JPO
Vendredi 30 janvier (13h à 21h) et Samedi 31 janvier 2026 (10h à 20h)
2026-01-30 09:00:00
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21/012021

« Bricologies Symbiotiques », Natalia Baudoin, Doctorante SACRe PSL, – Soft Matters / Symbiose –

Soft Matters, Symbiose

« Bricologies Symbiotiques », Natalia Baudoin, Doctorante SACRe PSL, – Soft Matters / Symbiose –

Direction de thèse : Jean-François Bassereau, Patrick Renaud

Partenaires :
SIDI Solidarité Internationale pour le Développement et l’Investissement.

L’artisanat, pratique vernaculaire dans les pays du Sud Global, constitue un véritable patrimoine culturel, en lien avec les cosmologies des communautés rurales et pauvres. Une grande partie de ces artisans ne parvient pas à subvenir aux besoins de leur famille, favorisant la désappropriation culturelle.

Le savoir vernaculaire n’est pas une pratique marginale ni d’un point de vue social ni économique. Au contraire, il revêt un fort potentiel économique lorsqu’on le croise avec d’autres pratiques comme le design. Sa profonde relation avec la cosmologie est une source d’inspiration d’importance à condition de mettre sur le même pied d’égalité artisans, designers et ingénieurs.

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luc
21/012021

« Tala Médical » Luc Perera, Doctorant SACRe PSL – Symbiose –

Symbiose

Tala Médical
Esthétique des sons carnatiques contemporains avec des dispositifs interactifs. Design sonore médical.
Luc Perera,  Doctorant SACRe PSL – Symbiose
Direction de thèse : Pierre Jouvelot, Patrick Renaud

Partenaires :
Hopital Paul Brousse
Mines Paris Tech PSL
Education nationale

 

Tala Box : dispositif mécatronique qui réagit aux rythmes carnatiques de la musique du Sud de l’Inde, son but étant de détendre des patients atteints de démence de type Alzheimer.

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2. PlantesHyperaccumulatrices
21/012021

« Blooming Ground », Anne Fischer, Prédoctorante, – Symbiose –

Symbiose

« Blooming Ground », Anne Fischer, Prédoctorante, – Symbiose –

Les activités industrielles aux conséquences néfastes au niveau environnemental, sanitaire et socio-économique, ont façonné certains territoires et nous renvoient une image négative de leur passé.

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21/012021

« Translating Bodies », Victoire Gonzalvez, Prédoctorante, – Symbiose –

Symbiose

« Translating Bodies », Victoire Gonzalvez, Prédoctorante, – Symbiose –

Les mécanismes de traduction appliqués à des matériaux synthétiques signifiant les qualités visuelles d’un autre matériau, constituent l’objet au travers duquel j’analyse les représentations standardisées d’aujourdui.

L’intuition quant au possible lien entre l’affaiblissement de la valorisation des matériaux dans notre environnement et les troubles neuro-déveleppomentaux croissants en Occident, est le point de départ de ce projet.

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portrait du lieu
21/012021

« JWA(arbre en bambara) », Lucile Cornet-Richard, Prédoctorante, – Symbiose –

Symbiose

« JWA(arbre en bambara) », Lucile Cornet-Richard, Prédoctorante, – Symbiose –

Projet de recherche-création (2021-transmission social et solidaire) :

Avec JWA, j’affirme ma volonté de construire un outil, celui de la démocratie de contexte : interaction actuelle des problématiques liées à l’exil, au climat, aux conflits sociaux. Le monde des adolescent.e.s est très vulnérable face aux bouleversements actuels. De fait, comment rendre le savoir partageable au-delà des écoles, sur l’ensemble du territoire ?

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mrc spatial media
21/012021

Module recherche et création – XR DESIGN LAB –

MRC (Modules Recherche et Création)

Encadré par 3 doctorants du groupe de recherche Spatial Media, ce Module Recherche et Création propose une série de séances sous forme de séminaires et workshops pour la co-création d’installations en Réalités Virtuelle, Augmentée et Mixte.

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sofia
21/012021

« Immersive HybridPlace », Sophia Kourkoulakou, doctorante Université Paris 8/EnsadLab – Spatial Media –

Spatial Media

« Immersive HybridPlace », Sophia Kourkoulakou, doctorante Université Paris 8/EnsadLab, – Spatial Media –

Le projet interroge la pratique du témoignage vidéo urbain dans la condition médiatique contemporaine. L’installation propose un mode de visualisation de témoignages vidéo en immersion dans le contexte spatial ou les faits ont eu lieu.

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20/012021

Edition _ design objet 2ème année

Design objet


Equipe enseignante : Alex Chavot, Alexandre Fougea, Laurent Godart
Cette édition – composée de 3 posters A2 recto/verso, pliés en livrets A5 – est un compte-rendu de visites d’ateliers réalisé par les étudiant•e•s de Design objet dans le cadre de leurs cours science et perception, matériaux et typogaphie-graphisme.

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20/012021

Présentation du groupe Reflective Interaction – Samuel Bianchini

Reflective Interaction

Reflective Interaction

Coordination : Samuel Bianchini

 

Objets robotisés, interaction de groupe avec des smartphones, matériaux actifs et réactifs voire vivants, éditions interactives multi-supports ; le groupe Reflective Interaction investit des champs sociotechniques prospectifs qui interrogent nos rapports actifs, nos relations d’interdépendance, avec nos environnements humains et non-humains.

Reflective Interaction est un groupe de recherche en art et en design avec et sur les dispositifs interactifs. Les travaux de ce groupe portent sur les modalités de mise en œuvre de ces dispositifs avec leur contexte naturel et artificiel, impliquant le plus souvent des humains. Comment et pourquoi élaborer de tels dispositifs qui articulent des dimensions esthétique, symbolique et opératoire au profit d’expériences autant sensibles que réflexives, en prenant en compte leurs impacts sociétaux et environnementaux ? Comment concevoir les écritures, agencements et technicités de ces dispositifs en même temps que les situations qu’ils suscitent, les contextes qu’ils transforment ?

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Orto Semirurali-Fotos-2483
20/012021

“Présentation de la Plateforme art, design et société”, EnsadLab, Portes Ouvertes 2021

Plateforme Art, Design et Société
La plateforme « art, design et société » engage des projets de recherche-création pour réfléchir aux enjeux sociaux, esthétiques et techniques du monde contemporain. Fondée en 2018, la plateforme ancrée à EnsadLab (Laboratoire de l’École des Arts Décoratifs – Université Paris, Sciences et Lettres), est composée par une équipe pluridisciplinaire d’artistes et de chercheurs en sciences sociales qui travaillent selon trois axes de recherche ayant en commun de questionner le terme de « savoir sensible » pour explorer la capacité opératoire, pour la recherche en art et en design, à produire des connaissances incarnées et situées.
Auteurs:
Francesca Cozzolino, Arnaud Dubois, Sophie Krier
https://plateformeartdesignsociete.ensadlab.fr/

Image: Weaving Gardens (trad. tisser nos jardins), School of Verticality, Sophie Krier en collaboration avec le jardin communautaire Orto Semirurale, Bolzano, Italie, 2018. Courtoisie de Lungomare. Photo Joerg Oschmann.

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[AFTER][Diplôme Master 2025] « show me the wisdom in your movement, whhhooooaaaahhhhwwoouuaahaaaaaaaaahh » de Céline Groman @celinegroman , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« I would like to · extend the definition of · who I am · my emotional makeup · is heavily shifting · hand-me-down fears · no longer belong · with me · Keep creating art even if you don’t have a place for it in the moment, it will eventually find a home; Julia Fox said that! · powder blue lilac boue ·lilac orange · strip of orange sherbet · faded mandarin · electric banana · pastel cherry · orange cherry · i i was i eas snwel as was a cause- i- d- know-may ther id- kn- n- i was i i was i was i i i an d nt s sr f ths
com ely tel-l me ·»
J’ai passé un été au Louvre à démêler des centaines d’audiophones. Dans le travail thérapeutique que j’ai fait, un nœud correspond à une douleur liée à une situation passée… Notre attirance pour la brillance serait associée à des mécanismes biologiques profonds, à notre besoin vital d’eau… Quand j’ai travaillé avec une psychothérapeute, elle m’a expliqué que la sublimation correspondrait à élever une charge émotionnelle à de l’art… une charge affective qui se déporte dans une matière… Le plancher a avalé mon poème.
Par instants, les mots se cherchent avec peine, car éprouver vient difficilement.
Le silence s’installe alors, laissant place à l’observation des architectures internes et externes.
Des objets souples, extensibles, capables de se recroqueviller sur eux-mêmes. Ils existent par les lumières et les paroles plurielles, fragmentées, mais aussi par le noir et les silences.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « show me the wisdom in your movement, whhhooooaaaahhhhwwoouuaahaaaaaaaaahh » de Céline Groman @celinegroman , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
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« I would like to · extend the definition of · who I am · my emotional makeup · is heavily shifting · hand-me-down fears · no longer belong · with me · Keep creating art even if you don’t have a place for it in the moment, it will eventually find a home; Julia Fox said that! · powder blue lilac boue ·lilac orange · strip of orange sherbet · faded mandarin · electric banana · pastel cherry · orange cherry · i i was i eas snwel as was a cause- i- d- know-may ther id- kn- n- i was i i was i was i i i an d nt s sr f ths
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Des objets souples, extensibles, capables de se recroqueviller sur eux-mêmes. Ils existent par les lumières et les paroles plurielles, fragmentées, mais aussi par le noir et les silences.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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23 heures ago
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1/9
LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Claire Buet
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@clairebuet , diplômée en Design Objet (2023), a fait partie de la promotion 2024 de la Couveuse, au sein du module porté par la Chaire Écodesign & Création, en partenariat avec DECATHLON. Elle y a développé son projet d'objets poétiques inspirés par la cueillette de fleurs, et revient aujourd’hui sur son parcours et l’impact de l’accompagnement.
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🎥 Dans cette vidéo, Claire partage ce que la Couveuse lui a apporté : un cadre pour structurer son projet, affiner sa démarche écoresponsable, passant par une production locale, et donner corps à un univers sensible.
Au fil du mentoring, des ateliers et des rencontres professionnelles, la Couveuse a accompagné la maturation de sa pratique et l’affirmation d’une écriture singulière, attentive aux valeurs d'attention, de soin et de contemplation.
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Un témoignage qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE : soutenir et accélérer les projets des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, en leur offrant un espace pour penser leur trajectoire et déployer leur vision.
•
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LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Claire Buet . @clairebuet , diplômée en Design Objet (2023), a fait partie de la promotion 2024 de la Couveuse, au sein du module porté par la Chaire Écodesign & Création, en partenariat avec DECATHLON. Elle y a développé son projet d'objets poétiques inspirés par la cueillette de fleurs, et revient aujourd’hui sur son parcours et l’impact de l’accompagnement. . 🎥 Dans cette vidéo, Claire partage ce que la Couveuse lui a apporté : un cadre pour structurer son projet, affiner sa démarche écoresponsable, passant par une production locale, et donner corps à un univers sensible. Au fil du mentoring, des ateliers et des rencontres professionnelles, la Couveuse a accompagné la maturation de sa pratique et l’affirmation d’une écriture singulière, attentive aux valeurs d'attention, de soin et de contemplation. . Un témoignage qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE : soutenir et accélérer les projets des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, en leur offrant un espace pour penser leur trajectoire et déployer leur vision.
3 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
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@dubuslola ( Lola Dubus ) 
@penelopeavril ( Pénélope Avril ) 
@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
@thibautjouy ( Thibaut Jouy ) 
cheh_rif ( Yassine Cherif ) 
@obataille12 ( Olivier Bataille ) 
Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
.
Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
.
@dubuslola ( Lola Dubus ) 
@penelopeavril ( Pénélope Avril ) 
@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
@thibautjouy ( Thibaut Jouy ) 
cheh_rif ( Yassine Cherif ) 
@obataille12 ( Olivier Bataille ) 
Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
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@dubuslola ( Lola Dubus ) 
@penelopeavril ( Pénélope Avril ) 
@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
@thibautjouy ( Thibaut Jouy ) 
cheh_rif ( Yassine Cherif ) 
@obataille12 ( Olivier Bataille ) 
Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
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@dubuslola ( Lola Dubus ) 
@penelopeavril ( Pénélope Avril ) 
@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
@thibautjouy ( Thibaut Jouy ) 
cheh_rif ( Yassine Cherif ) 
@obataille12 ( Olivier Bataille ) 
Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
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@dubuslola ( Lola Dubus ) 
@penelopeavril ( Pénélope Avril ) 
@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
@thibautjouy ( Thibaut Jouy ) 
cheh_rif ( Yassine Cherif ) 
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Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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4 jours ago
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3/9
LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Matéo Picant Laurent @mateo.picant.laurent 
Diplômé en Design Vêtement (2023), Matéo Picant Laurent a rejoint la Couveuse PROMESSE pour structurer et affirmer son projet de bijoux hybrides, nourris par les savoir-faire de la plumasserie et de la joaillerie.
Au fil de l’accompagnement — mentoring, ateliers, rencontres professionnelles — Matéo a pu clarifier son identité créative, poser les bases d’un projet cohérent et développer une démarche singulière autour de la plume comme matériau précieux et modulable.
.
🎥 Dans ce portrait, il revient sur l’impact de la Couveuse dans la maturation de ses pièces et la consolidation de son approche technique et narrative qui l’a conduit à collaborer avec @laure_julien_ pour créer des coiffes en plumes visibles au défilé Dior Haute Couture 2025. 
La Couveuse a joué un rôle clé dans la mise en forme de son univers, lui offrant un espace pour penser sa trajectoire, affirmer sa vision du bijou contemporain et rencontrer les acteurs qui ont stimulé son développement.
 @mateo.picant.laurent

Un parcours qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE, programme d’accélération des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, conçu cette année en partenariat avec @Bildung.
.

Prises de vues réalisées durant une collaboration avec Marine Billet @incarnem
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LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Matéo Picant Laurent @mateo.picant.laurent Diplômé en Design Vêtement (2023), Matéo Picant Laurent a rejoint la Couveuse PROMESSE pour structurer et affirmer son projet de bijoux hybrides, nourris par les savoir-faire de la plumasserie et de la joaillerie. Au fil de l’accompagnement — mentoring, ateliers, rencontres professionnelles — Matéo a pu clarifier son identité créative, poser les bases d’un projet cohérent et développer une démarche singulière autour de la plume comme matériau précieux et modulable. . 🎥 Dans ce portrait, il revient sur l’impact de la Couveuse dans la maturation de ses pièces et la consolidation de son approche technique et narrative qui l’a conduit à collaborer avec @laure_julien_ pour créer des coiffes en plumes visibles au défilé Dior Haute Couture 2025. La Couveuse a joué un rôle clé dans la mise en forme de son univers, lui offrant un espace pour penser sa trajectoire, affirmer sa vision du bijou contemporain et rencontrer les acteurs qui ont stimulé son développement. @mateo.picant.laurent Un parcours qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE, programme d’accélération des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, conçu cette année en partenariat avec @Bildung. . Prises de vues réalisées durant une collaboration avec Marine Billet @incarnem
5 jours ago
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4/9
LA COUVEUSE PROMESSE
✨ L'accélérateur des talents créatifs émergents

Depuis 2022, la Couveuse de projets de l’École des Arts Décoratifs – PSL sélectionne et accompagne chaque année six artistes et designers nouvellement diplômé·es souhaitant penser, structurer et lancer leur projet — qu’il soit artistique, entrepreneurial ou hybride.
.
Depuis cette rentrée, le programme est conçu en partenariat avec Bildung @b_i_l_d_u_n_g , agence spécialisée dans l’accompagnement des talents créatifs. Entre suivi individuel, ateliers collectifs, rencontres professionnelles et ressources dédiées, la Couveuse offre un espace pour clarifier ses ambitions, affirmer son identité de projet et passer de l’idée à la réalisation.
.
📆Dans les jours à venir, découvrez les témoignages de quatre couvé·es des précédentes promotions : leurs parcours, leurs positionnements au sein des industries créatives et culturelles et leur manière d’envisager l’entrepreneuriat par les arts et le design. Une série de portraits qui révèle la diversité des trajectoires dont la Couveuse a permis l'émergence.
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LA COUVEUSE PROMESSE ✨ L'accélérateur des talents créatifs émergents Depuis 2022, la Couveuse de projets de l’École des Arts Décoratifs – PSL sélectionne et accompagne chaque année six artistes et designers nouvellement diplômé·es souhaitant penser, structurer et lancer leur projet — qu’il soit artistique, entrepreneurial ou hybride. . Depuis cette rentrée, le programme est conçu en partenariat avec Bildung @b_i_l_d_u_n_g , agence spécialisée dans l’accompagnement des talents créatifs. Entre suivi individuel, ateliers collectifs, rencontres professionnelles et ressources dédiées, la Couveuse offre un espace pour clarifier ses ambitions, affirmer son identité de projet et passer de l’idée à la réalisation. . 📆Dans les jours à venir, découvrez les témoignages de quatre couvé·es des précédentes promotions : leurs parcours, leurs positionnements au sein des industries créatives et culturelles et leur manière d’envisager l’entrepreneuriat par les arts et le design. Une série de portraits qui révèle la diversité des trajectoires dont la Couveuse a permis l'émergence.
6 jours ago
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5/9
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
.
Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
.
Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
.
La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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7 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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1 semaine ago
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7/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
.
Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis . Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes. L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière… Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement. Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer. . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
2 semaines ago
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8/9
✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR !
📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h
📍 @fondationpernodricard - entrée libre
.
🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs.
.
Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses.

🌈 Comité éditorial :
@lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr 
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Direction de la publication : @emmanueltibloux 
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Conception graphique : @twice_studio 
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🌈 Contributions :
Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang.
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Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement.
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Au programme :
👁️ Présentation éditoriale et graphique
📖 Lecture
✍️ Signature
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🌈 Mise en vente en avant-première du numéro
Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
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✨ Lancement de *Nuances*, le nouveau numéro de la revue DÉCOR ! 📅 Mercredi 10 décembre, 18h30—21h 📍 @fondationpernodricard - entrée libre . 🌈 Cinquième numéro de la revue pensée et produite par l’École des Arts Décoratifs – PSL, Nuances explore la couleur comme un espace sensible, critique et engagé. Plus qu’un médium, la couleur devient ici un lieu où se tissent des enjeux esthétiques, politiques, écologiques et prospectifs. . Coéditée cette année avec les @dilecta_editions_galerie , DÉCOR poursuit sa vocation : ouvrir un mot, un thème, un décor, et y déployer un univers entier à travers les voix d’artistes, designers, auteur·ices et chercheur·euses. 🌈 Comité éditorial : @lauriane_beaunier , @lou.ramage , @isabelle.rodier , Philippe Roaldes, @pascalinewilhelm , Camille Baudelaire @atelierbaudelaire , Victor Meesters, Gerald Petit @ateliergeraldpetit.ensad , Charles-Emmanuel Debar @chrlmmnldbr . Direction de la publication : @emmanueltibloux . Conception graphique : @twice_studio . 🌈 Contributions : Camille Baudelaire, Lauriane Beaunier, Charles-Emmanuel Debar, Véronique Massenet, Victor Meesters, Gerald Petit, Lou Ramage, Philippe Roaldes, Isabelle Rodier-Clergue, Emmanuel Tibloux, Pascaline Wilhelm, Marie-Anne Sarda, Alec Vivier-Reynaud, Paul Marchesseau, Philippe Rahm, Sumiko Oé-Gottini, Zahia Rahmani, Lorelei Borgiès, Audrey Large, Ana Maria De Jesus, Vonnik Hertig, Anna Saint-Pierre, Adrien Maschino, Joan Pronnier, Ariane Brioist, Hervé Fischer, Sophie Larger, Jean-Charles de Castelbajac, Laure Gauthier, Elsa Boyer, Aaron Levin, Kevin Bideau, Enza Le Garrec, Camille Circlude, Olivia Grandperrin, Sarah Schrader, Brecht Evens, Orsina Visconti, Jeanne Guien, Clément Bottier, Fanny Tsang. . Partenaire fidèle de la revue depuis le premier numéro, la @fondationpernodricard accueille cette soirée de lancement. . Au programme : 👁️ Présentation éditoriale et graphique 📖 Lecture ✍️ Signature . 🌈 Mise en vente en avant-première du numéro Nuances sera en librairie à partir du 16 janvier .
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