JPO
Vendredi 31 janvier (13h à 21h) et Samedi 1er février 2025 (10h à 20h)
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28/012021

Pluridisciplinarité et profils complémentaires

EnaMoMa - Master Mode & Matière

Le Master Mode et Matière présente des profils différents capable de s’unir autour de projets :

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28/012021

Workshop « Recherche par la pratique » avec Jeanne Vicérial

EnaMoMa - Master Mode & Matière

Pour ce workshop nous avons rencontré Jeanne Vicerial, designer textile/vêtements, co-fondatrice du studio de design recherche et innovation Clinique Vestimentaire. Doctorante aux Arts Décoratifs de Paris, Jeanne propose une thèse qui questionne les moyens de conceptions vestimentaires contemporains par le textile. Elle est partie du constat qu’aujourd’hui, nous connaissons principalement deux techniques de création et de réalisation de vêtements : le prêt-à-porter, l’individu doit appartenir à une taille et s’y adapter, alors que dans le sur-mesure, c’est le vêtement qui s’adapte à la personne.

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burningworld
28/012021

Workshop « Panique »

Chaire "La jeune création et le sacré"

« Panique » animé par Alice Brygo, Artiste, diplômée en Photo/vidéo de l’Ecole des Arts Décoratifs, propose un partage de récits d’expérience et d’idées autour de la « panique » afin de questionner collectivement l’émotion comme expérience du sacré. Une invitation à extraire de ses archives personnelles et à mettre en commun des éléments (vidéo, son et texte) entretenant un lien plus ou moins ténu à la question de la panique, appelant à la création de nouvelles formes vidéos

Du 23 au 27 novembre 2020, dans le cadre de la PSL Week, moment propice au décloisonnement par une inscription libre aux workshops, toutes écoles participantes confondues. Des étudiants de l’université Paris-Dauphine et des Mines Paris ont ainsi pu prendre part à ce module, aux côtés de ceux de l’Ecole des Arts Décoratifs.

  • Morgane Goulain, Adrien Bocquet, Laeticia Furno – « Le syndrome de la grenouille »

Le syndrome de la grenouille

  • Léa Prunier, Valentin Morel, Lucas – « Burning World »

Burning World

  • Eva Decorps, Valentin Grand D’esnon, Juncen Ye – « Plongeur »

Plongeur

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Carte temporaire de rêves
28/012021

Workshop « Speak&Spell : laboratoire vocal et linguistique »

Chaire "La jeune création et le sacré"

« Speak&Spell : laboratoire vocal et linguistique » animé par Meris Angioletti, artiste et chercheuse APESA, Paris I – Panthéon-Sorbonne (sélectionnée pour le Prix Ricard 2020/2021) proposait une exploration du rapport entre corps, langage et vibration à travers l’action de conter/raconter des histoires. Une tentative de replacer la pensée et le discours dans le corps, lieux de transmission d’un savoir émotionnel, somatique, oraculaire, à travers une mise en vibration du langage qui en déploie les qualités incantatoires et magiques.

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Capture
28/012021

Workshop « Remote viewing »

Chaire "La jeune création et le sacré"

« Remote viewing » animé par Simon Ripoll-Hurier, artiste, est l’occasion d’expérimenter collectivement les potentialités – surnaturelles ou non – du remote viewing à travers sa pratique directe. Au cœur de la Silicon Valley des années 1970, la CIA mandate un groupe de scientifiques et de médiums pour former un programme de recherche dans le domaine de la parapsychologie, dans l’espoir de devancer les Russes sur le terrain des psychic weapons. Quelques années plus tard, ce programme donne naissance au « Remote Viewing ».

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28/012021

La bibliothèque

Non classé bibliotheque, ensad
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27/012021

Art-Espace : découvrez un ‘best of’ en 15 minutes

Art-Espace
Ce secteur forme des plasticien.ne.s spécialisés dans le domaine du volume et de l’espace, sollicité.e.s par les métiers de l’exposition, de l’espace urbain ainsi que par la production et de la diffusion culturelle.
Transversal, l’enseignement du secteur Art-Espace s’appuie sur tous les savoir-faire de la création contemporaine, en symbiose avec les différents secteurs de l’école.
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SUIS·VIE 2
27/012021

« Chaines solidaires », projet « SUIS -VIE », partenariat Croix Rouge française

Design objet

Comment faire vivre les informations liées à l’histoire de vie des résidents en EHPAD et en structure d’accueil ?

Le projet propose d’insérer de nouveaux acteurs bénévoles sur le terrain et d’accompagner le métier des professionnels intervenant dans les structures d’accueil. Leur mission est de réanimer le parcours de l’information liée à l’histoire de vie en réactivant des moyens mis en place comme le projet personnalisé qui manque aujourd’hui d’être suffisamment intégré au quotidien des personnes accompagnées. A leur disposition, un site de ressources et de formation et une application permettent à cette nouvelle mission bénévole d’oeuvrer à plus de personnalisation dans la prise en charge.

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27/012021

AIR-BED – Studio

Design objet Studio
Poster Callie CharlierPoster Callie Charlier
Poster Bamboo PaulPoster Bamboo Paul
Poster Ayad Abou SamraPoster Ayad Abou Samra
Poster Charlotte ThouveninPoster Charlotte Thouvenin

Here are texts that explain the research of Callie Charlier, Paul Gauthier, Ayad Abou-Samra and Charlotte Thouvenin in the Air-Bed workshop led by Marc Thebault and Mathew Staunton.

Air-Bed = Atelier d’Initiation à la Recherche – Bambou pour un Environnement Durable.

 

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27/012021

Les étudiants de design objet, troisième année, travaillent chaque année avec une manufacture française sous la direction d’un designer(e)  professionnel(le) : personnalité extérieure occupant une place significative sur la scène contemporaine. Il est choisi par l’équipe pédagogique pour sa complémentarité avec l’équipe pédagogique de l’année.

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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Herbier radicant » de Haokun An @haokun.an , diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
. 
« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
. 
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Herbier radicant » de Haokun An @haokun.an , diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Herbier radicant » de Haokun An @haokun.an , diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Herbier radicant » de Haokun An @haokun.an , diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Herbier radicant » de Haokun An @haokun.an , diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol.
 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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 À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » 
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Herbier radicant » de Haokun An @haokun.an , diplômé en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco . « « Herbier radicant » propose une relecture sensible du monde végétal en rendant visibles les racines — organes souterrains souvent oubliés des herbiers traditionnels. Leur absence dans l’histoire de l’image botanique n’est pas seulement matérielle : elle traduit un imaginaire qui valorise ce qui croît vers la lumière, au détriment de ce qui s’enfonce dans l’ombre. Invisibilisées pour des raisons à la fois techniques et esthétiques, les racines incarnent pourtant une mémoire vivante : elles enregistrent, ressentent, interagissent. Inspiré par les écrits de Tim Ingold et d’Emanuele Coccia, ce projet explore les racines comme des lignes vivantes, des écritures silencieuses dans la matière du sol. À travers des expérimentations éditoriales et graphiques — cyanotypes, time-lapse de graines d’orge, flipbook —, ce travail propose une forme de traduction visuelle de la dynamique souterraine. En parallèle, une enquête iconographique sur l’histoire de l’oubli des racines dans les herbiers botaniques vient prolonger la réflexion. Comment dessiner ce qui pousse dans l’ombre ? Comment redonner une voix à ce qui vit sous nos pieds ? Ce projet interroge notre rapport à ce qui est enfoui, en critiquant les imaginaires fragmentaires qui valorisent l’aérien. Il tente d’ouvrir un espace de lecture du vivant souterrain, où la page devient un sol sensible, et les lignes-racines, une écriture silencieuse. Une tentative de rétablir la strate oubliée comme lieu d’inscription du vivant. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « L'antithèse sur ma terre : entre la guerre, la paix et ceux qui en sont les témoins » de Ayad Abou Samra @ayadasamra , diplômé en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis
. 
« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
. 
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « L'antithèse sur ma terre : entre la guerre, la paix et ceux qui en sont les témoins » de Ayad Abou Samra @ayadasamra , diplômé en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis
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« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « L'antithèse sur ma terre : entre la guerre, la paix et ceux qui en sont les témoins » de Ayad Abou Samra @ayadasamra , diplômé en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis
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« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
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« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « L'antithèse sur ma terre : entre la guerre, la paix et ceux qui en sont les témoins » de Ayad Abou Samra @ayadasamra , diplômé en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis
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« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « L'antithèse sur ma terre : entre la guerre, la paix et ceux qui en sont les témoins » de Ayad Abou Samra @ayadasamra , diplômé en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis
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« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « L'antithèse sur ma terre : entre la guerre, la paix et ceux qui en sont les témoins » de Ayad Abou Samra @ayadasamra , diplômé en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis
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« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « L'antithèse sur ma terre : entre la guerre, la paix et ceux qui en sont les témoins » de Ayad Abou Samra @ayadasamra , diplômé en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis
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« Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « L'antithèse sur ma terre : entre la guerre, la paix et ceux qui en sont les témoins » de Ayad Abou Samra @ayadasamra , diplômé en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . « Ce projet explore le rôle de l’architecte-artiste en temps de guerre, entre témoignage, documentation et reconstruction. À partir de la ruine de l’aéroport de Gaza, il interroge la capacité de l’architecture à porter mémoire et espoir. Inspiré par les travaux de Lebbeus Woods, Forensic Architecture et Susan Sontag, le projet articule scénarios prospectifs, recherches de terrain à distance, et maquettes en béton comme archives sensibles. Il propose une réponse architecturale minimale, basée sur le réemploi des gravats, l’agriculture émergente et une trame spatiale libre. Entre belvédère et mirador, chaque structure incarne une ambiguïté politique. Cette démarche critique envisage l’architecture comme acte de résistance face à l’effacement, et comme langage au service de la mémoire, de la résilience et des communautés.» . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
4 jours ago
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2/9
[AFTER] [Diplome Master 2024] « Apollo In My Dream Last Night» de Lalla Nomoko @lallanmk , diplômée en Design Vêtement et Accessoire @vetement_ecoleartsdecoparis 
. 
« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault  et Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER] [Diplome Master 2024] « Apollo In My Dream Last Night» de Lalla Nomoko @lallanmk , diplômée en Design Vêtement et Accessoire @vetement_ecoleartsdecoparis 
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault  et Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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« Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) »
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[AFTER] [Diplome Master 2024] « Apollo In My Dream Last Night» de Lalla Nomoko @lallanmk , diplômée en Design Vêtement et Accessoire @vetement_ecoleartsdecoparis . « Les histoires et souvenirs qui ont pris place dans l’enfance et adolescence de mes parents viennent d’un temps que je connais peu. Ils ne parlent pas aisément de leur passé. Ces souvenirs antérieurs deviennent alors des choses très précieuses à mes yeux car entendre mes parents les conter est rare. Cela se fait toujours de manière spontanée et c’est ce qui rend ces moments d’autant plus insaisissables. Les entendre me fait sentir que je peux entrevoir un moment que je ne peux atteindre physiquement (...) » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault et Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
5 jours ago
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3/9
[AFTER] [Diplôme Master 2024]
L’année scolaire s’achève à l’École des Arts Décoratifs – PSL. Bravo à toutes et tous les diplômé·es 2024 ! 👏
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✨ Vous pouvez désormais retrouver leurs projets en ligne et dans l’édition 2024 de la revue des diplômé·es AFTER, réalisée cette année par la collective Bye Bye Binary @bye.byebinary 
.
BBB a conçu pour l’occasion une typographie inclusive inédite, redistribuée en open source.
Ce travail collectif, queer, camp et engagé, joue des couleurs, des ornements, du glanage et du mauvais goût pour mieux interroger les normes et les représentations.
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💡 AFTER reflète l’énergie de cette génération : une approche du design et de l’art ancrée dans la vie réelle, et portée par des engagements écologiques, queer et décoloniaux.
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📖 Tous les projets et les contacts des diplômé.es sont à découvrir dans le catalogue AFTER 2024 et sur le site de l’École (liens en bio).
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🎉 Place maintenant à la promo 2025 !
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Crédits : conception graphique @bye.byebinary représenté par Léna Salabert-Triby @lena_slbrt et Enza Le Garrec @enzanitaa
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[AFTER] [Diplôme Master 2024] L’année scolaire s’achève à l’École des Arts Décoratifs – PSL. Bravo à toutes et tous les diplômé·es 2024 ! 👏 . ✨ Vous pouvez désormais retrouver leurs projets en ligne et dans l’édition 2024 de la revue des diplômé·es AFTER, réalisée cette année par la collective Bye Bye Binary @bye.byebinary . BBB a conçu pour l’occasion une typographie inclusive inédite, redistribuée en open source. Ce travail collectif, queer, camp et engagé, joue des couleurs, des ornements, du glanage et du mauvais goût pour mieux interroger les normes et les représentations. . 💡 AFTER reflète l’énergie de cette génération : une approche du design et de l’art ancrée dans la vie réelle, et portée par des engagements écologiques, queer et décoloniaux. . 📖 Tous les projets et les contacts des diplômé.es sont à découvrir dans le catalogue AFTER 2024 et sur le site de l’École (liens en bio). . 🎉 Place maintenant à la promo 2025 ! . Crédits : conception graphique @bye.byebinary représenté par Léna Salabert-Triby @lena_slbrt et Enza Le Garrec @enzanitaa
1 semaine ago
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4/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco . « Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) » . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
1 semaine ago
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6/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis . « À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 semaines ago
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7/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @leoniemylinh @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @leoniemylinh @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @leoniemylinh @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @leoniemylinh @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @leoniemylinh @designgraphique_ecoleartsdeco 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @leoniemylinh @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @leoniemylinh @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @leoniemylinh @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @leoniemylinh @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @leoniemylinh @designgraphique_ecoleartsdeco . « La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
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