JPO
Vendredi 30 janvier (13h à 21h) et Samedi 31 janvier 2026 (10h à 20h)
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19/012021

Module Création Recherche « Designing Symmetry : Design contre les inégalités »

MRC (Modules Recherche et Création)

Designing Symmetry : Design contre les inégalités

Module de recherche création collaboratif, interculturel et international. Les étudiants de l’ENSAD ont travaillé en équipes, à distance, avec des étudiants en design de l’Université Don Bosco de San Salvador pendant un semestre.

En travaillant avec et pour des communautés en situation de marge en France et au Salvador, les étudiants proposent des créations sensibles qui favorisent l’insertion, le vivre-ensemble et/ou la mise en place d’une économie solidaire ainsi que des solutions low-tech applicables à des contextes d’inégalités.  

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antoine
19/012021

Module de Recherche et Création – …animatum materiae flexibile…

MRC (Modules Recherche et Création)
Module de recherche et création autour de l’Impression 3D/4D
animatum materiae flexibile…
 

Proposé par Antoine Desjardins avec Giancarlo Rizza (LSI, École polytechnique / CEA/DRF/IRAMIS, CNRS / DISAT, Politecnico di Torino) et la participation de Benoît Roman (PMMH-ESPCI labo CNRS) et Brice Ammar-Khodja (Doctorant – EnsadLab, Concordia University)

Mots-clefs: Matériaux, environnement actif, 4d, modélisation et impression 3dPréambule:On nomme « impression 4d » une technologie qui utilise des matériaux avancés en capacité de répondre à l’influence de stimuli ou d’énergies externes pour programmer des actions sur l’objet imprimé en 3d. L’impression 4d consiste à inclure une modification de l’environnement, comme la lumière, la chaleur, l’électricité, le champ magnétique, l’humidité, pour remodeler ou reconfigurer l’objet après l’impression. Ce MRC de nature expérimentale visera à envisager des hypothèses de matériaux élémentaires ou issues de combinaisons matérielles développés en formes activables, imprimées en 3d ou construites.

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MRC-BehavioralObjects - 2020 VF
19/012021

Module de Recherche et Création – OBJETS À COMPORTEMENTS –

MRC (Modules Recherche et Création)

Proposé par le Groupe de Recherche Reflective interaction d’EnsadLab

Robotique modulaire, objets en réseau, IoT, expressivité du mouvement.

Objectifs :
Dans le cadre de ce Module de Recherche et Création, nous proposerons aux étudiants
d’explorer la notion d’objets à comportements, autant dans son ancrage historique et
théorique que par la pratique dans les champs de l’art et du design. Nous utiliserons un outil
de prototypage — le MisB KIT, un kit de robotique modulaire que nous avons développé pour créer et expérimenter des objets à comportements. L’utilisation de ce kit permettra aux étudiants de familiariser avec la robotique autour des notions d’interaction et
d’expressivité collective, tout en inscrivant cette réflexion au sein de leur propre démarche de création.

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fabien leaustic
19/012021

« La Terre est-elle ronde », Fabien Leaustic, Doctorant SACRe PSL – Formes du mouvement –

Formes du mouvement

« La Terre est-elle ronde », Fabien Leaustic, Doctorant SACRe PSL – Formes du mouvement –

Mon travail peut être perçu comme une exploration des matériaux naturels, telle une étude par la pratique de leur comportement. C’est en exploitant l’intelligence des matières, en les mettant en mouvement au travers de mes installations que je tente de leur donner une voix.

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En glissant, il se métamorphose
18/012021

« Module de recherche et de création – Les formes du web »

MRC (Modules Recherche et Création)

Les formes du web
Module de Recherche Création, EnsAD, 2020

 

Ce Module de Recherche Création propose d’investir le navigateur web comme portail de création à travers un atelier collectif. Nous utilisons le web au quotidien et dans la majorité des cas, cette utilisation se limite à être un environnement de consultation. Pourtant, il peut aussi être un outil de création d’objets graphiques et interactifs pour les designers et les artistes. En s’initiant à certains langages du web (HTML, CSS, JavaScript), il s’agit d’explorer les possibilités créatives du Web à travers des notions associées à la culture numérique : web responsive, liquidité numérique, fontes variables, scripts, animations interactives, design paramétrique.

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18/012021

Workshop : Behavioral Matter, Centre Pompidou

Reflective Interaction

Ce workshop, mis en place avec le Centre Pompidou, dans le cadre de l’exposition La Fabrique du Vivant (cycle Mutations/Créations 3), émane du projet Behavioral Matter développé par le groupe de recherche « Reflective Interaction » d’EnsadLab (le laboratoire de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs – EnsAD, Université PSL, Paris) en partenariat avec le Cluster « Matters of Activity. Image Space Material » de la Humboldt-Universität zu Berlin, avec le soutien de la Chaire Arts & Sciences de l’École polytechnique, de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL et de la Fondation Daniel et Nina Carasso, et du fonds PERSPEKTIVE pour l’art contemporain & l’architecture (une initiative du Bureau des arts plastiques de l’Institut français, soutenu par le Ministère de la Culture et le Goethe Institut).

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Dissect_CentrePompidou_29032019_IMG_9640
18/012021

Dissect

Reflective Interaction

Sur une idée originale de Samuel Bianchini et Emanuele Quinz, un dispositif élaboré dans le cadre du groupe de recherche Reflective Interaction d’EnsadLab, laboratoire de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs (EnsAD), Université PSL, Paris.

Dispositif scénographique conçu et réalisé sous la direction de Samuel Bianchini avec Adrien Bonnerot et Pernelle Poyet (design objet), Annie Leuridan (design lumière), Sylvie Tissot et Didier Bouchon (réalisation informatique) et Brice Ammar-Khodja (vidéo). Réalisation de la table et de ses ustensiles : Atelier H2.

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18/012021

Aide à grands projets : « A hauteur d’assise » – Robin Bourgeois

Architecture intérieure, Chaire Mutation des vies étudiantes chaire, Chaire Mutation des Vies Etudiantes, Cnous, Crous, design objet, projets de diplômes 2020, revue Décor, Vie étudiante

Aide à grands projets : « A hauteur d’assise » – Robin Bourgeois

Dés sa création, la Chaire a participé au financement de diplômes de Master. Les projets sélectionnés travaillent sur des thématiques connexes avec les problématiques étudiées par la Chaire.

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Brice Ammar-Khodja, Blob Detection, 2019
18/012021

« Frictions (Im) Matérielles », Brice Ammar-Khodja, Doctorant SACRe PSL, Concordia, INDI Program – Reflective Interaction

Reflective Interaction

Frictions (Im) Matérielles : pour une expérience esthétique des données environnementales dans le cadre d’une pratique itérative de dispositifs artistiques.

Brice AMMAR-KHODJA, Doctorant SACRe PSL- EnsadLab / Reflective Interaction
Direction de thèse : Samuel Bianchini

Université Concordia, Montréal – INDI Program / Institut Milieux | Centre for Sensory Studies | Canada Excellence Research Chair Cluster in Next Generation Cities

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17/012021

« Interconnaissance(s) / interconnectedness » présentation du projet réalisé en partenariat avec l’EBE58, Péremy, Nièvre

MRC (Modules Recherche et Création)

L’EBE 58 (entreprise à but d’emploi) créée dans le cadre de l’expérimentation nationale « Territoire zéro chômeur de longue durée » est implantée dans la Nièvre sur un territoire rural très marqué où la population est vieillissante et de faible densité.

Ce Module de recherche a eu pour volonté de questionner les sources de co création au sein de l’entreprise. Du diagnostique à la mise en récit, le travail de recherche a été concrètement emprunt des enjeux de transition sociale écologique engagée par l’EBE 58.

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ENSADLAB LE LABORATOIRE DE RECHERCHE DE L’ÉCOLE
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[LA COUVEUSE PROMESSE]  Portrait de Théo Etrillard
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@theoetrillard, diplômé en Design Objet (2024), développe au sein de la Couveuse PROMESSE le projet Récits de chantier, une recherche autour des matériaux issus de la démolition et des histoires qu’ils portent. Bancs et tabourets deviennent les témoins d’architectures passées, façonnés à partir de briques, de bois, de métal ou de granit, travaillés avec justesse et respect.
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🎥 Dans cette vidéo, Théo partage comment l’accompagnement de la Couveuse l’aide à structurer une pratique située entre design, patrimoine et geste ouvrier, et à affirmer une posture où la création naît de la rencontre, de l’écoute et de la mémoire collective.
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À travers le mentoring, les ateliers et les échanges professionnels, la Couveuse soutient la maturation de son projet et l’inscription de son travail dans une démarche professionnelle engagée, attentive aux récits du réel.
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Un portrait qui illustre la vocation de la Couveuse PROMESSE : accompagner les jeunes designer·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL dans le développement de projets ancrés, sensibles et porteurs de sens.
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[LA COUVEUSE PROMESSE] Portrait de Théo Etrillard . @theoetrillard, diplômé en Design Objet (2024), développe au sein de la Couveuse PROMESSE le projet Récits de chantier, une recherche autour des matériaux issus de la démolition et des histoires qu’ils portent. Bancs et tabourets deviennent les témoins d’architectures passées, façonnés à partir de briques, de bois, de métal ou de granit, travaillés avec justesse et respect. . 🎥 Dans cette vidéo, Théo partage comment l’accompagnement de la Couveuse l’aide à structurer une pratique située entre design, patrimoine et geste ouvrier, et à affirmer une posture où la création naît de la rencontre, de l’écoute et de la mémoire collective. . À travers le mentoring, les ateliers et les échanges professionnels, la Couveuse soutient la maturation de son projet et l’inscription de son travail dans une démarche professionnelle engagée, attentive aux récits du réel. . Un portrait qui illustre la vocation de la Couveuse PROMESSE : accompagner les jeunes designer·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL dans le développement de projets ancrés, sensibles et porteurs de sens.
1 jour ago
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[AFTER][Diplôme Master 2025] « show me the wisdom in your movement, whhhooooaaaahhhhwwoouuaahaaaaaaaaahh » de Céline Groman @celinegroman , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
« I would like to · extend the definition of · who I am · my emotional makeup · is heavily shifting · hand-me-down fears · no longer belong · with me · Keep creating art even if you don’t have a place for it in the moment, it will eventually find a home; Julia Fox said that! · powder blue lilac boue ·lilac orange · strip of orange sherbet · faded mandarin · electric banana · pastel cherry · orange cherry · i i was i eas snwel as was a cause- i- d- know-may ther id- kn- n- i was i i was i was i i i an d nt s sr f ths
com ely tel-l me ·»
J’ai passé un été au Louvre à démêler des centaines d’audiophones. Dans le travail thérapeutique que j’ai fait, un nœud correspond à une douleur liée à une situation passée… Notre attirance pour la brillance serait associée à des mécanismes biologiques profonds, à notre besoin vital d’eau… Quand j’ai travaillé avec une psychothérapeute, elle m’a expliqué que la sublimation correspondrait à élever une charge émotionnelle à de l’art… une charge affective qui se déporte dans une matière… Le plancher a avalé mon poème.
Par instants, les mots se cherchent avec peine, car éprouver vient difficilement.
Le silence s’installe alors, laissant place à l’observation des architectures internes et externes.
Des objets souples, extensibles, capables de se recroqueviller sur eux-mêmes. Ils existent par les lumières et les paroles plurielles, fragmentées, mais aussi par le noir et les silences.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « show me the wisdom in your movement, whhhooooaaaahhhhwwoouuaahaaaaaaaaahh » de Céline Groman @celinegroman , diplômée en Art et Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
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« I would like to · extend the definition of · who I am · my emotional makeup · is heavily shifting · hand-me-down fears · no longer belong · with me · Keep creating art even if you don’t have a place for it in the moment, it will eventually find a home; Julia Fox said that! · powder blue lilac boue ·lilac orange · strip of orange sherbet · faded mandarin · electric banana · pastel cherry · orange cherry · i i was i eas snwel as was a cause- i- d- know-may ther id- kn- n- i was i i was i was i i i an d nt s sr f ths
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J’ai passé un été au Louvre à démêler des centaines d’audiophones. Dans le travail thérapeutique que j’ai fait, un nœud correspond à une douleur liée à une situation passée… Notre attirance pour la brillance serait associée à des mécanismes biologiques profonds, à notre besoin vital d’eau… Quand j’ai travaillé avec une psychothérapeute, elle m’a expliqué que la sublimation correspondrait à élever une charge émotionnelle à de l’art… une charge affective qui se déporte dans une matière… Le plancher a avalé mon poème.
Par instants, les mots se cherchent avec peine, car éprouver vient difficilement.
Le silence s’installe alors, laissant place à l’observation des architectures internes et externes.
Des objets souples, extensibles, capables de se recroqueviller sur eux-mêmes. Ils existent par les lumières et les paroles plurielles, fragmentées, mais aussi par le noir et les silences.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Claire Buet
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@clairebuet , diplômée en Design Objet (2023), a fait partie de la promotion 2024 de la Couveuse, au sein du module porté par la Chaire Écodesign & Création, en partenariat avec DECATHLON. Elle y a développé son projet d'objets poétiques inspirés par la cueillette de fleurs, et revient aujourd’hui sur son parcours et l’impact de l’accompagnement.
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🎥 Dans cette vidéo, Claire partage ce que la Couveuse lui a apporté : un cadre pour structurer son projet, affiner sa démarche écoresponsable, passant par une production locale, et donner corps à un univers sensible.
Au fil du mentoring, des ateliers et des rencontres professionnelles, la Couveuse a accompagné la maturation de sa pratique et l’affirmation d’une écriture singulière, attentive aux valeurs d'attention, de soin et de contemplation.
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Un témoignage qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE : soutenir et accélérer les projets des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, en leur offrant un espace pour penser leur trajectoire et déployer leur vision.
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LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Claire Buet . @clairebuet , diplômée en Design Objet (2023), a fait partie de la promotion 2024 de la Couveuse, au sein du module porté par la Chaire Écodesign & Création, en partenariat avec DECATHLON. Elle y a développé son projet d'objets poétiques inspirés par la cueillette de fleurs, et revient aujourd’hui sur son parcours et l’impact de l’accompagnement. . 🎥 Dans cette vidéo, Claire partage ce que la Couveuse lui a apporté : un cadre pour structurer son projet, affiner sa démarche écoresponsable, passant par une production locale, et donner corps à un univers sensible. Au fil du mentoring, des ateliers et des rencontres professionnelles, la Couveuse a accompagné la maturation de sa pratique et l’affirmation d’une écriture singulière, attentive aux valeurs d'attention, de soin et de contemplation. . Un témoignage qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE : soutenir et accélérer les projets des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, en leur offrant un espace pour penser leur trajectoire et déployer leur vision.
3 jours ago
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3/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
.
Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
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@dubuslola ( Lola Dubus ) 
@penelopeavril ( Pénélope Avril ) 
@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
@thibautjouy ( Thibaut Jouy ) 
cheh_rif ( Yassine Cherif ) 
@obataille12 ( Olivier Bataille ) 
Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
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@dubuslola ( Lola Dubus ) 
@penelopeavril ( Pénélope Avril ) 
@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
@thibautjouy ( Thibaut Jouy ) 
cheh_rif ( Yassine Cherif ) 
@obataille12 ( Olivier Bataille ) 
Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
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@penelopeavril ( Pénélope Avril ) 
@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
@thibautjouy ( Thibaut Jouy ) 
cheh_rif ( Yassine Cherif ) 
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Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nom de pays : un café » de Martin Huot @_martinht , diplômé en Scénographie @sceno_ecoleartsdecoparis 
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Dans un café imaginaire, une personne dort chaque nuit. Au lever du jour, elle doit partir, avant que les client·es ne viennent animer l’endroit. Cette nuit-là, elle rêve. Son sommeil se peuple de souvenirs de conversations, de la présence des passager·ères du lieu. Une vie qui semble bien différente de la sienne. L’espace devient alors un territoire fantôme, où résonnent les voix d’une société citadine et cultivée qui questionne sa place dans un univers fragile.
« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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Le mobilier présenté dans ce diplôme est une reproduction du mobilier de la Ménagerie de verre  @menageriedeverre conçu par Matali Crasset @matalicrasset 
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@alex_lidec ( Alexis Lidec ) 
@thibautjouy ( Thibaut Jouy ) 
cheh_rif ( Yassine Cherif ) 
@obataille12 ( Olivier Bataille ) 
Et avec Reyan Chaaban et sa création lumière.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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« Nom de pays : un café » est une adaptation scénographique et chorégraphique d’un texte, ancré dans ces cafés à l’esthétique mondialisée que l’on retrouve aujourd’hui aux quatre coins du globe. Des intérieurs épurés, où la clientèle cosmopolite et souvent aisée compose un décor quasi sacré. Ici, les réalités se superposent, et le restaurant de La Ménagerie de Verre se dédouble en un café branché, qui pourrait exister dans n’importe quelle grande métropole.
Aussi contemporain que le monde qui l’a vu naître, ce café rassemble des êtres hantés par le poids du passé. Des figures occupées par une histoire que l’on déconstruit, autant qu’elle habite notre environnement et notre esprit.
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4 jours ago
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4/9
LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Matéo Picant Laurent @mateo.picant.laurent 
Diplômé en Design Vêtement (2023), Matéo Picant Laurent a rejoint la Couveuse PROMESSE pour structurer et affirmer son projet de bijoux hybrides, nourris par les savoir-faire de la plumasserie et de la joaillerie.
Au fil de l’accompagnement — mentoring, ateliers, rencontres professionnelles — Matéo a pu clarifier son identité créative, poser les bases d’un projet cohérent et développer une démarche singulière autour de la plume comme matériau précieux et modulable.
.
🎥 Dans ce portrait, il revient sur l’impact de la Couveuse dans la maturation de ses pièces et la consolidation de son approche technique et narrative qui l’a conduit à collaborer avec @laure_julien_ pour créer des coiffes en plumes visibles au défilé Dior Haute Couture 2025. 
La Couveuse a joué un rôle clé dans la mise en forme de son univers, lui offrant un espace pour penser sa trajectoire, affirmer sa vision du bijou contemporain et rencontrer les acteurs qui ont stimulé son développement.
 @mateo.picant.laurent

Un parcours qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE, programme d’accélération des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, conçu cette année en partenariat avec @Bildung.
.

Prises de vues réalisées durant une collaboration avec Marine Billet @incarnem
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LA COUVEUSE PROMESSE – Portrait de Matéo Picant Laurent @mateo.picant.laurent Diplômé en Design Vêtement (2023), Matéo Picant Laurent a rejoint la Couveuse PROMESSE pour structurer et affirmer son projet de bijoux hybrides, nourris par les savoir-faire de la plumasserie et de la joaillerie. Au fil de l’accompagnement — mentoring, ateliers, rencontres professionnelles — Matéo a pu clarifier son identité créative, poser les bases d’un projet cohérent et développer une démarche singulière autour de la plume comme matériau précieux et modulable. . 🎥 Dans ce portrait, il revient sur l’impact de la Couveuse dans la maturation de ses pièces et la consolidation de son approche technique et narrative qui l’a conduit à collaborer avec @laure_julien_ pour créer des coiffes en plumes visibles au défilé Dior Haute Couture 2025. La Couveuse a joué un rôle clé dans la mise en forme de son univers, lui offrant un espace pour penser sa trajectoire, affirmer sa vision du bijou contemporain et rencontrer les acteurs qui ont stimulé son développement. @mateo.picant.laurent Un parcours qui illustre la mission de la Couveuse PROMESSE, programme d’accélération des jeunes créateur·ices de l’École des Arts Décoratifs – PSL, conçu cette année en partenariat avec @Bildung. . Prises de vues réalisées durant une collaboration avec Marine Billet @incarnem
5 jours ago
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5/9
LA COUVEUSE PROMESSE
✨ L'accélérateur des talents créatifs émergents

Depuis 2022, la Couveuse de projets de l’École des Arts Décoratifs – PSL sélectionne et accompagne chaque année six artistes et designers nouvellement diplômé·es souhaitant penser, structurer et lancer leur projet — qu’il soit artistique, entrepreneurial ou hybride.
.
Depuis cette rentrée, le programme est conçu en partenariat avec Bildung @b_i_l_d_u_n_g , agence spécialisée dans l’accompagnement des talents créatifs. Entre suivi individuel, ateliers collectifs, rencontres professionnelles et ressources dédiées, la Couveuse offre un espace pour clarifier ses ambitions, affirmer son identité de projet et passer de l’idée à la réalisation.
.
📆Dans les jours à venir, découvrez les témoignages de quatre couvé·es des précédentes promotions : leurs parcours, leurs positionnements au sein des industries créatives et culturelles et leur manière d’envisager l’entrepreneuriat par les arts et le design. Une série de portraits qui révèle la diversité des trajectoires dont la Couveuse a permis l'émergence.
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LA COUVEUSE PROMESSE ✨ L'accélérateur des talents créatifs émergents Depuis 2022, la Couveuse de projets de l’École des Arts Décoratifs – PSL sélectionne et accompagne chaque année six artistes et designers nouvellement diplômé·es souhaitant penser, structurer et lancer leur projet — qu’il soit artistique, entrepreneurial ou hybride. . Depuis cette rentrée, le programme est conçu en partenariat avec Bildung @b_i_l_d_u_n_g , agence spécialisée dans l’accompagnement des talents créatifs. Entre suivi individuel, ateliers collectifs, rencontres professionnelles et ressources dédiées, la Couveuse offre un espace pour clarifier ses ambitions, affirmer son identité de projet et passer de l’idée à la réalisation. . 📆Dans les jours à venir, découvrez les témoignages de quatre couvé·es des précédentes promotions : leurs parcours, leurs positionnements au sein des industries créatives et culturelles et leur manière d’envisager l’entrepreneuriat par les arts et le design. Une série de portraits qui révèle la diversité des trajectoires dont la Couveuse a permis l'émergence.
6 jours ago
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6/9
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
.
Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
.
Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson . Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie. . La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible. Crédits photo : @beryl_libault . Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard . Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective. Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12) . Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Crédits photo : @beryl_libault 
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Crédits photo : @beryl_libault 
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Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
[Résidence PROMESSE] Retour en images sur les résidences de @louis_c.dulac , @celiajoumard et @celine.shen_official à l’Abbaye de Maubuisson @abbayedemaubuisson 
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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Photo de couverture et photo 14 : Lauren Januhowski @laurenjanuhowski , alumni et ancienne résidente actuellement exposée à l'Abbaye.
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Située dans la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, l’Abbaye de Maubuisson est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1236 par la reine Blanche de Castille. Depuis 2019, ce site d’art contemporain du Conseil départemental du Val d’Oise s’est affirmé comme un laboratoire de création où plasticiens, commissaires et chorégraphes développent des projets de recherche autour du patrimoine architectural, de la création contemporaine et des espaces naturels. Les résidences proposées aux diplômé·es de l’École des Arts Décoratifs, d’une durée de deux à 5 mois, s’accompagnent d’une bourse de vie.
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La résidence de Louis Coiffard-Dulac, diplômé Cinéma d’animation 2022, s’est divisé en trois temps : le mois de mars, de juillet et enfin novembre. Il y a exploré la spiritualité des arbres et l’intimité de la forêt à travers un projet immersif qui mêle land art, macro, stop motion et mapping dans le but de rendre visible l’imperceptible.
Crédits photo : @beryl_libault 
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Célia Joumard, diplômée Image Imprimée 2024, a développé à l’Abbaye un travail de dessin, d’édition et de gravure sur verre. Nourrie par ses trajets en Île-de-France et par l’observation de la ville à travers les vitres sales, le dessin lui permet de saisir l’immédiateté de ces expériences et des mouvements urbains. 
Crédits : Béryl Libault & Célia Jourmard
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Diplômée en Design Vêtement depuis 2019, Céline Shen s’est inspirée de l’histoire et du cadre naturel de l’Abbaye, pour imaginer un livre augmenté qui déploie une cartographie intime des sentiments, mêlant dessins, peintures, calligraphies, textiles, vêtements et fragments chorégraphiques. De ce livre surgit un jardin cosmique : un espace immersif où cartes divinatoires, oracles enrichis par l’IA et symboles dialoguent pour offrir une expérience à la fois sensorielle et introspective.
Crédits photo : Céline Shen, Thomas Landrain @tholand_ (photo 12)
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1 semaine ago
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7/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Cultivons l'assiette, Design global d'un lieu agri-culinaire » de Philomène Gindre @philomene_gindre , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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À la croisée de l’architecture d’intérieur, de la cuisine et du design, le projet explore comment un lieu agricole peut devenir un espace de transmission, de transformation et de partage. Né sur les hauteurs d’Auvers-sur-Oise, au sein de la ferme des Tournelles, il s’enracine dans un territoire vivant, traversé par une culture du lien direct entre producteurs et habitants. Ce travail hybride propose un espace où l’on apprend, où l’on cuisine, où l’on goûte et où l’architecture accompagne les usages, valorise les produits et met en scène l’expérience partagée autour de la table. Ici, la production maraîchère ne se limite plus aux champs : elle devient matière première d’une expérience complète, depuis la cueillette jusqu’à l’assiette.
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1 semaine ago
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8/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Nulle Trace — nulle Idée de Ce Qui, Hier, éblouissait » de Nina Casanova, diplômée en Design Textile et Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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Ce projet de diplôme est une exploration sensible et poétique de la maison où naissent les fantômes.
L’artiste est attachée à des formes qui nourrissent un imaginaire profond. Au centre de sa démarche se trouve l’idée de puiser dans un patrimoine textile et décoratif archétypal, à l’esthétique très marquée, en cherchant à révéler la dimension symbolique et l’aura de ces formes. L’intention de l’artiste a été de décontextualiser et de transposer ces éléments archétypaux pour les faire basculer vers une abstraction, les libérant de leur fonction première au profit d’évocations, d’impressions par la transposition du motif, de la couleur et de la matière…
Les notions de seuil, de passage et de suspension dans l’espace-temps ont été fondamentales dans ce projet. Chaque pièce contribue à installer cette temporalité particulière, cette frontière entre deux états. Le travail final se veut être une antichambre entre le réel et le fictif, un moment de suspension où la maison se révèle autrement.
Enfin, il y a la question de la présence et de l’absence, sans figure humaine apparente. C’est au seuil du réel que cette pièce remplie de chimères invisibles, rendues sensibles par des signes, des halos, des évocations, a été imaginée. Ces présences silencieuses habitent les lieux sans jamais se montrer.
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2 semaines ago
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