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Vendredi 31 janvier (13h à 21h) et Samedi 1er février 2025 (10h à 20h)
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All posts by Martine

28/012021

Présentation de la recherche

Présentation de l'Ecole
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27/012021

Coordination : Agathe Chiron et Jean-Sébastien Lagrange

 

Créée à l’initiative du Cnous et de l’Ecole des Arts Décoratifs en 2019, la chaire a pour objet d’étude la mutation des vies étudiantes dans son habitat et plus particulièrement dans ses lieux dédiés : logement, espaces communs et privatifs, lieux de restauration. La Chaire a pour ambition de répondre aux enjeux de cette transformation et d’anticiper les évolutions futures. L’enjeu d’un tel programme se révèle crucial dans un contexte inédit où les questions relatives à l’habitabilité́, l’hospitalité́ et le soin sont au cœur des débats.

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26/012021

« la nuit des idées 2021- Reprise de vues »

Chaire Arts & Sciences

Nuit des idées « Proches : relier les imaginaires » | 28 janvier 2021 | 19h – 23h50 (UTC + 1)
En ces temps marqués par le confinement, comment rester proches malgré la distance ? Pour la 6e édition de la #Nuitdesidées, la Chaire arts & sciences s’associe au Musée des arts et métiers, en lien avec le Museo Nazionale della Scienza e della Tecnologia de Milan, le Centre Pompidou, le réseau Hexagram et le Milieux Institute de Concordia University (Montréal) pour une soirée en ligne originale, avec deux rencontres internationales inédites présentant les coulisses d’inventions révolutionnaires et de créations prospectives.

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26/012021

« Exoplanète Terre »

Chaire Arts & Sciences

Réseau arts & sciences en Île-de-France, co-fondé par la Chaire, avec des institutions culturelles et universitaires réunies pour “envisager la Terre comme une planète à découvrir” autour de pratiques de recherche-création.
Membres : Biennale des Arts numériques Nemo, la Chaire arts & sciences, la Diagonale de l’université Paris-Saclay, le Collectif Culture 91 en Essone (Festival “La Science de l’Art”), le Domaine départemental de Chamarande, la Scène de recherche de l’Ens Paris-Saclay, Siana, Makery et le réseau TRAs.

Lancement officiel le 22 mars 2019 à l’EnsAD avec la performance « Exoterritoires » de la Cie Clair-Obscur

 

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26/012021

« Useful Fictions »

Chaire Arts & Sciences

Atelier d’été arts-design-sciences | 09-13.09.2019 | École polytechnique
Premier atelier d’été arts – design – sciences autour de questions écologiques, organisé par la Chaire arts & sciences en partenariat avec UC Davis, impliquant une vingtaine d’étudiants internationaux, avec 5 workshops pluridisciplinaires (dont 2 conçus par le groupe Reflective Interaction d’EnsadLab).

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26/012021

« Nuit des idées 2020 »

Chaire Arts & Sciences

Nuit des idées 2020 “Être vivant : devenir machinique ?” : une soirée co-programmée par la Chaire arts & sciences – EnsadLab et le Musée des arts et métiers, pour explorer notre interdépendance aux technologies et aux innovations en cours, sur un plan scientifique et technique mais aussi sociétal et artistique, avec des rencontres transdisciplinaires réunissant une trentaine d’intervenants et une dizaine de propositions artistiques – dont six conçues par EnsadLab (Reflective interaction et Spatial Media), afin d’expérimenter notre “devenir machinique”.

Un événement organisé dans le cadre de la 5ème édition de la Nuit des Idées de l’Institut français, avec le soutien de la Fondation Daniel et Nina Carasso

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tate2
25/012021

Présentation du groupe Spatial Media – François Garnier

Spatial Media

Spatial Media

Coordination : François Garnier

 

Le groupe de recherche Spatial Media explore les nouvelles formes de médiations liées à l’usage d’espaces numériques : Mondes Virtuels, Réalité Virtuelle, Réalité Augmentée, Réalité Mixte. L’objectif est d’identifier ces pratiques, d’en comprendre les phénoménologies, d’expérimenter des usages, et d’étudier les implications esthétiques et sociologiques de ce nouveau support artistique.

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22/012021

« Interaction gestuelle et interfaces improvisantes », Loup Vuarnesson, Doctorant SACRe PSL, – Spatial Media –

Spatial Media

« Interaction gestuelle et interfaces improvisantes », Loup Vuarnesson, Doctorant SACRe PSL, – Spatial Media –

Direction de thèse : Emmanuel Mahé, François Garnier
CIFRE EnsadLab/Emotic

 

La récente popularisation des interfaces de médiations spatiales, telles que les casques de réalité mixte, les interfaces vocales ou de capture de mouvements, offre aujourd’hui aux designers un tout nouveau champ d’expression et d’organisation de l’information.
Il nous est possible de concevoir des expériences numériques qui occupent l’espace et avec lesquelles on interagit naturellement, avec le corps, le regard, ou la voix.

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PO 2021
21/012021

« Les gravats en héritage, matière d’une recherche par le design », Saint Pierre Anna, Doctorante SACRe PSL, CIFRE – SCAU (agence d’architecture et d’urbanisme)

Soft Matters

 «Les gravats en héritage, matière d’une recherche par le design»,
Anna Saint Pierre Doctorante SACRe PSL
CIFRE EnsadLAB – SCAU (agence d’architecture et d’urbanisme)

Groupe de recherche Soft Matters
Direction de thèse : Jean-François Bassereau, Aurélie Mossé

Lorsque, dans un projet architectural, certains matériaux sont jugés obsolètes, et de ce fait, sont destinés à la benne, je propose de les réintroduire in situ, sous une autre forme, en les adaptant aux usages, programmes et cahier des charges du nouveau projet.

La matière prélevée lors du chantier est transformée et intégrée au nouvel édifice sous forme de lests, d’agrégats, de pigments, qui détermineront la couleur, la forme, la matière, la consistance, la texture, la main et le poids des nouveaux matériaux.

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21/012021

Présentation du groupe Symbiose, matériaux complexes humains et environnement – Patrick Renaud

Symbiose

Symbiose, matériaux complexes humains et environnement

Coordination : Patrick Renaud

 

Le groupe de recherche Symbiose a pour vocation de proposer des solutions aux problématiques contemporaines dans différents contextes : l’habitat, la santé et le bien-être, l’artisanat et l’industrie, l’éducation, le travail, la mobilité…

 La Recherche par le Design, en interaction avec la recherche par l’art, s’inscrit dans une démarche pluridisciplinaire, collaborative et évolutive. Elle s’affirme avec la volonté d’imaginer de nouveaux paradigmes en réactions aux différentes crises (écologiques, sanitaires, humanitaires, sociales et économiques). Elle conçoit des méthodologies hybrides et participatives, des outils spécifiques et transdisciplinaires pour optimiser les solutions à des problèmes complexes contemporains.

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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
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Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
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6 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
.
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« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
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« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
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1 semaine ago
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4/9
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
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♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
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🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
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🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
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🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
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Du 22 mai au 6 juillet 
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Du 22 mai au 6 juillet
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Du 2 au 19 juillet
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
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Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco . « Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ? Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non. Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus. Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge … Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux. Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 semaines ago
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6/9
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
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Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
.
Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
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Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

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Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
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Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
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Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
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Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

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Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
[Événement] [Partenariat]🍃 Retour en images sur " We Love Chill" : structures éphémères, écoconception et transmission à We Love Green @welovegreen .
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Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
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Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Encadrement : Patrick Laffont de Lojo, Pierre Marquis, en partenariat étroit avec les équipes techniques de We Love Green et Olga Declouds aux côtés d’Aurélie Mathigot.
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Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

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Ce travail a été soutenu par le Ministère de la Culture dans le cadre de ses actions pour la transition écologique dans l’enseignement supérieur artistique.
Merci à : Marie Sabot et les équipes de We Love Green, Christopher Miles, Paul Richter.

Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
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Pour la 3e année consécutive, l’École des Arts Décoratifs – PSL s’associe au festival  afin d'engager concrètement les jeunes générations de créateur.ices et designers dans le renouvellement des formes et imaginaires de la scénographie écoresponsable. Avec ce festival pionner, l'enjeu posé est pour les étudiant · es de développer un projet à l’échelle 1, avec des méthodes d’écoconception et de fabrication réalisée au format de chantier participatif.
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Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

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Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

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Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Ainsi, ils ont conçu « Arco Leonardo » et « Tipi », des installations monumentales accompagnées d’assises qui deviennent des lieux de repos et détente, pendant toute la durée du festival. Les projets sont construits à partir de matériaux de récupération et répondent aux besoins et pratiques des festivaliers, s'ancrant ainsi dans les valeurs écologiques partagées par l'École des Arts Décoratifs-PSL et We Love Green.
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Emmanuel Tibloux @emmanueltibloux, directeur de l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL a pris part au think tank du festival en partenariat avec le Ministère de la culture et la DGCA à travers la table-ronde " Design et création : les grandes tendances à venir " en dialogue avec @JoachimRoncin , modérée par Delphine Fournier, Déléguée aux arts visuels

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Crédits photos : Béryl Libault et Vassili Feo
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2 semaines ago
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7/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
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« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
.
Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
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« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
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Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
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« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
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Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
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« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
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Crédits photos : Charlotte Genser  @charlotte.gnsr
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco
.
« Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » 
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Screenshot » de Charlotte Genser @charlotte.gnsr diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco . « Pourquoi les gens se représentent-ils ainsi ? Je collectionne les photos, les miennes et celles des inconnus des réseaux sociaux. Je m’intéresse aux personnes qui existent derrière l’écran et que l’on rencontre par images interposées. Je me fais influencer. Quand je peins, je veux devenir les modèles. Pas être à leur image mais me sentir comme eux, agir comme eux. Vivre leur vie. J’aime que mes tableaux ne soient pas fragiles, ça change mon rapport à mes images en tant qu’objets. Je traîne mes tableaux partout. Je n’ai pas peur de les abîmer. C’est même l’inverse, j’adore l’idée qu’ils puissent être marqués par le temps. Un peu comme des corps. Mon corps me sert pour créer mes images. Je peins avec toujours plus d’outils. Je travaille de plus en plus grand, ça me permet d’être plus à l’aise. C’est aussi le seul moyen que j’ai trouvé de me calmer. » . Crédits photos : Charlotte Genser @charlotte.gnsr
2 semaines ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tables de multiplication » de Raphael Journaux @raphaeljournaux , diplômé en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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« Quand vient le moment de choisir un sujet pour cette année, je me dis que je dois aimer les tables pour en avoir fabriqué trois, je me mets alors en tête d'en fabriquer une quatrième au terme de ces deux semestres. Mais rapidement, je me heurte à une réalité pratique : il y a déjà beaucoup de tables autour de moi. De surcroît, la table parfaite existe déjà, elle a au moins un pied et un plateau horizontal. L'impression que tout existe et qu'il n'y a rien à créer me tétanise. Je me pose alors cette question comment dessiner, créer une nouvelle table ? Dès lors, je me lance dans une itération sans fin, prenant la forme d'une recherche création, me guidant peu à peu vers l'absurde quitte à en devenir zinzin. En partant d'un simple objet au premier abord j'explore plusieurs champs réflexifs comme le design d'objet, le design d'espace, la sociologie, l'environnement, jusqu’à disséquer ma propre méthodologie de travail. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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