JPO
Vendredi 30 janvier (13h à 21h) et Samedi 31 janvier 2026 (10h à 20h)
2026-01-30 09:00:00
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28/012021

Pluridisciplinarité et profils complémentaires

EnaMoMa - Master Mode & Matière

Le Master Mode et Matière présente des profils différents capable de s’unir autour de projets :

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28/012021

Workshop « Recherche par la pratique » avec Jeanne Vicérial

EnaMoMa - Master Mode & Matière

Pour ce workshop nous avons rencontré Jeanne Vicerial, designer textile/vêtements, co-fondatrice du studio de design recherche et innovation Clinique Vestimentaire. Doctorante aux Arts Décoratifs de Paris, Jeanne propose une thèse qui questionne les moyens de conceptions vestimentaires contemporains par le textile. Elle est partie du constat qu’aujourd’hui, nous connaissons principalement deux techniques de création et de réalisation de vêtements : le prêt-à-porter, l’individu doit appartenir à une taille et s’y adapter, alors que dans le sur-mesure, c’est le vêtement qui s’adapte à la personne.

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burningworld
28/012021

Workshop « Panique »

Chaire "La jeune création et le sacré"

« Panique » animé par Alice Brygo, Artiste, diplômée en Photo/vidéo de l’Ecole des Arts Décoratifs, propose un partage de récits d’expérience et d’idées autour de la « panique » afin de questionner collectivement l’émotion comme expérience du sacré. Une invitation à extraire de ses archives personnelles et à mettre en commun des éléments (vidéo, son et texte) entretenant un lien plus ou moins ténu à la question de la panique, appelant à la création de nouvelles formes vidéos

Du 23 au 27 novembre 2020, dans le cadre de la PSL Week, moment propice au décloisonnement par une inscription libre aux workshops, toutes écoles participantes confondues. Des étudiants de l’université Paris-Dauphine et des Mines Paris ont ainsi pu prendre part à ce module, aux côtés de ceux de l’Ecole des Arts Décoratifs.

  • Morgane Goulain, Adrien Bocquet, Laeticia Furno – « Le syndrome de la grenouille »

Le syndrome de la grenouille

  • Léa Prunier, Valentin Morel, Lucas – « Burning World »

Burning World

  • Eva Decorps, Valentin Grand D’esnon, Juncen Ye – « Plongeur »

Plongeur

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Carte temporaire de rêves
28/012021

Workshop « Speak&Spell : laboratoire vocal et linguistique »

Chaire "La jeune création et le sacré"

« Speak&Spell : laboratoire vocal et linguistique » animé par Meris Angioletti, artiste et chercheuse APESA, Paris I – Panthéon-Sorbonne (sélectionnée pour le Prix Ricard 2020/2021) proposait une exploration du rapport entre corps, langage et vibration à travers l’action de conter/raconter des histoires. Une tentative de replacer la pensée et le discours dans le corps, lieux de transmission d’un savoir émotionnel, somatique, oraculaire, à travers une mise en vibration du langage qui en déploie les qualités incantatoires et magiques.

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Capture
28/012021

Workshop « Remote viewing »

Chaire "La jeune création et le sacré"

« Remote viewing » animé par Simon Ripoll-Hurier, artiste, est l’occasion d’expérimenter collectivement les potentialités – surnaturelles ou non – du remote viewing à travers sa pratique directe. Au cœur de la Silicon Valley des années 1970, la CIA mandate un groupe de scientifiques et de médiums pour former un programme de recherche dans le domaine de la parapsychologie, dans l’espoir de devancer les Russes sur le terrain des psychic weapons. Quelques années plus tard, ce programme donne naissance au « Remote Viewing ».

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28/012021

La bibliothèque

Non classé bibliotheque, ensad
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27/012021

Art-Espace : découvrez un ‘best of’ en 15 minutes

Art-Espace
Ce secteur forme des plasticien.ne.s spécialisés dans le domaine du volume et de l’espace, sollicité.e.s par les métiers de l’exposition, de l’espace urbain ainsi que par la production et de la diffusion culturelle.
Transversal, l’enseignement du secteur Art-Espace s’appuie sur tous les savoir-faire de la création contemporaine, en symbiose avec les différents secteurs de l’école.
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SUIS·VIE 2
27/012021

« Chaines solidaires », projet « SUIS -VIE », partenariat Croix Rouge française

Design objet

Comment faire vivre les informations liées à l’histoire de vie des résidents en EHPAD et en structure d’accueil ?

Le projet propose d’insérer de nouveaux acteurs bénévoles sur le terrain et d’accompagner le métier des professionnels intervenant dans les structures d’accueil. Leur mission est de réanimer le parcours de l’information liée à l’histoire de vie en réactivant des moyens mis en place comme le projet personnalisé qui manque aujourd’hui d’être suffisamment intégré au quotidien des personnes accompagnées. A leur disposition, un site de ressources et de formation et une application permettent à cette nouvelle mission bénévole d’oeuvrer à plus de personnalisation dans la prise en charge.

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27/012021

AIR-BED – Studio

Design objet Studio
Poster Callie CharlierPoster Callie Charlier
Poster Bamboo PaulPoster Bamboo Paul
Poster Ayad Abou SamraPoster Ayad Abou Samra
Poster Charlotte ThouveninPoster Charlotte Thouvenin

Here are texts that explain the research of Callie Charlier, Paul Gauthier, Ayad Abou-Samra and Charlotte Thouvenin in the Air-Bed workshop led by Marc Thebault and Mathew Staunton.

Air-Bed = Atelier d’Initiation à la Recherche – Bambou pour un Environnement Durable.

 

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27/012021

Les étudiants de design objet, troisième année, travaillent chaque année avec une manufacture française sous la direction d’un designer(e)  professionnel(le) : personnalité extérieure occupant une place significative sur la scène contemporaine. Il est choisi par l’équipe pédagogique pour sa complémentarité avec l’équipe pédagogique de l’année.

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LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Claire Buet
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@clairebuet , diplômée en Design Objet (2023), a fait partie de la promotion 2024 de la Couveuse, au sein du module porté par la Chaire Écodesign & Création, en partenariat avec DECATHLON. Elle y a développé son projet d'objets poétiques inspirés par la cueillette de fleurs, et revient aujourd’hui sur son parcours et l’impact de l’accompagnement.
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🎥 Dans cette vidéo, Claire partage ce que la Couveuse lui a apporté : un cadre pour structurer son projet, affiner sa démarche écoresponsable, passant par une production locale, et donner corps à un univers sensible.
Au fil du mentoring, des ateliers et des rencontres professionnelles, la Couveuse a accompagné la maturation de sa pratique et l’affirmation d’une écriture singulière, attentive aux valeurs d'attention, de soin et de contemplation.
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Un témoignage qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE : soutenir et accélérer les projets des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, en leur offrant un espace pour penser leur trajectoire et déployer leur vision.
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LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Claire Buet . @clairebuet , diplômée en Design Objet (2023), a fait partie de la promotion 2024 de la Couveuse, au sein du module porté par la Chaire Écodesign & Création, en partenariat avec DECATHLON. Elle y a développé son projet d'objets poétiques inspirés par la cueillette de fleurs, et revient aujourd’hui sur son parcours et l’impact de l’accompagnement. . 🎥 Dans cette vidéo, Claire partage ce que la Couveuse lui a apporté : un cadre pour structurer son projet, affiner sa démarche écoresponsable, passant par une production locale, et donner corps à un univers sensible. Au fil du mentoring, des ateliers et des rencontres professionnelles, la Couveuse a accompagné la maturation de sa pratique et l’affirmation d’une écriture singulière, attentive aux valeurs d'attention, de soin et de contemplation. . Un témoignage qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE : soutenir et accélérer les projets des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, en leur offrant un espace pour penser leur trajectoire et déployer leur vision.
19 heures ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
@dubuslola ( Lola Dubus ) 
@penelopeavril ( Pénélope Avril ) 
@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
@thibautjouy ( Thibaut Jouy ) 
cheh_rif ( Yassine Cherif ) 
@obataille12 ( Olivier Bataille ) 
Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
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@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
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Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
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« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
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2 jours ago
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LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Matéo Picant Laurent @mateo.picant.laurent 
Diplômé en Design Vêtement (2023), Matéo Picant Laurent a rejoint la Couveuse PROMESSE pour structurer et affirmer son projet de bijoux hybrides, nourris par les savoir-faire de la plumasserie et de la joaillerie.
Au fil de l’accompagnement — mentoring, ateliers, rencontres professionnelles — Matéo a pu clarifier son identité créative, poser les bases d’un projet cohérent et développer une démarche singulière autour de la plume comme matériau précieux et modulable.
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🎥 Dans ce portrait, il revient sur l’impact de la Couveuse dans la maturation de ses pièces et la consolidation de son approche technique et narrative qui l’a conduit à collaborer avec @laure_julien_ pour créer des coiffes en plumes visibles au défilé Dior Haute Couture 2025. 
La Couveuse a joué un rôle clé dans la mise en forme de son univers, lui offrant un espace pour penser sa trajectoire, affirmer sa vision du bijou contemporain et rencontrer les acteurs qui ont stimulé son développement.
 @mateo.picant.laurent

Un parcours qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE, programme d’accélération des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, conçu cette année en partenariat avec @Bildung.
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Prises de vues réalisées durant une collaboration avec Marine Billet @incarnem
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LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Matéo Picant Laurent @mateo.picant.laurent Diplômé en Design Vêtement (2023), Matéo Picant Laurent a rejoint la Couveuse PROMESSE pour structurer et affirmer son projet de bijoux hybrides, nourris par les savoir-faire de la plumasserie et de la joaillerie. Au fil de l’accompagnement — mentoring, ateliers, rencontres professionnelles — Matéo a pu clarifier son identité créative, poser les bases d’un projet cohérent et développer une démarche singulière autour de la plume comme matériau précieux et modulable. . 🎥 Dans ce portrait, il revient sur l’impact de la Couveuse dans la maturation de ses pièces et la consolidation de son approche technique et narrative qui l’a conduit à collaborer avec @laure_julien_ pour créer des coiffes en plumes visibles au défilé Dior Haute Couture 2025. La Couveuse a joué un rôle clé dans la mise en forme de son univers, lui offrant un espace pour penser sa trajectoire, affirmer sa vision du bijou contemporain et rencontrer les acteurs qui ont stimulé son développement. @mateo.picant.laurent Un parcours qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE, programme d’accélération des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, conçu cette année en partenariat avec @Bildung. . Prises de vues réalisées durant une collaboration avec Marine Billet @incarnem
3 jours ago
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LA COUVEUSE PROMESSE
✨ L'accélérateur des talents créatifs émergents

Depuis 2022, la Couveuse de projets de l’École des Arts Décoratifs – PSL sélectionne et accompagne chaque année six artistes et designers nouvellement diplômé·es souhaitant penser, structurer et lancer leur projet — qu’il soit artistique, entrepreneurial ou hybride.
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Depuis cette rentrée, le programme est conçu en partenariat avec Bildung @b_i_l_d_u_n_g , agence spécialisée dans l’accompagnement des talents créatifs. Entre suivi individuel, ateliers collectifs, rencontres professionnelles et ressources dédiées, la Couveuse offre un espace pour clarifier ses ambitions, affirmer son identité de projet et passer de l’idée à la réalisation.
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📆Dans les jours à venir, découvrez les témoignages de quatre couvé·es des précédentes promotions : leurs parcours, leurs positionnements au sein des industries créatives et culturelles et leur manière d’envisager l’entrepreneuriat par les arts et le design. Une série de portraits qui révèle la diversité des trajectoires dont la Couveuse a permis l'émergence.
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LA COUVEUSE PROMESSE ✨ L'accélérateur des talents créatifs émergents Depuis 2022, la Couveuse de projets de l’École des Arts Décoratifs – PSL sélectionne et accompagne chaque année six artistes et designers nouvellement diplômé·es souhaitant penser, structurer et lancer leur projet — qu’il soit artistique, entrepreneurial ou hybride. . Depuis cette rentrée, le programme est conçu en partenariat avec Bildung @b_i_l_d_u_n_g , agence spécialisée dans l’accompagnement des talents créatifs. Entre suivi individuel, ateliers collectifs, rencontres professionnelles et ressources dédiées, la Couveuse offre un espace pour clarifier ses ambitions, affirmer son identité de projet et passer de l’idée à la réalisation. . 📆Dans les jours à venir, découvrez les témoignages de quatre couvé·es des précédentes promotions : leurs parcours, leurs positionnements au sein des industries créatives et culturelles et leur manière d’envisager l’entrepreneuriat par les arts et le design. Une série de portraits qui révèle la diversité des trajectoires dont la Couveuse a permis l'émergence.
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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson . Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie. . La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible. Crédits photo : @beryl_libault . Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard . Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective. Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12) . Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson . Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie. . La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible. Crédits photo : @beryl_libault . Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard . Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective. Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12) . Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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5 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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1 semaine ago
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7/9
✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR !
📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h
📍 @fondationpernodricard - entrée libre
.
🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs.
.
Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses.

🌈 Comité éditorial :
@lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr 
.
Direction de la publication : @emmanueltibloux 
.
Conception graphique : @twice_studio 
.
🌈 Contributions :
Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang.
.
Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement.
.
Au programme :
👁️ Présentation éditoriale et graphique
📖 Lecture
✍️ Signature
.
🌈 Mise en vente en avant-première du numéro
Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
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✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR ! 📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h 📍 @fondationpernodricard - entrée libre . 🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs. . Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses. 🌈 Comité éditorial : @lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr . Direction de la publication : @emmanueltibloux . Conception graphique : @twice_studio . 🌈 Contributions : Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang. . Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement. . Au programme : 👁️ Présentation éditoriale et graphique 📖 Lecture ✍️ Signature . 🌈 Mise en vente en avant-première du numéro Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
2 semaines ago
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8/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis 
.
« Au fond de l’armoire,
une bête chaude se lèche depuis des heures.
Des poils tombent, des graines aussi.
Certaines vibrent, se tordent
on dirait des vers.
À force de se replier, de s’étendre encore,
il y a des fils partout.
Et une odeur de graisse dans les narines.
Je tends la main. Je frôle.
Mais rien.
.
Ce manteau m’échappe.
.
Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir.
Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. 
Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable.
Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire,
mais on ne sait plus le reconnaître, 
à force de le raconter.
.
Il paraît qu’il est soyeux.
Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans.
Sa doublure est molle, humide,
remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils.
Il couve quelque chose d’obscur.
.
Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre,
d’un temps à côté du temps,
où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer.
.
Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, 
où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace.
Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Breitschwanz » de Léna MANNS @lenamanns_ , diplômée en Design Vêtement @vetement_ecoleartsdecoparis . « Au fond de l’armoire, une bête chaude se lèche depuis des heures. Des poils tombent, des graines aussi. Certaines vibrent, se tordent on dirait des vers. À force de se replier, de s’étendre encore, il y a des fils partout. Et une odeur de graisse dans les narines. Je tends la main. Je frôle. Mais rien. . Ce manteau m’échappe. . Le Breitschwanz. Le Fuchs. Le grand manteau du soir. Ma grand-mère l’appelle comme ça sans pouvoir expliquer pourquoi. Je ne l’ai jamais vu. Il est introuvable. Perdu ? Ou alors là, juste là, dans un coin d’armoire, mais on ne sait plus le reconnaître, à force de le raconter. . Il paraît qu’il est soyeux. Froid quand on l’enfile, puis on sue dedans. Sa doublure est molle, humide, remplie de couches de soie, de toile, de mousse, de poils. Il couve quelque chose d’obscur. . Il est le mirage d’une fourrure sans cadavre, d’un temps à côté du temps, où enfiler la peau de l’autre n’implique pas de le tuer. . Les pièces de cette collection sont des morceaux de ce fantasme, où se murmure gaiement un rêve absurde et tenace. Celui d’un breitschwanz naît d’une graine, d’un peu de bave et de deux bretelles. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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