JPO
Vendredi 31 janvier (13h à 21h) et Samedi 1er février 2025 (10h à 20h)
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Galerie

28/012021

Présentation du Master – EnaMoMa

EnaMoMa - Master Mode & Matière
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28/012021

Workshop « Biodesign » avec Tony Jouanneau

EnaMoMa - Master Mode & Matière

Ce workshop de 2 jours avec Tony Jouanneau, designer spécialisé dans la recherche de savoir-faire textiles en collaboration avec le vivant, nous a permis d’explorer des techniques empruntées au bio design pour les appliquer à l’ennoblissement textile dans un objectif de résilience écologique. Rassemblant les outils des domaines de la science, du textile et du design, nous avons étudié les points suivants :

  • Se familiariser avec l’éco-design et le bio design et leurs enjeux
  • Questionner les procédés d’ennoblissement textiles et leurs impacts pour les intégrer de façon consciente à notre pratique
  • Apprendre à cultiver et entretenir les bio-ressources
  • Designer et développer un nouveau concept autour de la bio-fabrication et matérialiser un scénario prospectif
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28/012021

Pluridisciplinarité et profils complémentaires

EnaMoMa - Master Mode & Matière

Le Master Mode et Matière présente des profils différents capable de s’unir autour de projets :

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28/012021

Workshop « Recherche par la pratique » avec Jeanne Vicérial

EnaMoMa - Master Mode & Matière

Pour ce workshop nous avons rencontré Jeanne Vicerial, designer textile/vêtements, co-fondatrice du studio de design recherche et innovation Clinique Vestimentaire. Doctorante aux Arts Décoratifs de Paris, Jeanne propose une thèse qui questionne les moyens de conceptions vestimentaires contemporains par le textile. Elle est partie du constat qu’aujourd’hui, nous connaissons principalement deux techniques de création et de réalisation de vêtements : le prêt-à-porter, l’individu doit appartenir à une taille et s’y adapter, alors que dans le sur-mesure, c’est le vêtement qui s’adapte à la personne.

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Capture
28/012021

Workshop « Remote viewing »

Chaire "La jeune création et le sacré"

« Remote viewing » animé par Simon Ripoll-Hurier, artiste, est l’occasion d’expérimenter collectivement les potentialités – surnaturelles ou non – du remote viewing à travers sa pratique directe. Au cœur de la Silicon Valley des années 1970, la CIA mandate un groupe de scientifiques et de médiums pour former un programme de recherche dans le domaine de la parapsychologie, dans l’espoir de devancer les Russes sur le terrain des psychic weapons. Quelques années plus tard, ce programme donne naissance au « Remote Viewing ».

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SUIS·VIE 2
27/012021

« Chaines solidaires », projet « SUIS -VIE », partenariat Croix Rouge française

Design objet

Comment faire vivre les informations liées à l’histoire de vie des résidents en EHPAD et en structure d’accueil ?

Le projet propose d’insérer de nouveaux acteurs bénévoles sur le terrain et d’accompagner le métier des professionnels intervenant dans les structures d’accueil. Leur mission est de réanimer le parcours de l’information liée à l’histoire de vie en réactivant des moyens mis en place comme le projet personnalisé qui manque aujourd’hui d’être suffisamment intégré au quotidien des personnes accompagnées. A leur disposition, un site de ressources et de formation et une application permettent à cette nouvelle mission bénévole d’oeuvrer à plus de personnalisation dans la prise en charge.

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LAURIE GREGOIRE 3
27/012021

« Chaines solidaires », projet « Porte Parole » – En partenariat avec la Croix Rouge Française

Design objet

Comment faciliter la communication entre une personne atteinte de troubles cognitifs et autrui afin d’éviter les comportements de débordement ? La création d’un outil médiateur entre le patient et son interlocuteur – un code de communication qui compléterait le langage corporel – pourrait être une réponse. Il y aurait donc un émetteur (le patient) et un récepteur (interlocuteur : aidant, bénévole, personnel soignant…). Cet outil permettrait de rendre tangibles les sentiments du patient.

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27/012021

Les diplômés de ENAMOMA 2020

EnaMoMa - Master Mode & Matière, projets de diplômes 2020
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ImageBuster01
21/012021

« Structures spatio-temporelles des réalités virtuelles », Rémi Sagot-Duvauroux, Doctorant SACRe PSL, – Spatial Média –

Spatial Media

« Structures spatio-temporelles des réalités virtuelles »
Rémi Sagot-Duvauroux, Doctorant SACRe PSL, – Spatial Média –
Direction de thèse : Rémi Ronfard, Guillaume Soulez, François Garnier

 

Problématique : Au regard de nouvelles phénoménologies proposées par les espaces numériques
immersifs, comment et pourquoi le découpage des espaces-temps doit-il être repensé en réalité virtuelle
du point de vue de la narration ?

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21/012021

« Peaux Ethiques », Audrey Brugnoli, Doctorante SACRe PSL, – Symbiose –

Symbiose

« Peaux Ethiques », Audrey Brugnoli, Doctorante SACREe PSL, – Symbiose –
Direction de thèse : Emmanuel Mahé, Christine Bodemer, Patrick Renaud

En partenariat avec :
Ll’Institut Imagine – Institut des maladies génétiques
Hôpital Necker Enfants Malades
Centre de référence MAGEC
Laboratoire Carnot MICA

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Contact : inscription.concours@ensad.fr

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[AFTER] [Diplôme Master 2024]
L’année scolaire s’achève à l’École des Arts Décoratifs – PSL. Bravo à toutes et tous les diplômé·es 2024 ! 👏
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✨ Vous pouvez désormais retrouver leurs projets en ligne et dans l’édition 2024 de la revue des diplômé·es AFTER, réalisée cette année par la collective Bye Bye Binary @bye.byebinary 
.
BBB a conçu pour l’occasion une typographie inclusive inédite, redistribuée en open source.
Ce travail collectif, queer, camp et engagé, joue des couleurs, des ornements, du glanage et du mauvais goût pour mieux interroger les normes et les représentations.
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💡 AFTER reflète l’énergie de cette génération : une approche du design et de l’art ancrée dans la vie réelle, et portée par des engagements écologiques, queer et décoloniaux.
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📖 Tous les projets et les contacts des diplômé.es sont à découvrir dans le catalogue AFTER 2024 et sur le site de l’École (liens en bio).
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🎉 Place maintenant à la promo 2025 !
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Crédits : conception graphique @bye.byebinary représenté par Léna Salabert-Triby @lena_slbrt et Enza Le Garrec @enzanitaa
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[AFTER] [Diplôme Master 2024] L’année scolaire s’achève à l’École des Arts Décoratifs – PSL. Bravo à toutes et tous les diplômé·es 2024 ! 👏 . ✨ Vous pouvez désormais retrouver leurs projets en ligne et dans l’édition 2024 de la revue des diplômé·es AFTER, réalisée cette année par la collective Bye Bye Binary @bye.byebinary . BBB a conçu pour l’occasion une typographie inclusive inédite, redistribuée en open source. Ce travail collectif, queer, camp et engagé, joue des couleurs, des ornements, du glanage et du mauvais goût pour mieux interroger les normes et les représentations. . 💡 AFTER reflète l’énergie de cette génération : une approche du design et de l’art ancrée dans la vie réelle, et portée par des engagements écologiques, queer et décoloniaux. . 📖 Tous les projets et les contacts des diplômé.es sont à découvrir dans le catalogue AFTER 2024 et sur le site de l’École (liens en bio). . 🎉 Place maintenant à la promo 2025 ! . Crédits : conception graphique @bye.byebinary représenté par Léna Salabert-Triby @lena_slbrt et Enza Le Garrec @enzanitaa
2 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Tales of the closet — Les contes du placard » de Agathe Cotte @agathe_cute , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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« Il y a un vieux dicton qui dit qu’« une [histoire] vit aussi longtemps qu’une seule personne se souvient d’elle. » Une autre, écrite par Monique Wittig – romancière figure de la littérature lesbienne du XXe siècle — en ouverture de son roman Les Guerillères dit ceci : « Fais un effort pour te souvenir ou à défaut invente. »
Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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Ces deux idées en expriment une commune, celle de l’importance du soin à donner au souvenir des histoires notamment passées pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli, faisant disparaître une partie de notre histoire, des preuves de nos antériorités. Or, encore plus dans le contexte politique actuel, il est primordial de mettre à l’abri et de matérialiser nos vécus, les transformer en un ensemble de preuves tangibles de la légitimité de nos existences et de nos luttes, de nos écritures, de nos imaginaires, qu’elles soient formelles ou plus intimes et poétiques. »
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3 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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« Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) »
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Amor, ponte hermosa, ¡hoy la ciudad arderá! [Ma chérie, fais-toi belle, aujourd'hui la ville va brûler!] » de Joana Jost @jojo.bendo , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco . « Amor, ponte hermosa ? C’est une tentative de resituer un parcours individuel, des intuitions et des productions graphiques dans une histoire collective, féministe, transgénérationnelle et internationale. Je constate un manque, dans l'enseignement et les références qui me sont transmises, d'une histoire commune féminine et féministe. Beaucoup de mes projets, qu'ils se matérialisent par des objets finis, des processus d'apprentissage technique, ou des dynamiques de recherches comme celles sur l'histoire de l'art féministe effectuées pour mon mémoire ; témoignent d'une volonté de m'autonomiser. J'ai cherché à pouvoir compter sur mes propres compétences, raconter mes propres histoires, et surtout comprendre d'où elles viennent ; dans quelles logiques elles s'inscrivent. C'est en mettant en regard mes façons de faire avec celles des collectifs/artistes/imprimeuses qui m'ont précédée, que j'ai compris que nos pratiques [...] ne sont pas les héritières d'une tradition masculine, mais d'une longue histoire au féminin dont le devenir nous appartient à tou·tes » (Voix Off : imprimerie de femmes, 2022) » . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
3 jours ago
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3/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
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« Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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« À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. »
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[AFTER][Diplôme Master 2024] « Lorsque la nuit s’éveille » de Romane Deubil @rdeubil , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis . « À la tombée de la nuit, lorsque les murmures du jour s’éteignent, un voyage intérieur commence. « Lorsque la nuit s’éveille » est une invitation à plonger dans le silence apaisant de la nuit, à laisser derrière soi le tumulte des mots et des bruits pour atteindre un temps de pause face à soi. Les souvenirs de notre enfance se réinventent sous un regard adulte, évoquant des moments figés dans le temps, dans un silence qui nous pousse à faire face à soi. » . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
4 jours ago
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4/9
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
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« La Prophétie des Fleurs » de Léonie Campion , diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
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« La Prophétie des Fleurs est une auto-fiction prenant la forme d'un ARG (Alternate Reality Game), un jeu de piste sur internet. J'y explore des manières alternatives de raconter une histoire à l'aide des nouvelles technologies et des codes issus de la culture internet. La Prophétie des Fleurs est un récit tentaculaire autour de la notion d’être autre (d’être étrang(èr)e) qui se déploie à travers un site internet cryptique remplis de messages cachés dans les codes sources et d'hyper-liens dissimulés menant à des comptes anonymes sur des forums de discussions. Ce projet invite à questionner les limites entre réalité et fiction à l’ère numérique à travers des thèmes tels que la "folie", l'aliénation et l'identité. Pour rendre cette histoire plus intelligible, j'ai également réalisé un Desktop Movie de 25 minutes. Cette fable virtuelle est rendue tangible à l'aide d'une installation immersive composée de divers objets à inspiration ésotériques réalisés au cours de cette année. » 
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6 jours ago
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
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Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
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Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
.
Projet soutenu par une bourse de production dans le cadre de la Chaire du NID portée par @hermes 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« À Mon Seul Désir » de Alix Cassagnes @m4x4s , diplômée en Design Textile Matière @dtm_ecoleartsdecoparis 
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« Mon processus de dessin est guidé par mes émotions, mes doutes et mes espoirs de perfection. Attirée par des beautés ornementales, fantaisistes, traditionnellement associées au féminin en Occident, je choisis un style figuratif travaillé et fidèle. Complexée, je l’utilise comme une armure solide et opaque, une façon de me protéger, d’exiger le respect. Extension de l’espace intime, le dessin se donne à voir dans la poésie de sa vulnérabilité́ et de ses faiblesses. J’ai le besoin de l’ancrer dans le textile pour traduire ma tendresse nostalgique et le rendre pérenne, ineffaçable. Je frotte, je joue avec la matière avant de l’imprimer ou de la tisser, je laisse des vides, je perturbe, comme pour prédire son effacement, la trace du temps. Je considère la technique comme un espace à soi, de mise à distance comme de rapprochement, une entité supérieure à laquelle se dévouer, s’offrir. Ma pratique est un espace d’introspection, et donc d’évolution, je projette tout de moi, de ma vie dans cette extension. Je la pense belle, sereine et accomplie. Je me nourris du pouvoir stimulant d’une œuvre infinie, la poésie du travail en suspens, d’une apparition partielle, chuchotée. » 
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
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« Et si on vivait dans une zone commerciale en chantier ? » de Auriane Severin @auriane_severin , diplômée en Architecture d’Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
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« Matérialisation spatiale emblématique de la société de consommation des années 1960, les zones commerciales posent aujourd'hui de nombreux problèmes (passoires thermiques, artificialisation massive des sols, usage de la voiture...), mais c'est surtout l'idéologie passéiste qu'elles incarnent qu'il convient d'interroger. Prônant un mode de vie basé sur la surconsommation de biens matériels censés nourrir l'épanouissement personnel et individuel, ces zones nourrissent un imaginaire totalement obsolète au vu des enjeux climatiques et sociétaux relatifs à notre époque. Ainsi, les ambitions étatiques de transformation des zones commerciales existantes et la construction de nouvelles zones plus "vertes" ne sont que des mesures à la marges ; c'est d'une remise en cause profonde de notre modèle de société dont il sera question ici. Et si, en réaction à la crise actuelle du logement, un soulèvement populaire occupait le chantier d'un projet d'extension d'une zone commerciale ? Entre revendications inhérentes aux ZAD et grandes utopies héritées du XXème siècle, imaginons ce que pourrait être la vie individuelle et collective au sein de ces méga-structures commerciales. »
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📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
.
🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
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♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
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🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
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🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
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🔎 Exposition Biennale Internationale du design de Saint-Etienne : Lou Ramage @lou.ramage et Eugénie Zuccarelli @eugeniezuc présenteront leur travail de recherche lors de l’exposition 
Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
.
🌱 Biennale Internationale Design Saint-Étienne
Exposition « Design des Territoires, Le lieu est la ressource » 
Du 22 mai au 6 juillet
📍Halles Barrouin, Saint-Étienne
📆. JUILLET– La programmation culturelle de l’Ecole : 
🌞 Exposition « La terre retombe au soleil »  du collectif Clome réunissant 12 artistes issu·es de @beauxartsparis et de l’École des Arts Décoratifs – PSL 
Du 2 au 19 juillet
📍La Supérette - Centre d’Art Contemporain de 
.
♻️ Forum France Additive 2025 X EnsadLab : prise de parole d’Aurélie Mosse, co-directrice du groupe Soft Matters d’@ensadlab 
Mercredi 2 juillet 
📍Telecom Physique Strasbourg 
.
🏢 Laboratoire PROJEKT X EnsadLab : présentation d’Audrey Brugnoli « Les petits designers urbains »
Mercredi 2 juillet 
📍Nîmes Université – École des Beaux-Arts de Nîmes 
.
🗺 Restitution Design des Territoires : présentation des projets et protocoles d’enquête lors d’un événement convivial dans chacun des territoires : insulaires, forestiers et montagneux. 
Du 2 au 10 juillet 
📍France 
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Du 22 mai au 6 juillet 
📍Halles Barrouin, Saint-Etienne 
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Du 22 mai au 6 juillet
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Du 2 au 19 juillet
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Du 2 au 10 juillet 
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[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2024]
« Espositos » de Merce Sellares Nadal dacuiin , diplômée en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
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« Serait-il sage d'abandonner l'éternel pour le bref ou d'échanger l'immense pour le petit ?
Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Les sœurs Descalzas (Déchaussées) diraient que non.
Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Ce couvent, perdu au fin fond de l'Espagne, cache les histoires d'un groupe de femmes qui vivent dans l'abstraction, à travers diverses pratiques dévotionnelles liées au culte de L'Enfant Jésus.
Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
Petits Époux est une compilation d'histoires courtes décrivant en bande-dessinée la vie de ce couvent pour le moins étonnant El Niño Perdidito (Le Petit Enfant Perdu) ouvre cette compilation : en ce jours quête de l’Enfant Perdu, tout le couvent est dessus-dessous. Sœur Purificación est bien décidée à dénicher le bébé la première, tandis que Sœur Angustias semble, elle, en proie à d’affreux questionnements existentiels. Comment finira cette journée au couvent des Descalzas ? »
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Le couvent abrite les Espositos (ou Petits Époux), des figures en bois peintes représentant l’Enfant Jesús sous différentes formes ; il y a l’Enfant Perdu, l’Enfant infirmier, l’Enfant concierge …
Et il n'est pas rare qu'entre les corvées, les prières et les occupations, les religieuses trouvent le temps d'assister les Petits Époux comme s'il s'agissait de leurs propres enfants, établissant ainsi une relation très intime avec eux.
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