JPO
Vendredi 31 janvier (13h à 21h) et Samedi 1er février 2025 (10h à 20h)
0
jours
0
hrs
0
min
0
sec
Inscription visite Ecole
Téléchargements
  • Brochure de l’Ecole des Arts Décoratifs, Paris
  • Cartographie et schéma des études
  • Règlement Concours 1
  • Règlement commission d’entrée en cours de cursus
  • Accueil
  • Vidéos
    • Visitez l’Ecole et ses ateliers
  • FAQ
  • Accueil
  • Vidéos
    • Visitez l’Ecole et ses ateliers
  • FAQ

Galerie

21/012021

« Bricologies Symbiotiques », Natalia Baudoin, Doctorante SACRe PSL, – Soft Matters / Symbiose –

Soft Matters, Symbiose

« Bricologies Symbiotiques », Natalia Baudoin, Doctorante SACRe PSL, – Soft Matters / Symbiose –

Direction de thèse : Jean-François Bassereau, Patrick Renaud

Partenaires :
SIDI Solidarité Internationale pour le Développement et l’Investissement.

L’artisanat, pratique vernaculaire dans les pays du Sud Global, constitue un véritable patrimoine culturel, en lien avec les cosmologies des communautés rurales et pauvres. Une grande partie de ces artisans ne parvient pas à subvenir aux besoins de leur famille, favorisant la désappropriation culturelle.

Le savoir vernaculaire n’est pas une pratique marginale ni d’un point de vue social ni économique. Au contraire, il revêt un fort potentiel économique lorsqu’on le croise avec d’autres pratiques comme le design. Sa profonde relation avec la cosmologie est une source d’inspiration d’importance à condition de mettre sur le même pied d’égalité artisans, designers et ingénieurs.

En savoir plus
luc
21/012021

« Tala Médical » Luc Perera, Doctorant SACRe PSL – Symbiose –

Symbiose

Tala Médical
Esthétique des sons carnatiques contemporains avec des dispositifs interactifs. Design sonore médical.
Luc Perera,  Doctorant SACRe PSL – Symbiose
Direction de thèse : Pierre Jouvelot, Patrick Renaud

Partenaires :
Hopital Paul Brousse
Mines Paris Tech PSL
Education nationale

 

Tala Box : dispositif mécatronique qui réagit aux rythmes carnatiques de la musique du Sud de l’Inde, son but étant de détendre des patients atteints de démence de type Alzheimer.

En savoir plus
20/012021

Présentation du groupe Formes du Mouvement

Formes du mouvement

Coordination : Serge Verny

 

Le mouvement relie le temps à l’espace et traverse différentes dimensions, physiques, perceptives et imaginaires.  Attribuer des formes aux mouvements, les répertorier, les classer, les comparer, les mettre en perspective les unes par rapport aux autres est l’objectif de ce groupe de recherche dont le résultat attendu est ambitieux : réaliser une cartographie des formes du mouvement accompagnée d’un lexique permettant de s’orienter dans une vision d’ensemble en offrant plusieurs points de vue.

En savoir plus
19/012021

« La création en actes » – ouvrage numérique

Plateforme Art, Design et Société

La création en actes. Enquête autour d’une exposition de Pierre di Sciullo​ ​est un ouvrage collectif​, publié et distribué sous forme numérique et interactive au format ePub par l’éditeur français Art Book Magazine​ dans la collection​ liteʁal​. L’ouvrage et la collection sont conçus au sein d’EnsadLab,​ le laboratoire de recherche en art et en design de l’École des Arts Décoratifs de Paris.

La création en acte

En savoir plus
Go for it JPO
19/012021

Module Création Recherche « Designing Symmetry : Design contre les inégalités »

MRC (Modules Recherche et Création)

Designing Symmetry : Design contre les inégalités

Module de recherche création collaboratif, interculturel et international. Les étudiants de l’ENSAD ont travaillé en équipes, à distance, avec des étudiants en design de l’Université Don Bosco de San Salvador pendant un semestre.

En travaillant avec et pour des communautés en situation de marge en France et au Salvador, les étudiants proposent des créations sensibles qui favorisent l’insertion, le vivre-ensemble et/ou la mise en place d’une économie solidaire ainsi que des solutions low-tech applicables à des contextes d’inégalités.  

En savoir plus
En glissant, il se métamorphose
18/012021

« Module de recherche et de création – Les formes du web »

MRC (Modules Recherche et Création)

Les formes du web
Module de Recherche Création, EnsAD, 2020

 

Ce Module de Recherche Création propose d’investir le navigateur web comme portail de création à travers un atelier collectif. Nous utilisons le web au quotidien et dans la majorité des cas, cette utilisation se limite à être un environnement de consultation. Pourtant, il peut aussi être un outil de création d’objets graphiques et interactifs pour les designers et les artistes. En s’initiant à certains langages du web (HTML, CSS, JavaScript), il s’agit d’explorer les possibilités créatives du Web à travers des notions associées à la culture numérique : web responsive, liquidité numérique, fontes variables, scripts, animations interactives, design paramétrique.

En savoir plus
18/012021

Aide à grands projets : « A hauteur d’assise » – Robin Bourgeois

Architecture intérieure, Chaire Mutation des vies étudiantes chaire, Chaire Mutation des Vies Etudiantes, Cnous, Crous, design objet, projets de diplômes 2020, revue Décor, Vie étudiante

Aide à grands projets : « A hauteur d’assise » – Robin Bourgeois

Dés sa création, la Chaire a participé au financement de diplômes de Master. Les projets sélectionnés travaillent sur des thématiques connexes avec les problématiques étudiées par la Chaire.

En savoir plus
Brice Ammar-Khodja, Blob Detection, 2019
18/012021

« Frictions (Im) Matérielles », Brice Ammar-Khodja, Doctorant SACRe PSL, Concordia, INDI Program – Reflective Interaction

Reflective Interaction

Frictions (Im) Matérielles : pour une expérience esthétique des données environnementales dans le cadre d’une pratique itérative de dispositifs artistiques.

Brice AMMAR-KHODJA, Doctorant SACRe PSL- EnsadLab / Reflective Interaction
Direction de thèse : Samuel Bianchini

Université Concordia, Montréal – INDI Program / Institut Milieux | Centre for Sensory Studies | Canada Excellence Research Chair Cluster in Next Generation Cities

En savoir plus
17/012021

Les capsules audio : recueillir la parole des étudiants et usagers

Chaire Mutation des vies étudiantes chaire, Chaire Mutation des Vies Etudiantes, Cnous, Crous, revue Décor, Vie étudiante

La Chaire développe une méthodologie en propre en recueillant des données la parole des acteurs des sites des CROUS. .

En savoir plus
visuel reflective interaction toaster
16/012021

« Un régime artistique et esthétique des communications entre machine : Faire environnement avec des objets à comportement » Olivain Porry, Doctorant SACRe PSL – Refective interaction

Reflective Interaction

« Un régime artistique et esthétique des communications entre machine : Faire environnement avec des objets à comportement »

Olivain Porry, Doctorant SACRe PSL – Refective interaction
Direction de thèse : Samuel Bianchini, Florent Levillain
CIFRE EnsadLab/Suricats

Avec la prolifération des objets-connectés et de l’informatique pervasive, de nouveaux paradigmes artistiques et esthétiques font leur apparition. La relation spectateur / objets / espace est désormais déplacée en une relation de systèmes à systèmes. Il s’agit d’explorer ce paradigme relationnel en créant des dispositifs artistiques distribués d’objets inter-communiquants. Les dispositifs que l’on se propose ici de créer se veulent à l’image du modèle qu’est l’internet des objets. Ils se caractérisent comme des systèmes d’objets communiquants disséminés dans l’espace et interactifs entre eux, l’environnement et le public en produisant, par leurs communications, un espace d’interaction spécifique. La pratique artistique, en tant qu’espace d’expérimentation des modalités de création et d’interaction qu’entretiennent spectateurs et œuvre mais également artiste et création, sont, avec les outils des sciences cognitives et des humanités numériques, des outils itératifs d’analyse et d’expérimentation des dispositifs. Ils font émerger les ressources pour penser des oeuvres d’art qui soient des systèmes d’objets multiples, échangeant entre eux et intégrant le spectateur dans leurs relations. Les oeuvres proposées ici sont des systèmes d’éléments connectés en réseaux capables, par leurs capacités de perception, de réaction et d’inter-communication, de réagir à l’espace et au spectateur.

Lien : https://reflectiveinteraction.ensadlab.fr/toasters/

 

En savoir plus
Nouvelles publications
Liens
www.ensad.fr
Contact : inscription.concours@ensad.fr

CGU
Politique de confidentialité

l'Ecole des Arts Décoratifs - PSL est un établissement public sous tutelle du Ministère de la Culture, et membre de l'Université PSL.

ENSADLAB LE LABORATOIRE DE RECHERCHE DE L’ÉCOLE
https://www.ensadlab.fr/
Instagram
ecoleartsdecoparis
@ecoleartsdecoparis
Follow
✨ Exposition Surface de réparation – Les axes et projets
🍸Vernissage Mardi 4 novembre | 19h–22h
📍Magasins Généraux @maggeneraux
🎧 DJ set : Mayou Picchu @mayoupicchu
Événement sur inscription : Lien en bio 👆

L’exposition Surface de réparation présente plus de 100 projets issus de trois années de recherche et création menées par la Chaire Écodesign & Création explorant comment le design peut répondre aux crises écologiques et sociales.

Sous le commissariat d’ @alice.audouin et une scénographie d’ @arter , les créations se déploient autour de cinq axes :
• Arpenter les usages : « défaire la linéarité du geste et habiter l’usage comme un territoire instable, traversé de récits, de pratiques vernaculaires et de détournements ». Chaque projet interroge l’adaptation des objets aux usages, aux climats et aux écosystèmes.

• Performer la matière : « explorer ses capacités intrinsèques, révéler sa singularité et réinventer notre manière d’interagir avec elle ». Les matériaux deviennent des agents actifs, porteurs de récits et de liens, mobilisant réemploi, transformation minimale et écologie de la décision.

• Habiter le soleil : « les objets et les espaces négocient la présence du soleil, tissant des architectures d’ombre et des interfaces sensibles entre corps, climat et espace ». Le design propose une cohabitation subtile avec la lumière et la chaleur.

• Gagner la coopération : « les objets sont des structures ouvertes, capables de maintenir, transformer ou réparer les liens entre vivants, humains et non-humains ». Le design devient un incubateur d’engagement, d’empathie et d’attention au bien commun.

• Futurs probables : « imaginer @DECATHLON dans vingt ans, c’est penser un futur où le sport devient une solution aux grands défis de notre époque ». Cette exploration invite à repenser nos modes de création et de production dans un monde régénératif, inclusif et respectueux du vivant.

crédits : collectif BEAUCOUP, Bérénice Lançon @lesyeux0ciel , Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
✨ Exposition Surface de réparation – Les axes et projets 🍸Vernissage Mardi 4 novembre | 19h–22h 📍Magasins Généraux @maggeneraux 🎧 DJ set : Mayou Picchu @mayoupicchu Événement sur inscription : Lien en bio 👆 L’exposition Surface de réparation présente plus de 100 projets issus de trois années de recherche et création menées par la Chaire Écodesign & Création explorant comment le design peut répondre aux crises écologiques et sociales. Sous le commissariat d’ @alice.audouin et une scénographie d’ @arter , les créations se déploient autour de cinq axes : • Arpenter les usages : « défaire la linéarité du geste et habiter l’usage comme un territoire instable, traversé de récits, de pratiques vernaculaires et de détournements ». Chaque projet interroge l’adaptation des objets aux usages, aux climats et aux écosystèmes. • Performer la matière : « explorer ses capacités intrinsèques, révéler sa singularité et réinventer notre manière d’interagir avec elle ». Les matériaux deviennent des agents actifs, porteurs de récits et de liens, mobilisant réemploi, transformation minimale et écologie de la décision. • Habiter le soleil : « les objets et les espaces négocient la présence du soleil, tissant des architectures d’ombre et des interfaces sensibles entre corps, climat et espace ». Le design propose une cohabitation subtile avec la lumière et la chaleur. • Gagner la coopération : « les objets sont des structures ouvertes, capables de maintenir, transformer ou réparer les liens entre vivants, humains et non-humains ». Le design devient un incubateur d’engagement, d’empathie et d’attention au bien commun. • Futurs probables : « imaginer @DECATHLON dans vingt ans, c’est penser un futur où le sport devient une solution aux grands défis de notre époque ». Cette exploration invite à repenser nos modes de création et de production dans un monde régénératif, inclusif et respectueux du vivant. crédits : collectif BEAUCOUP, Bérénice Lançon @lesyeux0ciel , Béryl Libault @beryl_libault
2 jours ago
View on Instagram |
1/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957)
L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation.
L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies.
C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957)
L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation.
L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies.
C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957)
L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation.
L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies.
C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957)
L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation.
L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies.
C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957)
L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation.
L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies.
C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957)
L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation.
L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies.
C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957)
L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation.
L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies.
C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957)
L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation.
L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies.
C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957)
L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation.
L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies.
C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis 
.
Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957)
L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation.
L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies.
C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées.
.
Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Entresol » de Alice Bera @alice_bera , diplômée en Art-Espace @artespace_ecoleartsdecoparis . Entresol – « Il semble que l’image de la maison devienne la topographie de notre être intime. Non seulement nos souvenirs, mais nos oublis sont logés. » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, 1957) L’artiste a une affinité pour les espaces ignorés dans la maison. Ces lieux libérés d’une présence humaine, qui salit, nettoie et range. Les choses ne sont pas oubliées, mais relâchées dans la nature : le fromage peut devenir dur comme la pierre et le bois se calcifie. L’abandon appelle la minéralité ; la poussière et le passage du temps sont les acteurs de cette transformation. L’artiste est à la recherche de cet état intermédiaire de la forme, une impression d’inachevé qui appelle un dénouement prochain. Elle investit le terrain du non spécifique, mais il y a une gradation dans l’échelle de l’innommable : certaines sculptures traduisent une évidence d’image, quand d’autres appellent un cortège d’impressions indéfinies. C’est le trajet que les objets accomplissent hors des profondeurs de ces recoins cachés qui laisse des marques. La maison est pleine de plis où se réfugient des apparitions ayant recouvert l’aspect d’une temporalité ancienne. Elles sont partiellement recouvertes d’une patine colorée, imparfaitement poncées et insuffisamment creusées. . Crédits photos : Mathieu Faluomi @mathieuphotographe05
3 jours ago
View on Instagram |
2/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste.
À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue.
Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire.
La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ».
Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel.
L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste.
À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue.
Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire.
La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ».
Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel.
L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste.
À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue.
Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire.
La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ».
Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel.
L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste.
À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue.
Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire.
La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ».
Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel.
L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste.
À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue.
Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire.
La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ».
Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel.
L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste.
À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue.
Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire.
La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ».
Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel.
L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste.
À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue.
Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire.
La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ».
Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel.
L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste.
À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue.
Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire.
La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ».
Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel.
L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste.
À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue.
Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire.
La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ».
Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel.
L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste.
À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue.
Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire.
La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ».
Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel.
L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. 
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Rejouer la Courtepaille, détourner l’obsolescence d’une architecture-décor » de Églantine Lauret @elauret.archi , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . Comment déjouer l’obsolescence programmée d’un modèle franchisé devenu symbole d’une société de consommation rapide ? Courtepaille, architecture hors sol et répliquée, abandonnée après le retrait de sa franchise, incarne cette culture consumériste. À Pantin, sur une parcelle sous forte pression foncière, ce modèle conçu pour la vitesse des bords de route se confronte aux limites mouvantes de la banlieue. Le projet détourne ce symbole jetable pour en faire une intervention manifeste pérenne. Il s’infiltre dans le bâti, subvertit usages et image, interrogeant son rapport au temps et au territoire. La halte de jour instaure une pause, évite l’invisibilisation des plus fragiles et valorise la dignité. L’architecture s’inscrit dans une posture de « care ». Les codes du foyer artificiel véhiculés par Courtepaille sont réutilisés pour créer un foyer réel. L’architecture dépasse le décor pour devenir un socle d’urbanité, affirmant sa responsabilité à concevoir des villes inclusives et accueillantes. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
6 jours ago
View on Instagram |
3/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco 
.
Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Prendre le pli des pierres » de Ève Briand, diplômée en Design Graphique @designgraphique_ecoleartsdeco . Il y a quelque chose de primordial dans l’acte de voir. Avant de dire, d’écrire, de désigner, il y a cette première attention au monde. Le regard, dans sa simplicité physique, isole, cadre, distingue. Il trace déjà une première forme silencieuse. Prendre le pli des pierres est un exercice de regard sur trois sujets : des galets, du marbre de Carrare et du micaschiste. À travers des objets, des outils pour les explorer, je trace le passage entre l’œil, la main et la pensée. Comment le regard peut-il transformer un sujet en langage formel ? Comment une pierre devient-elle nuancier, livre, poussière, ou encore artefact ? Dans un monde saturé d’images, je porte mon regard sur celles des communs, fragments premiers de notre monde. Nous les isolons pour mieux les voir, pour mieux éprouver leur matière, leurs nuances, et comprendre ce que le regard y cherche ou y dépose. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
1 semaine ago
View on Instagram |
4/9
📆 OCTOBRE– La programmation culturelle de l’École :
♻️ « Inconnu à l'adresse indiquée » : Exposition collective issue d'un workshop des étudiant•es du secteur @artespace_ecoleartsdecoparis 
Du 27 septembre au 11 octobre
Entrée libre du mercredi au samedi, de 14h à 19h 
📍 CAUE92 – la Galerie, Nanterre 
.
🧪Villages des sciences PSL X EnsadLab : Dans le cadre de la Fête de la Science, 3 doctorant·es SACRe-PSL,@sophie_larger , @lea_tricaud et Axel Belin, proposeront des ateliers au Village des Sciences. 
@psl_univ @ensadlab
5 octobre, entrée libre de 11h à 18h 
📍 Place Maubert, Paris Ve
.
📖Journée d'études autour du travail scénographique d'Anna Viebrock @annaviebrock
8 octobre, 9h30–17h
@sceno_ecoleartsdecoparis @l_entour_org
📍 École des Arts Décoratifs-PSL 
. 
☀️« Oscillation » : Exposition collective produite en partenariat par le @centreculturelcanadien et le groupe de recherche Reflective Interaction d’ @ensadlab dans le cadre de la @biennalenemo
Co-commissariat de Samuel Bianchini dispotheque
Du 16 octobre 2025 au 16 janvier 2026
Entrée libre du lundi au vendredi, de 10h à 18h 
📍 Centre Culturel Canadien, Paris VIIIe
.
✒️ Alumni : Lisa Derocle Ho-Léong @botedesiles_ a imaginé un timbre célébrant le centenaire des arts décos et sera en dédicace, à cette occasion, au Carré d’Encre. 17 octobre, 10h30 
📍 Le Carré d’Encre, Paris IXe 
.
💫 Nouveaux Imaginaires du Dessin - « Les vies du dessin » : Restitution du workshop menées par les élèves de La Renverse, avec les artistes Hedi & Thami Nabil. @larenverse93
23 octobre, 18h30 
Sur inscription 
📍 La Renverse, Saint-Ouen-sur-Seine
📆 OCTOBRE– La programmation culturelle de l’École :
♻️ « Inconnu à l'adresse indiquée » : Exposition collective issue d'un workshop des étudiant•es du secteur @artespace_ecoleartsdecoparis 
Du 27 septembre au 11 octobre
Entrée libre du mercredi au samedi, de 14h à 19h 
📍 CAUE92 – la Galerie, Nanterre 
.
🧪Villages des sciences PSL X EnsadLab : Dans le cadre de la Fête de la Science, 3 doctorant·es SACRe-PSL,@sophie_larger , @lea_tricaud et Axel Belin, proposeront des ateliers au Village des Sciences. 
@psl_univ @ensadlab
5 octobre, entrée libre de 11h à 18h 
📍 Place Maubert, Paris Ve
.
📖Journée d'études autour du travail scénographique d'Anna Viebrock @annaviebrock
8 octobre, 9h30–17h
@sceno_ecoleartsdecoparis @l_entour_org
📍 École des Arts Décoratifs-PSL 
. 
☀️« Oscillation » : Exposition collective produite en partenariat par le @centreculturelcanadien et le groupe de recherche Reflective Interaction d’ @ensadlab dans le cadre de la @biennalenemo
Co-commissariat de Samuel Bianchini dispotheque
Du 16 octobre 2025 au 16 janvier 2026
Entrée libre du lundi au vendredi, de 10h à 18h 
📍 Centre Culturel Canadien, Paris VIIIe
.
✒️ Alumni : Lisa Derocle Ho-Léong @botedesiles_ a imaginé un timbre célébrant le centenaire des arts décos et sera en dédicace, à cette occasion, au Carré d’Encre. 17 octobre, 10h30 
📍 Le Carré d’Encre, Paris IXe 
.
💫 Nouveaux Imaginaires du Dessin - « Les vies du dessin » : Restitution du workshop menées par les élèves de La Renverse, avec les artistes Hedi & Thami Nabil. @larenverse93
23 octobre, 18h30 
Sur inscription 
📍 La Renverse, Saint-Ouen-sur-Seine
📆 OCTOBRE– La programmation culturelle de l’École :
♻️ « Inconnu à l'adresse indiquée » : Exposition collective issue d'un workshop des étudiant•es du secteur @artespace_ecoleartsdecoparis 
Du 27 septembre au 11 octobre
Entrée libre du mercredi au samedi, de 14h à 19h 
📍 CAUE92 – la Galerie, Nanterre 
.
🧪Villages des sciences PSL X EnsadLab : Dans le cadre de la Fête de la Science, 3 doctorant·es SACRe-PSL,@sophie_larger , @lea_tricaud et Axel Belin, proposeront des ateliers au Village des Sciences. 
@psl_univ @ensadlab
5 octobre, entrée libre de 11h à 18h 
📍 Place Maubert, Paris Ve
.
📖Journée d'études autour du travail scénographique d'Anna Viebrock @annaviebrock
8 octobre, 9h30–17h
@sceno_ecoleartsdecoparis @l_entour_org
📍 École des Arts Décoratifs-PSL 
. 
☀️« Oscillation » : Exposition collective produite en partenariat par le @centreculturelcanadien et le groupe de recherche Reflective Interaction d’ @ensadlab dans le cadre de la @biennalenemo
Co-commissariat de Samuel Bianchini dispotheque
Du 16 octobre 2025 au 16 janvier 2026
Entrée libre du lundi au vendredi, de 10h à 18h 
📍 Centre Culturel Canadien, Paris VIIIe
.
✒️ Alumni : Lisa Derocle Ho-Léong @botedesiles_ a imaginé un timbre célébrant le centenaire des arts décos et sera en dédicace, à cette occasion, au Carré d’Encre. 17 octobre, 10h30 
📍 Le Carré d’Encre, Paris IXe 
.
💫 Nouveaux Imaginaires du Dessin - « Les vies du dessin » : Restitution du workshop menées par les élèves de La Renverse, avec les artistes Hedi & Thami Nabil. @larenverse93
23 octobre, 18h30 
Sur inscription 
📍 La Renverse, Saint-Ouen-sur-Seine
📆 OCTOBRE– La programmation culturelle de l’École :
♻️ « Inconnu à l'adresse indiquée » : Exposition collective issue d'un workshop des étudiant•es du secteur @artespace_ecoleartsdecoparis 
Du 27 septembre au 11 octobre
Entrée libre du mercredi au samedi, de 14h à 19h 
📍 CAUE92 – la Galerie, Nanterre 
.
🧪Villages des sciences PSL X EnsadLab : Dans le cadre de la Fête de la Science, 3 doctorant·es SACRe-PSL,@sophie_larger , @lea_tricaud et Axel Belin, proposeront des ateliers au Village des Sciences. 
@psl_univ @ensadlab
5 octobre, entrée libre de 11h à 18h 
📍 Place Maubert, Paris Ve
.
📖Journée d'études autour du travail scénographique d'Anna Viebrock @annaviebrock
8 octobre, 9h30–17h
@sceno_ecoleartsdecoparis @l_entour_org
📍 École des Arts Décoratifs-PSL 
. 
☀️« Oscillation » : Exposition collective produite en partenariat par le @centreculturelcanadien et le groupe de recherche Reflective Interaction d’ @ensadlab dans le cadre de la @biennalenemo
Co-commissariat de Samuel Bianchini dispotheque
Du 16 octobre 2025 au 16 janvier 2026
Entrée libre du lundi au vendredi, de 10h à 18h 
📍 Centre Culturel Canadien, Paris VIIIe
.
✒️ Alumni : Lisa Derocle Ho-Léong @botedesiles_ a imaginé un timbre célébrant le centenaire des arts décos et sera en dédicace, à cette occasion, au Carré d’Encre. 17 octobre, 10h30 
📍 Le Carré d’Encre, Paris IXe 
.
💫 Nouveaux Imaginaires du Dessin - « Les vies du dessin » : Restitution du workshop menées par les élèves de La Renverse, avec les artistes Hedi & Thami Nabil. @larenverse93
23 octobre, 18h30 
Sur inscription 
📍 La Renverse, Saint-Ouen-sur-Seine
📆 OCTOBRE– La programmation culturelle de l’École :
♻️ « Inconnu à l'adresse indiquée » : Exposition collective issue d'un workshop des étudiant•es du secteur @artespace_ecoleartsdecoparis 
Du 27 septembre au 11 octobre
Entrée libre du mercredi au samedi, de 14h à 19h 
📍 CAUE92 – la Galerie, Nanterre 
.
🧪Villages des sciences PSL X EnsadLab : Dans le cadre de la Fête de la Science, 3 doctorant·es SACRe-PSL,@sophie_larger , @lea_tricaud et Axel Belin, proposeront des ateliers au Village des Sciences. 
@psl_univ @ensadlab
5 octobre, entrée libre de 11h à 18h 
📍 Place Maubert, Paris Ve
.
📖Journée d'études autour du travail scénographique d'Anna Viebrock @annaviebrock
8 octobre, 9h30–17h
@sceno_ecoleartsdecoparis @l_entour_org
📍 École des Arts Décoratifs-PSL 
. 
☀️« Oscillation » : Exposition collective produite en partenariat par le @centreculturelcanadien et le groupe de recherche Reflective Interaction d’ @ensadlab dans le cadre de la @biennalenemo
Co-commissariat de Samuel Bianchini dispotheque
Du 16 octobre 2025 au 16 janvier 2026
Entrée libre du lundi au vendredi, de 10h à 18h 
📍 Centre Culturel Canadien, Paris VIIIe
.
✒️ Alumni : Lisa Derocle Ho-Léong @botedesiles_ a imaginé un timbre célébrant le centenaire des arts décos et sera en dédicace, à cette occasion, au Carré d’Encre. 17 octobre, 10h30 
📍 Le Carré d’Encre, Paris IXe 
.
💫 Nouveaux Imaginaires du Dessin - « Les vies du dessin » : Restitution du workshop menées par les élèves de La Renverse, avec les artistes Hedi & Thami Nabil. @larenverse93
23 octobre, 18h30 
Sur inscription 
📍 La Renverse, Saint-Ouen-sur-Seine
📆 OCTOBRE– La programmation culturelle de l’École :
♻️ « Inconnu à l'adresse indiquée » : Exposition collective issue d'un workshop des étudiant•es du secteur @artespace_ecoleartsdecoparis 
Du 27 septembre au 11 octobre
Entrée libre du mercredi au samedi, de 14h à 19h 
📍 CAUE92 – la Galerie, Nanterre 
.
🧪Villages des sciences PSL X EnsadLab : Dans le cadre de la Fête de la Science, 3 doctorant·es SACRe-PSL,@sophie_larger , @lea_tricaud et Axel Belin, proposeront des ateliers au Village des Sciences. 
@psl_univ @ensadlab
5 octobre, entrée libre de 11h à 18h 
📍 Place Maubert, Paris Ve
.
📖Journée d'études autour du travail scénographique d'Anna Viebrock @annaviebrock
8 octobre, 9h30–17h
@sceno_ecoleartsdecoparis @l_entour_org
📍 École des Arts Décoratifs-PSL 
. 
☀️« Oscillation » : Exposition collective produite en partenariat par le @centreculturelcanadien et le groupe de recherche Reflective Interaction d’ @ensadlab dans le cadre de la @biennalenemo
Co-commissariat de Samuel Bianchini dispotheque
Du 16 octobre 2025 au 16 janvier 2026
Entrée libre du lundi au vendredi, de 10h à 18h 
📍 Centre Culturel Canadien, Paris VIIIe
.
✒️ Alumni : Lisa Derocle Ho-Léong @botedesiles_ a imaginé un timbre célébrant le centenaire des arts décos et sera en dédicace, à cette occasion, au Carré d’Encre. 17 octobre, 10h30 
📍 Le Carré d’Encre, Paris IXe 
.
💫 Nouveaux Imaginaires du Dessin - « Les vies du dessin » : Restitution du workshop menées par les élèves de La Renverse, avec les artistes Hedi & Thami Nabil. @larenverse93
23 octobre, 18h30 
Sur inscription 
📍 La Renverse, Saint-Ouen-sur-Seine
📆 OCTOBRE– La programmation culturelle de l’École :
♻️ « Inconnu à l'adresse indiquée » : Exposition collective issue d'un workshop des étudiant•es du secteur @artespace_ecoleartsdecoparis 
Du 27 septembre au 11 octobre
Entrée libre du mercredi au samedi, de 14h à 19h 
📍 CAUE92 – la Galerie, Nanterre 
.
🧪Villages des sciences PSL X EnsadLab : Dans le cadre de la Fête de la Science, 3 doctorant·es SACRe-PSL,@sophie_larger , @lea_tricaud et Axel Belin, proposeront des ateliers au Village des Sciences. 
@psl_univ @ensadlab
5 octobre, entrée libre de 11h à 18h 
📍 Place Maubert, Paris Ve
.
📖Journée d'études autour du travail scénographique d'Anna Viebrock @annaviebrock
8 octobre, 9h30–17h
@sceno_ecoleartsdecoparis @l_entour_org
📍 École des Arts Décoratifs-PSL 
. 
☀️« Oscillation » : Exposition collective produite en partenariat par le @centreculturelcanadien et le groupe de recherche Reflective Interaction d’ @ensadlab dans le cadre de la @biennalenemo
Co-commissariat de Samuel Bianchini dispotheque
Du 16 octobre 2025 au 16 janvier 2026
Entrée libre du lundi au vendredi, de 10h à 18h 
📍 Centre Culturel Canadien, Paris VIIIe
.
✒️ Alumni : Lisa Derocle Ho-Léong @botedesiles_ a imaginé un timbre célébrant le centenaire des arts décos et sera en dédicace, à cette occasion, au Carré d’Encre. 17 octobre, 10h30 
📍 Le Carré d’Encre, Paris IXe 
.
💫 Nouveaux Imaginaires du Dessin - « Les vies du dessin » : Restitution du workshop menées par les élèves de La Renverse, avec les artistes Hedi & Thami Nabil. @larenverse93
23 octobre, 18h30 
Sur inscription 
📍 La Renverse, Saint-Ouen-sur-Seine
📆 OCTOBRE– La programmation culturelle de l’École :
♻️ « Inconnu à l'adresse indiquée » : Exposition collective issue d'un workshop des étudiant•es du secteur @artespace_ecoleartsdecoparis 
Du 27 septembre au 11 octobre
Entrée libre du mercredi au samedi, de 14h à 19h 
📍 CAUE92 – la Galerie, Nanterre 
.
🧪Villages des sciences PSL X EnsadLab : Dans le cadre de la Fête de la Science, 3 doctorant·es SACRe-PSL,@sophie_larger , @lea_tricaud et Axel Belin, proposeront des ateliers au Village des Sciences. 
@psl_univ @ensadlab
5 octobre, entrée libre de 11h à 18h 
📍 Place Maubert, Paris Ve
.
📖Journée d'études autour du travail scénographique d'Anna Viebrock @annaviebrock
8 octobre, 9h30–17h
@sceno_ecoleartsdecoparis @l_entour_org
📍 École des Arts Décoratifs-PSL 
. 
☀️« Oscillation » : Exposition collective produite en partenariat par le @centreculturelcanadien et le groupe de recherche Reflective Interaction d’ @ensadlab dans le cadre de la @biennalenemo
Co-commissariat de Samuel Bianchini dispotheque
Du 16 octobre 2025 au 16 janvier 2026
Entrée libre du lundi au vendredi, de 10h à 18h 
📍 Centre Culturel Canadien, Paris VIIIe
.
✒️ Alumni : Lisa Derocle Ho-Léong @botedesiles_ a imaginé un timbre célébrant le centenaire des arts décos et sera en dédicace, à cette occasion, au Carré d’Encre. 17 octobre, 10h30 
📍 Le Carré d’Encre, Paris IXe 
.
💫 Nouveaux Imaginaires du Dessin - « Les vies du dessin » : Restitution du workshop menées par les élèves de La Renverse, avec les artistes Hedi & Thami Nabil. @larenverse93
23 octobre, 18h30 
Sur inscription 
📍 La Renverse, Saint-Ouen-sur-Seine
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
📆 OCTOBRE– La programmation culturelle de l’École : ♻️ « Inconnu à l'adresse indiquée » : Exposition collective issue d'un workshop des étudiant•es du secteur @artespace_ecoleartsdecoparis Du 27 septembre au 11 octobre Entrée libre du mercredi au samedi, de 14h à 19h 📍 CAUE92 – la Galerie, Nanterre . 🧪Villages des sciences PSL X EnsadLab : Dans le cadre de la Fête de la Science, 3 doctorant·es SACRe-PSL,@sophie_larger , @lea_tricaud et Axel Belin, proposeront des ateliers au Village des Sciences. @psl_univ @ensadlab 5 octobre, entrée libre de 11h à 18h 📍 Place Maubert, Paris Ve . 📖Journée d'études autour du travail scénographique d'Anna Viebrock @annaviebrock 8 octobre, 9h30–17h @sceno_ecoleartsdecoparis @l_entour_org 📍 École des Arts Décoratifs-PSL . ☀️« Oscillation » : Exposition collective produite en partenariat par le @centreculturelcanadien et le groupe de recherche Reflective Interaction d’ @ensadlab dans le cadre de la @biennalenemo Co-commissariat de Samuel Bianchini dispotheque Du 16 octobre 2025 au 16 janvier 2026 Entrée libre du lundi au vendredi, de 10h à 18h 📍 Centre Culturel Canadien, Paris VIIIe . ✒️ Alumni : Lisa Derocle Ho-Léong @botedesiles_ a imaginé un timbre célébrant le centenaire des arts décos et sera en dédicace, à cette occasion, au Carré d’Encre. 17 octobre, 10h30 📍 Le Carré d’Encre, Paris IXe . 💫 Nouveaux Imaginaires du Dessin - « Les vies du dessin » : Restitution du workshop menées par les élèves de La Renverse, avec les artistes Hedi & Thami Nabil. @larenverse93 23 octobre, 18h30 Sur inscription 📍 La Renverse, Saint-Ouen-sur-Seine
1 semaine ago
View on Instagram |
5/9
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID 
Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion.
.
A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement.
Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator  avec le soutien de la maison @hermes 

Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID 
Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion.
.
A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement.
Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator  avec le soutien de la maison @hermes 

Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID 
Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion.
.
A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement.
Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator  avec le soutien de la maison @hermes 

Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID 
Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion.
.
A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement.
Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator  avec le soutien de la maison @hermes 

Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID 
Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion.
.
A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement.
Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator  avec le soutien de la maison @hermes 

Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID 
Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion.
.
A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement.
Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator  avec le soutien de la maison @hermes 

Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID 
Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion.
.
A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement.
Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator  avec le soutien de la maison @hermes 

Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID 
Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion.
.
A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement.
Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator  avec le soutien de la maison @hermes 

Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID 
Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion.
.
A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement.
Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator  avec le soutien de la maison @hermes 

Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID 
Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion.
.
A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement.
Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator  avec le soutien de la maison @hermes 

Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[Le NID] Retour en image sur le Voyage d’étude du NID Depuis 3 ans, le NID – Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin, invite les étudiant·es de 1ʳᵉ année de l’École des Arts Décoratifs-PSL à explorer le dessin en immersion. . A la rentrée 2025, le voyage d’étude s’est déroulé dans le Haut-Jura et à Genève : quatre jours pour observer les paysages qui ont tant inspiré Gustave Courbet, découvrir les expositions du Musée des Beaux-Arts de Besançon, du Musée Courbet à Ornans et du Musée d’art et d’histoire de Genève, et expérimenter le dessin comme pratique vivante et en mouvement. Ce temps fort s’inscrit dans le cycle annuel du NID, qui accompagne et révèle les talents émergents du dessin grâce à un programme de workshops, de bourses et de mentorat, dont la programmation est assurée par @alexandrafaucurator avec le soutien de la maison @hermes Crédits photos : Théo Etrillard @theoetrillard
1 semaine ago
View on Instagram |
6/9
✨ Surface de Réparation – Design pour un monde meilleur ✨
.
📅 Vernissage Grand Public : mardi 4 novembre, 19h
📍 Magasins Généraux – 1 Rue de l’Ancien Canal, 93500 Pantin
🎶 Soirée d’ouverture : 19h-22h, DJ set de @mayoupicchu
RSVP obligatoire.
.
Du 5 au 16 novembre 2025, l’@ecoleartsdecoparis et @decathlon présentent Surface de réparation : trois années d'exploration de l'urgence écologique par le design, menées par la Chaire Écodesign & Création.
.
À l’instar de la zone décisive du terrain de football dont elle emprunte le nom, Surface de réparation désigne un espace de vérité où se jouent les possibles. Face à la crise écologique, la nouvelle génération de designers formée à l’École et les équipes de l’Advanced Innovation de DECATHLON explorent la réparation non comme un retour en arrière ou la correction d’une faute, mais comme un acte de soin, de coopération et de résistance.
.
Sous l'impulsion de @nathalie.guiot membre du comité de transition écologique de DECATHLON (2020-23), et de Sébastien Haquet, directeur de l'Advanced Innovation, l'exposition révèle, sous le commissariat d’@alice.audouin et dans une scénographie éco-conçue par @arter les propositions transformatrices de 150 étudiant·es et chercheur·euses, déployées en quatre chapitres :
👉 Arpenter les usages
👉 Performer la matière
👉 Habiter le soleil
👉 Gagner la coopération
…complétés par Futurs Probables, une ouverture sur les solutions prospectives développées par l’Advanced Innovation de DECATHLON.
.
📍 Exposition : 5–16 novembre, mer–dim, 14h–19h
→ Visite guidée par Alice Audouin : vendredi 7 et samedi 8 novembre, 14h
→ Ateliers en famille les week-ends, gratuit sur réservation
✨ Surface de Réparation – Design pour un monde meilleur ✨
.
📅 Vernissage Grand Public : mardi 4 novembre, 19h
📍 Magasins Généraux – 1 Rue de l’Ancien Canal, 93500 Pantin
🎶 Soirée d’ouverture : 19h-22h, DJ set de @mayoupicchu
RSVP obligatoire.
.
Du 5 au 16 novembre 2025, l’@ecoleartsdecoparis et @decathlon présentent Surface de réparation : trois années d'exploration de l'urgence écologique par le design, menées par la Chaire Écodesign & Création.
.
À l’instar de la zone décisive du terrain de football dont elle emprunte le nom, Surface de réparation désigne un espace de vérité où se jouent les possibles. Face à la crise écologique, la nouvelle génération de designers formée à l’École et les équipes de l’Advanced Innovation de DECATHLON explorent la réparation non comme un retour en arrière ou la correction d’une faute, mais comme un acte de soin, de coopération et de résistance.
.
Sous l'impulsion de @nathalie.guiot membre du comité de transition écologique de DECATHLON (2020-23), et de Sébastien Haquet, directeur de l'Advanced Innovation, l'exposition révèle, sous le commissariat d’@alice.audouin et dans une scénographie éco-conçue par @arter les propositions transformatrices de 150 étudiant·es et chercheur·euses, déployées en quatre chapitres :
👉 Arpenter les usages
👉 Performer la matière
👉 Habiter le soleil
👉 Gagner la coopération
…complétés par Futurs Probables, une ouverture sur les solutions prospectives développées par l’Advanced Innovation de DECATHLON.
.
📍 Exposition : 5–16 novembre, mer–dim, 14h–19h
→ Visite guidée par Alice Audouin : vendredi 7 et samedi 8 novembre, 14h
→ Ateliers en famille les week-ends, gratuit sur réservation
✨ Surface de Réparation – Design pour un monde meilleur ✨
.
📅 Vernissage Grand Public : mardi 4 novembre, 19h
📍 Magasins Généraux – 1 Rue de l’Ancien Canal, 93500 Pantin
🎶 Soirée d’ouverture : 19h-22h, DJ set de @mayoupicchu
RSVP obligatoire.
.
Du 5 au 16 novembre 2025, l’@ecoleartsdecoparis et @decathlon présentent Surface de réparation : trois années d'exploration de l'urgence écologique par le design, menées par la Chaire Écodesign & Création.
.
À l’instar de la zone décisive du terrain de football dont elle emprunte le nom, Surface de réparation désigne un espace de vérité où se jouent les possibles. Face à la crise écologique, la nouvelle génération de designers formée à l’École et les équipes de l’Advanced Innovation de DECATHLON explorent la réparation non comme un retour en arrière ou la correction d’une faute, mais comme un acte de soin, de coopération et de résistance.
.
Sous l'impulsion de @nathalie.guiot membre du comité de transition écologique de DECATHLON (2020-23), et de Sébastien Haquet, directeur de l'Advanced Innovation, l'exposition révèle, sous le commissariat d’@alice.audouin et dans une scénographie éco-conçue par @arter les propositions transformatrices de 150 étudiant·es et chercheur·euses, déployées en quatre chapitres :
👉 Arpenter les usages
👉 Performer la matière
👉 Habiter le soleil
👉 Gagner la coopération
…complétés par Futurs Probables, une ouverture sur les solutions prospectives développées par l’Advanced Innovation de DECATHLON.
.
📍 Exposition : 5–16 novembre, mer–dim, 14h–19h
→ Visite guidée par Alice Audouin : vendredi 7 et samedi 8 novembre, 14h
→ Ateliers en famille les week-ends, gratuit sur réservation
✨ Surface de Réparation – Design pour un monde meilleur ✨
.
📅 Vernissage Grand Public : mardi 4 novembre, 19h
📍 Magasins Généraux – 1 Rue de l’Ancien Canal, 93500 Pantin
🎶 Soirée d’ouverture : 19h-22h, DJ set de @mayoupicchu
RSVP obligatoire.
.
Du 5 au 16 novembre 2025, l’@ecoleartsdecoparis et @decathlon présentent Surface de réparation : trois années d'exploration de l'urgence écologique par le design, menées par la Chaire Écodesign & Création.
.
À l’instar de la zone décisive du terrain de football dont elle emprunte le nom, Surface de réparation désigne un espace de vérité où se jouent les possibles. Face à la crise écologique, la nouvelle génération de designers formée à l’École et les équipes de l’Advanced Innovation de DECATHLON explorent la réparation non comme un retour en arrière ou la correction d’une faute, mais comme un acte de soin, de coopération et de résistance.
.
Sous l'impulsion de @nathalie.guiot membre du comité de transition écologique de DECATHLON (2020-23), et de Sébastien Haquet, directeur de l'Advanced Innovation, l'exposition révèle, sous le commissariat d’@alice.audouin et dans une scénographie éco-conçue par @arter les propositions transformatrices de 150 étudiant·es et chercheur·euses, déployées en quatre chapitres :
👉 Arpenter les usages
👉 Performer la matière
👉 Habiter le soleil
👉 Gagner la coopération
…complétés par Futurs Probables, une ouverture sur les solutions prospectives développées par l’Advanced Innovation de DECATHLON.
.
📍 Exposition : 5–16 novembre, mer–dim, 14h–19h
→ Visite guidée par Alice Audouin : vendredi 7 et samedi 8 novembre, 14h
→ Ateliers en famille les week-ends, gratuit sur réservation
✨ Surface de Réparation – Design pour un monde meilleur ✨
.
📅 Vernissage Grand Public : mardi 4 novembre, 19h
📍 Magasins Généraux – 1 Rue de l’Ancien Canal, 93500 Pantin
🎶 Soirée d’ouverture : 19h-22h, DJ set de @mayoupicchu
RSVP obligatoire.
.
Du 5 au 16 novembre 2025, l’@ecoleartsdecoparis et @decathlon présentent Surface de réparation : trois années d'exploration de l'urgence écologique par le design, menées par la Chaire Écodesign & Création.
.
À l’instar de la zone décisive du terrain de football dont elle emprunte le nom, Surface de réparation désigne un espace de vérité où se jouent les possibles. Face à la crise écologique, la nouvelle génération de designers formée à l’École et les équipes de l’Advanced Innovation de DECATHLON explorent la réparation non comme un retour en arrière ou la correction d’une faute, mais comme un acte de soin, de coopération et de résistance.
.
Sous l'impulsion de @nathalie.guiot membre du comité de transition écologique de DECATHLON (2020-23), et de Sébastien Haquet, directeur de l'Advanced Innovation, l'exposition révèle, sous le commissariat d’@alice.audouin et dans une scénographie éco-conçue par @arter les propositions transformatrices de 150 étudiant·es et chercheur·euses, déployées en quatre chapitres :
👉 Arpenter les usages
👉 Performer la matière
👉 Habiter le soleil
👉 Gagner la coopération
…complétés par Futurs Probables, une ouverture sur les solutions prospectives développées par l’Advanced Innovation de DECATHLON.
.
📍 Exposition : 5–16 novembre, mer–dim, 14h–19h
→ Visite guidée par Alice Audouin : vendredi 7 et samedi 8 novembre, 14h
→ Ateliers en famille les week-ends, gratuit sur réservation
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
✨ Surface de Réparation – Design pour un monde meilleur ✨ . 📅 Vernissage Grand Public : mardi 4 novembre, 19h 📍 Magasins Généraux – 1 Rue de l’Ancien Canal, 93500 Pantin 🎶 Soirée d’ouverture : 19h-22h, DJ set de @mayoupicchu RSVP obligatoire. . Du 5 au 16 novembre 2025, l’@ecoleartsdecoparis et @decathlon présentent Surface de réparation : trois années d'exploration de l'urgence écologique par le design, menées par la Chaire Écodesign & Création. . À l’instar de la zone décisive du terrain de football dont elle emprunte le nom, Surface de réparation désigne un espace de vérité où se jouent les possibles. Face à la crise écologique, la nouvelle génération de designers formée à l’École et les équipes de l’Advanced Innovation de DECATHLON explorent la réparation non comme un retour en arrière ou la correction d’une faute, mais comme un acte de soin, de coopération et de résistance. . Sous l'impulsion de @nathalie.guiot membre du comité de transition écologique de DECATHLON (2020-23), et de Sébastien Haquet, directeur de l'Advanced Innovation, l'exposition révèle, sous le commissariat d’@alice.audouin et dans une scénographie éco-conçue par @arter les propositions transformatrices de 150 étudiant·es et chercheur·euses, déployées en quatre chapitres : 👉 Arpenter les usages 👉 Performer la matière 👉 Habiter le soleil 👉 Gagner la coopération …complétés par Futurs Probables, une ouverture sur les solutions prospectives développées par l’Advanced Innovation de DECATHLON. . 📍 Exposition : 5–16 novembre, mer–dim, 14h–19h → Visite guidée par Alice Audouin : vendredi 7 et samedi 8 novembre, 14h → Ateliers en famille les week-ends, gratuit sur réservation
1 semaine ago
View on Instagram |
7/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel.
Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible.
Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves.
Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.»
.
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon 
.
Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel.
Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible.
Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves.
Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.»
.
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon 
.
Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel.
Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible.
Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves.
Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.»
.
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon 
.
Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel.
Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible.
Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves.
Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.»
.
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon 
.
Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel.
Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible.
Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves.
Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.»
.
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon 
.
Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel.
Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible.
Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves.
Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.»
.
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon 
.
Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel.
Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible.
Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves.
Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.»
.
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon 
.
Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel.
Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible.
Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves.
Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.»
.
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon 
.
Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel.
Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible.
Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves.
Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.»
.
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon 
.
Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco 
.
« Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel.
Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible.
Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves.
Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.»
.
Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon 
.
Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Tentative de débordement » de Alexandre-Esteban Hernandez @alexandre__esteban , diplômé en Image Imprimée @imageimprimee_ecoleartsdeco . « Bienvenue à bord du vaisseau-cube, fable surréaliste aux confins du langage entre le monde des rêves et celui du réel. Au cœur de ce récit, deux personnages évoluent au sein de deux univers parallèles : l’un onirique, l’autre quasi réel. Le premier, Moeb, voyage dans un monde chaotique, expansif et silencieux. Le second, l’alter-ego, cherche par tous les moyens à s’extraire de sa réalité normée, limitée, quadrillée, où le dogme des correspondances a pris le pas sur son expérience sensible. Au travers de ces deux personnages, l’un parlant en silence tout en demeurant dans la langue onirique de la matière, et l’autre pris au piège d’un monde bavard dévoré par la production des images et des récits, le territoire du langage perdu entre les mots et les choses est questionné. Celui d’avant la voix. Celui de « l’infans » où l’on ne parle pas encore. Cet autrefois où le monde autour n’était encore que sensation, enchevêtrement de lignes, halos de lumière et rêves. Récit d’une submersion par l’image et ses représentations, Tentative de débordement est également la quête d’un ermitage d’où il serait encore possible de résister et d’entendre cette voix antérieure aux mots ; et, en funambule, continuer à en dérouler la ligne sinueuse et fragile.» . Crédits photos : Amélie Canon @amelie_canon . Projet soutenu par le NID, Chaire Nouveaux Imaginaires du Dessin @hermes
2 semaines ago
View on Instagram |
8/9
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. 
Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect.
Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. 
En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. 
« Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. 
Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect.
Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. 
En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. 
« Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. 
Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect.
Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. 
En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. 
« Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. 
Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect.
Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. 
En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. 
« Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. 
Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect.
Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. 
En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. 
« Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. 
Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect.
Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. 
En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. 
« Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. 
Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect.
Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. 
En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. 
« Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. 
Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect.
Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. 
En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. 
« Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. 
Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect.
Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. 
En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. 
« Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis 
.
Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. 
Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect.
Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. 
En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. 
« Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs.
.
Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
ecoleartsdecoparis
ecoleartsdecoparis
•
Follow
[AFTER][Diplôme Master 2025] « Ce que nous laissent les fantômes » de Cheryl Cisse @cherrycherylcherie , diplômée en Architecture Intérieure @archi_ecoleartsdecoparis . Il y a des silences qui pèsent, faits d’absences et de récits fragmentés transmis de génération en génération. Ce vide intime m’a menée au Jardin d’Agronomie Tropicale – René Dumont, où les ruines enfouies dans la végétation gardent la trace d’un passé colonial exposé, puis oublié. Un dialogue fragile s’installe entre ce silence personnel et celui du lieu. Je ne cherche pas à combler, mais à habiter ces vides, à les faire résonner avec douceur et respect. Mon projet s’ancre dans une lecture sensible des vides – paysager, architectural, symbolique – et dans une recherche de gestes rituels pour les traverser. Je crée mes architectures fétiches volontairement troubles qui questionnent le monument et la mémoire des femmes exposées et exploitées pendant la colonisation. J’y façonne des objets de consolation, mes objets de médiations : fragiles, activables et, surtout, porteurs de traces-mémoires. En réactivant des matériaux du quotidien, j’essaie de faire surgir une mémoire vivante. C’est un geste d’attention, qui relie l’intime au collectif. « Ce que nous laissent les fantômes » n’est peut-être pas un héritage, mais une invitation à d’autres récits, plus justes, plus vivants et réparateurs. . Crédits photos : Béryl Libault @beryl_libault
2 semaines ago
View on Instagram |
9/9
Plus d'info
© EnsAD - Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs - 31 rue d'Ulm 75005 Paris