secteur Photo / Vidéo, Valentin Degnieau consacre sa résidence en Irlande, de septembre à novembre 2025, à un travail mené sur la côte de Carraig-na-gCat. Situé à West Cork, dans une ancienne maison familiale surplombant l’océan et les îles lointaines, l’artiste y dispose d’un atelier en pierre et d’un environnement propice au travail, sans connexion Internet mais nourri par la convivialité locale. . Son projet prend la forme d’une recherche visuelle réalisée à l’aide de dispositifs de sténopés conçus pour l’occasion avec des artisans locaux et des pêcheurs. Une large part de son travail repose sur la photographie en noir et blanc, développée sur place, afin d’explorer la matérialité des éléments et l’interaction du vent, de l’érosion et du littoral avec le paysage maritime. Cette démarche s’ancre dans un lien étroit avec celles et ceux qui vivent et travaillent au bord de la mer. Une collaboration avec le designer graphique Timothée Casilli @timothee.casilli est envisagée, dans la continuité de leur travail commun sur l’édition Survol, pour articuler image et graphisme dans une forme sensible et lisible. Le dialogue, l’échange et la circulation des regards restent au cœur de la pratique de l’artiste. Cette résidence permet à Valentin Degnieau de constituer un corpus d’images qui sera ensuite développé et transformé dans son atelier pour donner lieu à différentes formes finales. . Crédits photos : Valentin Degnieau @val.dgn
2 semaines ago
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7/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ourobore » de Romane Guet-Frapard @romaneguetfrapard , diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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Le projet « Ourobore » consiste à tisser des pièces uniques à partir de fibres de chanvre, de lin et de laine. Chaque tissu raconte une histoire de transformation. L’objectif est de rendre visibles et lisibles l’origine de chaque fibre, ses caractéristiques propres, ses métamorphoses – du végétal ou de l’animal à la fibre, puis au fil jusqu’au tissu… ou parfois en remontant le fil.
Ce projet invite à reconsidérer ces fibres ancestrales, à en percevoir la richesse sensible et expressive et, plus largement, à redécouvrir le potentiel créatif qu’offrent les matières locales et naturelles. Il résulte en des pièces artistiques qui n’ont pas vocation à connaître une application.
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2 semaines ago
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8/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « SALAM 3LA DAR » de Amir Berny @epherium_ , diplômé en Design Textile et Matière  @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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L’artiste est un enfant de la diaspora marocaine. Ses deux parents sont originaires du Maroc. L’artiste a grandi à Angers, dans le quartier populaire La Roseraie, entre pelouses tondues et barres d’immeubles, entre la maison et le quartier. Là-dedans, il y avait un mélange constant : l’arabe et le français, les couscous du dimanche en regardant Walker Texas Rangers, la boucherie et les épiceries du coin, les tapis au mur et les fonds d’écran Windows XP dans les cybercafés. C’est dans cet entre-deux que l’artiste a appris à regarder, à faire attention aux objets, aux matières, aux gestes du quotidien. L’intégralité de son travail part de ce point-là, de cette double appartenance qu’on ne choisit pas, mais qu’on porte, qui façonne notre manière d’habiter le monde.
Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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Le titre du Grand Projet, « Salam 3la dar », veut dire « Bonjour à la maison » en darija. Ce n’est pas juste une formule, c’est une adresse. Une manière de saluer ce qui constitue encore l’artiste : la maison, les souvenirs, les choses qu’on emporte avec soi même quand on change de lieu, de langue ou de paysage. La maison dont je parle n’a pas toujours des murs, mais elle a des textures. C’est une maison textile, affective, bricolée, parfois numérique. Ce projet est un va-et-vient entre plusieurs mondes : entre la France et le Maghreb, entre le souvenir et la réinvention, entre l’enfance et ce qu’il en reste. Ce n’est pas une réponse qui est proposée, mais un endroit où entrer, un espace où l’on peut se projeter, reconnaître quelque chose, ou juste rester un moment.
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